oki
tu me connais... tu sais que je t'en veux pas ! Et que ce qui est dit , dix minutes après, ça descend de l’ébullition à l'eau plate... et même pas gazeuse.
( bon Bayrou, j'ai eu une envolée de lyrisme, je me l'interdis dans mes textes, alors ça sort là )
Je crois voir ce que tu veux dire, avec mon dos de petite vieille, pas facile... mais j'crois pas être d'accord.

Bises ( vais arreter mes médocs : effets secondaires : troubles du comportement, tu m'en diras tant ! Je me mets à traiter les gens de Bayroutiens ! nan sérieux, j'suis super susceptible sur tout aujourd'hui... je mords tout ce qui bouge; )

Citation :

Mais ne vous privez donc pas, ça m'arrange.
Mordez... mordez, je vous prie !
Vous êtes charmante quand même.
On m'oublie, ça me fait des vacances


Citation :

C'est que je suis en train d'écrire une nouvelle dont vous m'en direz (des nouvelles).
Je vais vous soigner moi, vous allez voir.
Désormais, je penserai à vous en poursuivant l'écriture.


Ok, je sors... je connais la sortie (c'est la formule de circonstance, non ?)

Pas compris (pas pris mon café aussi) tant pis, je survivrai, je crois...

Merci Mraya...
Pas vraisemblable la nuit à l'usine ? Pourquoi ,
Parce qu'ils ne peuvent pas ? ils sont dans une usine occupée, ce n'est pas difficile de trouver un endroit tranquille, loin de tous. Elle, elle n'a pas de famille à la surveiller.
Parce qu'il ne se passe rien entre eux alors ? J'ai la faiblesse de croire qu'on peut passer une nuit sans rien consommer. Surtout qu'elle n'a aucune expérience de ce coté...

Pour le tribunal, c'est p'tre plus sujet à caution. là, je vais parler de mon expérience en France. Sauf mesures de sécurité exceptionnelles,( qui là ne se justifient pas, c'est pas un tribunal militaire) c'est pas bien compliqué d’atteindre le box des accusés, par surprise, encore plus facilement si c'est un peu le bordel dans la salle ( ça arrive ! )... La disposition des tribunaux égyptiens (pour ce que j'en ai vu) ne l'interdit pas non plus...

merci encore de ta lecture !

Merci beaucoup Jano, Togna et Aldenor. :)
Aldenor, oui ça n'a pas l'intensité de Bikaf ! Mais en même temps dans Bikaf on est dans l'angoisse, la peur et là au contraire dans le souvenirs amoureux d'une femme optimiste, dans un moment très particulier. Euphorique... C'est plus léger... forcément.
Pas de nom pour la petite ville ? C'est volontaire : elle est anonyme, comme les ouvriers d'ailleurs, à part la famille de Sami.
Des descriptions du Caire ? A part la place al Tarhir, y'a pas grand chose à décrire vu que tout se passe dans la chambre d'un hôtel sinon... Et sur les quelques scènes décrites sur la place, elle le dit : elle n'a d'yeux que pour Sami. Que ce soit au moment des retrouvailles, ou de l'annonce de la démission...
Donc là aussi, j'assume l'absence de descriptions alors qu'il y en avait dans Bikaf ! Parce que déjà Chatila c'est un endroit très particulier géographiquement ( et marquant pour le personnage de Chahine avec ses souvenirs d'enfance) avec ses ruelles, ses couleurs,ses bâtiments encore marqués par son histoire violente... je ne pouvais pas en faire abstraction là... Alors qu'ici, finalement, la ville a aucune importance. Y'a eux deux et la foule et c'est tout...

voilou ! :)
Merci encore !