Je voudrais tout d'abord m'excuser d'avoir un peu trop tardé à réagir aux appréciations des lecteurs qui ont bien voulu laisser un commentaire sous mon texte. Qu'ils en soient ici remerciés.
Une précision quant à l'objet (fond) de ce poème dont beaucoup de commentateurs n'ont malheureusement pas cerné le sens: il ne s'agit nullement d'un hommage rendu à Mozart!!!!!! Ce n'était pas du tout mon intention. Une petite parenthèse sur la genèse de ce poème: l'idée de départ est simple, la musique comme moyen d'évasion et de consolation. Par hasard, au moment où je me suis mise à y réfléchir, ma fille travaillait la sonate 155 de Mozart. J'ai vibré et ce fut l'étincelle qui a déclenché l'écriture. Mon texte n'est donc ni un hommage à ce grand musicien ni autobiographique (même si dans les deux premières strophes, l'empreinte y est).
Cela dit, je tiens à signaler que d'habitude je reçois les commentaires des lecteurs réguliers d'Oniris, commentaires qui m'aident à redresser les imperfections d'écriture constatées, mais pour ce texte, aucun commentaire.
Encore une fois, mes remerciements à tous les lecteurs qui ont laissé une trace de leur passage sur mon texte.

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