Tout d'abord un grand merci à ceux qui permis la publication de ce texte: CE, correcteurs, et autres petites mains invisibles.

Merci à Vanessa, Eclaircie, Eskisse, Izabouille, Papipoete, Luz, Brume, Fowltus et Donaldo de l'avoir commenté.

Beaucoup n'ont pas compris le texte, mais lui reconnaissent de la poésie! C'est déjà ça et après tout je pense que mon but est atteint.

Je ne suis pas certain moi-même de tout comprendre à ce poème, et comme l'a souligné Eclaircie, il est très inspiré par Reverdy.

Tout de même je sais qu'il est question d'un petit matin, de ce moment où le sommeil s'effiloche sous les assauts du jour, ça parle aussi de la femme aimée, ou d'une femme aimée, des enfants et de l'immobilité de la vie. Parce qu'il y a surement un fantasme derrière cela: que les choses restent telle qu'elle, qu'on puisse un jour suspendre le temps.

Et profiter de l'odeur de l'air quand le jour se lève.

Vous n'avez toujours pas compris? Moi non plus. Qu'importe, il n'y a peut-être rien à comprendre...

Luz: orage d'acier est en effet en référence au livre que tu cites. Je l'ai lu plusieurs fois, et la guerre de 14, enfin l'absurdité de celle-ci est quelque chose qui me fascine et qui revient très souvent dans mes textes.

Merci Adienog.

Merci Castelmore.