Réponse aux commentateurs
sur mon texte 'Le ciel s'en bat les ailes'

J'ai peut être un peu 'forcé' sur les jeux de mots, c'était pas volontaire. Mais le sens est bien là.

Le ciel est notre dôme à dos, il est notre dromadaire qui nous porte dans un désert sec sans air. Et on a tendance à regarder le ciel en attendant tout et n'importe quoi, mais 'il' s'en bat les ailes. Inversement on en a peur (mais 'il' s'en bat toujours les ailes).

'Il' endosse nos fausses notes, nos erreurs, 'il' endosse surtout nos dégâts climatiques (réchauffement planétaire, déserts en expansion) mais on continue à lui faire 'endosser' nos échecs nos réussites (par les religions, etc).

Le ciel est un 'fourre-tout' pour l'homme et il pourrait bien un jour s'écrouler à nous supporter (c'est lui qui nous supporte pas un dieu grec "Atlas").

Le soleil nous allume et nous hait, idem, pas là pour farder, maquiller des époux entrailles aux yeux vitreux vitraux. Il se grille tout seul (il brule tout seul) pas besoin de nous pour se griller (nos erreurs encore, allusion au nucléaire).

le soleil fait de nous des ombres. (je pensais à 'l'allégorie de la caverne' en écrivant cela)

Nous cherchons dans un ciel et un soleil ce qui n'existe pas. Nous sommes aveuglés par des illusions mais nous ne voyons pas (ne voulons pas voir?) de quoi nous sommes faits

L'un-seul linceul, squelette sans âme (ref au Christ) et l'autre sous les draps (sexe pour le sexe) sans taille s'entablent (s'enc..) (dans l'étable). Damoiselles, damoiseaux (oiseaux) vous vous débattez et battez des ailes d'amour mais idem 'le ciel' ne vous regarde pas et s'en bat les ailes, les zèles (les fards), les z'elles, les z'ils, les z'îles (les déserts)

'Le ci(e)l des peaux pi(è)res
Ne s'in-cligne que pour
Le bleu pétrole'
est en rapport avec 'Sang d'homme-y-cil'

Les cils ne clignent et ne s'inclinent que pour le bleu pétrole
(pas pour le bleu du ciel)

Chacun a l'impression d'être le centre de l'univers mais ça ne nous suffit pas. On veut en plus que 'le ciel et le soleil' sous entendu les dieux et autres 'divinités', nous regardent, nous jugent, nous apprécient, nous condamnent

J'espère avoir avoir apporté plus de sens avec cette 'explication' (même si ça gâche un peu avec ma 'philosophie' à 2 balles)

J'admets que l'ensemble puisse sembler 'capillotracté' ou indigeste, peut être pas suffisamment prêté attention à la lecture en second lieu.

Ps : il manque l’eau dans ce texte

Merci à tous pour vos commentaires