Bonjour,

Je sens qu'il me faille apporter certains éclaircissements au sujet de ce récit.

D’abord mes remerciements pour le CE d’avoir approuver la publication de ce récit et aux correcteurs pour sa révision.


Contrairement à certains, j’ai fait mes devoirs avant d’écrire ce récit à propos de la chasse aux phoques traditionnelle des Inuits. Je me suis assuré de vérifier les faits avant de les affirmer et certains termes en inuktut.
Le phoque gris mesure 2,3m en moyenne et peut peser jusqu’à 350kg. Le phoque du Groenland mesure 1,6m et peut peser jusqu’à 150kg.

Si vous êtes intéressé au sujet de cette chasse traditionnelle :
Labrador Inuit on the hunt
Une lutte quotidienne pour la survie
Tuku, épisode 11
Il y a aussi le film Agaguk.

Quant à l’histoire d’amour du récit, il se résumerait par : parfois l’amour de notre vie se trouve tout près alors que nous sommes obnubilés par nos ambitions.

Veuillez m’excuser si je ne remercie pas certains commentaires reçus.

Merci d’être passé lire ce récit et de l’avoir apprécié.


Vilmon

Une représentation de la chasse aux phoques par un artiste autochtone canadien.
Gordon Miller - Chasse aux phoques
Vilmon

Votre retour n'appelle pas de réponse de ma part, ne m'étant pas exprimé quant à la crédibilité du contenu.
J'aurais dû évoquer la morale de votre histoire lors de mon commentaire. Une sorte de Ivan, Boris et moi inversé.
Je croyais que l'auteur se révélerait être le même que pour la nouvelle qui se déroulait en Laponie avec l'arrivée d'un touriste accidenté dans une famille monoparentale autochtone, se jurant de revenir dès que possible. Une nouvelle de Malitrone, je crois.

Et donc quelle bonne surprise me fit la découverte de votre nom au dessus du titre !
Bonne continuation

Oh, je sens que vous n’avez pas aimé mon commentaire ! Tant mieux, c'est que votre écrit vous tient à cœur !

Haha, je comprends ça, c’est parfois dur d’accepter la critique sur ses textes. En écriture comme en toutes choses cependant, c’est important de cultiver la zénitude et le détachement. Savoir prendre du recul sur son travail et accepter qu’il soit critiqué sans trop s’en faire blanchir les phalanges, c’est bien plus important que d’écrire un texte tout abouti du premier coup !

Merci de me corriger sur les espèces de phoques plus grosses, avec lesquelles je suis peu familier! J’imaginais des phoques annelés, espèce que je connais mieux. Impression renforcée sans doute par le fait qu’Ujaraki remorque son phoque sans mal, á lui tout seul, et par les naseaux, sans que ceux-ci ne rompent (on imagine mal un animal de 350 kgs dans ce tableau). Ceci dit, je dois dire que même s’il fait sa deux-centaine de kilos bien tapée, je ne comprends toujours pas comment Ujaraki s’imagine qu’il va à lui tout seul sauver tout un village de la famine avec cette unique prise.

Je note que vos sources proposent bel et bien des techniques de chasses moins dures pour les articulations que celle que vous suggériez dans la nouvelle (Thea Olsthoorn mentionne que le chasseur est typiquement assis, et il est précisé qu’il peut bouger pendant son attente grâce à une paire de chaussures doublée qui dissimule le son de ses pas).

En bref, je viens en paix, et apprenons a accepter tous ensemble que l’on vient poster son texte sur oniris pour l’exposer à la critique. Il ne faut donc pas se fâcher quand on en recoit ! Libre à vous, tout simplement, d’ignorer les avis qui vous paraissent ineptes 😊

Je dis bien, Voyage en Laponie de Malitrone, mais ne cherchez pas, il semble qu'il ait été supprimé par son auteur.