Je m'aperçois avec stupeur et effarement n'avoir pas remercié mes lecteurs et commentateurs : qu'il me soit permis de le faire dès à présent, malgré mon retard.

Je suis d'accord avec les commentaires qui soulignent l'incongruité de certains passages : l'évocation des « bagnoles accidentées », l'exaltation que recèle « Je sacraliserai cette fougue sauvage ! », l'anacoluthe « Moite et agité, confondu que j'étais… il ne semblait… », etc.
Des scories caractéristiques d'un style qui se cherche encore, aspire à frapper en mettant en jeu des dissonances, des ruptures, mais qui détonnent peut-être trop.
Je plaide aussi coupable quant à la tenue jugée parfois trop classique de l'ensemble. Je n'ai certes pas révolutionné le genre et ce texte ne restera pas dans les annales ; pour autant, je suis satisfait d'avoir recueilli des commentaires généralement positifs et d'avoir su toucher certaines personnes. Certaines interprétations sont d'ailleurs particulièrement intéressantes.

Merci à tous !