Euh Widj, mon grand, sans vouloir faire ma madame, le ça n'induisait rien d'autre qu'un objet à savoir un texte...
ça peut être pris péjorativement, ou pas...

Comme le poème peut être pris comme un foirage ou pas...

Des dangers des mots...

Bisous et pas de dispute, pas d'oubli, et pas de ça...


Quant au pire du site, je l'ai surement lu, je ne jugeais pas Sally par rapport a d'autres textes... mais par rapport à celui-ci en particulier.
Et c'est pas parce que j'ai lu pire que je dois forcément noter bien ou aimer...

OK Estelle. No soucy.

Mais je voyais pas trop le rapport avec un envoi à un éditeur (Sally ne l'a envoyé qu'à Oniris, et n'a a mon sens jamais prétendu autre chose que ça... faudrait quand même remettre les choses dans leur contexte initial).

Et alors l'aparté sur le Karcher, le racisme...là...j'avoue...Pas compris...

W

Bon je revenais sur la remarque à propos de l'apprentissage... référant à la charte pour le choix de catégorie... je me marre en lisant que les lecteurs ralent sur un texte en apprentissage parce qu'ils peuvent pas mettre bien ou très bien.(d'ailleurs moyen ou faible ils peuvent pas non plus hein)
(dans la charte il y a mis texto que la qualité attendue d'un texte en catégorie est la qualité que l'on s'imposerait pour l'envoi chez un éditeur)

J'ai jamais dit que Sally avait parlé de l'envoyer à un éditeur... voilà pour le contexte initial CATEGORIE ou PAS

Ensuite sur le Karcher, c'est uen métaphore, une image, un comparatif peut-être mal choisi mais un comparatif... j'ai pas traité Sally de facho non plus hein!!!

Faudrait voir où se situent les soucis d'émotivité si tu veux mon avis.

Conclusion : la prochaine fois que j'aime pas un texte je ferme ma g****

Bah... quel rat-m'dam

Sally nous a gratifiés d'un de ses divertissements habituels - léger et sans prétention, qu'on aime ou qu'on aime pas - et c'est tout. Je n'y vois ni comptine ni pamphlet, juste un prétexte à faire quelques bulles de chewing gum avec des mots, pour le plaisir.

Je rappelle accessoirement que les mots "racaille" ou "racisme" font partie de la langue française avant d'être des sujets d'émotion politique franco-française.
Sinon, à ce tarif-là, si on veut ménager toutes les susceptibilités politiques, régionales, identitaires et compagnie, nos textes vont finir par se limiter à 50 mots neutres et sans connotation...

Merci à Tinuviel et Widj' qui ont compris le sens de ma démarche et remette les choses à leur place.

Pour Estelle: je n'ai jamais pensé faire éditer mes poèmes. Mais j'ai relu récemment les "enfantasques" de Claude Roy, les poèmes de Pierre Gamarra Je n'ai pas leur talent. Mais je n'ai pas non plus à rougir de ma production.

Autre chose:
Tu me dis dans ton commentaire que mon poème n'a rien de "profond".
Eh bien oui, je revendique sa légèreté. Parce que de la légèreté , on en a grand besoin. La vie "réelle" regorge de soucis, la vie professionnelle (ou pire: le chômage) est parfois éprouvante, notre quotidien est rythmé par le stress.
Alors, si je viens sur Oniris, si j'y publie des textes, c'est avant tout pour me détendre, et pour apporter un peu de légèreté à mes lecteurs.

Je ne suis pas une femme qui a un avis sur tout.
Je ne suis pas une poètesse qui parle d'amour, de souffrance et d'extase dans tous ses vers. Je ne suis, comme nous tous, qu'une rimailleuse du dimanche, une apprentie-écrivaillonne qui s'amuse à assembler les mots. Rien de plus. Souvenons-nous d'être modestes!
Je ne suis pas une philosophe qui se sent capable de disserter sur la vie, sur la mort, sur Dieu, sur la liberté, sur les grand problèmes moraux ou existentiels. Je n'ai rien à apprendre à personne. Tout a déjà été dit avant nous, et de façon beauoup plus belle, beaucoup plus percutante, beaucoup plus universelle.

Alors, dans ce monde complexe en crise où la détresse rivalise avec l'horreur, j'ai choisi de DIVERTIR. Cela peut sembler anodin, dérisoire, inutile. Non, c'es essentiel.
Je sais que parfois mes textes ont fait sourire mes lecteurs. J'estime alors que ma mission a été accomplie.
Et je rappelle en outre qu'il est plus facile de faire pleurer que de faire rire.

Alors, je continuerai à publier. En catégorie "apprentissage", bien entendu. Pour faire du bien, et uniquement cela.

Sally, l'éternelle apprentie.

hahaha...

Oui c'est pas faux... Celà dit à question ouverte, réponse ouverte, non?
Je ne critiquais en rien ici l'utilisation des mots... je donnais mon opinion sur les questions posées par l'auteure elle-même... elle qualifie elle-même son poème de chanson (ou chansonnette) dans son résumé, j'ai souligné que je n'y voyais pas autre chose, mais que le lecteur aura toujours tendance à lire avec ses yeux et pas celui de l'auteure...

Et pour parler des mots (en rien du texte de Sally juste des mots), je me demande combien ont dansé sur Lucy In The Sky of Diamond des Beatles sans savoir qu'ils le faisaient sur une ôde au LSD...

Et au demeurant truie aussi est au dictionnaire, pute également, bite aussi... tout dépend du contexte dans lequel on s'en sert, non?

je suis assez d'accord avec toi Tinu... dans l'absolu, après si débat il y a, je vois pas le problème d'y participer...


PS : Sally, je répète que je ne t'ai jamais entendu dire que tu souhaitais te faire publier, je citai juste un passage de la charte...

Quand même incroyable que sur un site d'ECRIVAINS il y ait si peu de gens capables de juste LIRE les mots ...

Et puis la légèreté je suis pas contre, je pense pas non plus qu'il faille faire dans la philo ou la psy pour être intéressant.

je pense aussi qu'on doit pouvoir comprendre qu'on ne plaise pas à tous les lecteurs...

>Estelle, éternelle chieuse incomprise, mal lue, mal commentée et maintenant aussi de mauvais poil!

Citation :

Faire du bien ?...

Divertir ?...

Comme aux jeux de Rome ?...

Alors effectivement, tout a été dit, tout a été fait...

La messe est dite. Le vin est tiré.


Que de contre vérité... Que de cliché sur le mot "divertir"... Que de cliché sur la façon de percevoir les choses...

Sally, je pense au contraire que parce que le monde est complexe (et que nous aussi, la preuve), nos jeux de mots et nos divertissement doivent être profonds et parfois complexes aussi. Il n'y a là, rien d'incompatible. En littérature les exemples sont nombreux, d'auteurs qui savent à la fois faire réflechir et faire rire...

Défendre une oeuvre en disant qu'elle n'est pas faite pour être "profonde" en somme ne me parait pas être très censé.

C'est comme s'amputer soi même de quelque chose, au mieux de son intelligence, au pire de celle de ses lecteurs...

Les lecteurs sont tout à fait capable, contrairement à ce que croit TFI et certaines personnes sur le site, de comprendre les choses profondes et sérieuses, tout en se "divertissant"...

Je dirais que c'est peut être même cette fameuse profondeur (ça peut être léger la profondeur, et oui...), qui crée en permanence
la différence entre une oeuvre et un roman de gare...

Ici il y a une ouverture possible du débat sur la vision de l'art.

Se servir de l'art comme n'importe quel loisir du dimanche m'a toujours fait pleurer...

Autant jouer au monopoly avec ses amis ou s'occuper à remplir sa feuille d'impôt. Les deux permettent d'ailleurs de relier avantageusement le loisir, l'art des lettres et la souffrance de l'écrivain...

Sally selon toi, tout a été dit et fait parce que toi, dans ce "monde complexe où la détresse rivalise avec l'horreur", tu n'a pas d'avis sur tout ou tu n'as d'avis sur rien (ce qui n'est pas pareil, mais vu tout les thème universel que tu enlève, a part le céleri rave et les rongeurs, effectivement, je vois pas ce qui reste...) et tu te sers de cette désinvolture comme d'une argumentation sérieuse ?...

C'est ton droit...

C'est ton droit d'écrire tout en te privant de disserter sur la vie, sur la mort, sur Dieu, sur la liberté, sur les grand problèmes moraux ou existentiels, mais alors, il faut comprendre que certains lecteurs (qui aime bien ce genre de questions, merdre !...) se sentent frustrés par ton écriture au même titre que toi, tu puisses l'être devant des lectures trop... pas légère comme les tiennes...

En tous cas, tu te prives toi même des thèmes existentiel en préférant jouer avec des mots faciles sur des rats, "publication" que tu trouves suffisamment essentielle effectivement, pour faire un débat (et la leçon sur le divertissement) sur le forum ?...

Sally, souvenons nous d'être modeste, oui...

Pourquoi ne pas accepter la critique comme une autre part de vérité, sans pour autant se sentir obligé d'attaquer le reste du monde en permanence ?...


ps : au passage, pour une autre intervention de ta part, je ne vois pas bien en quoi le fait qu'en aprentissage on ne puisse pas mettre le "bien ou le très bien que tes lecteurs voudraient te mettre" (modeste citation de Sally la modeste...) nuit à l'intérêt du commentaire.

L'interêt du commentaire n'est pas franchement dans la note, mais dans le contenu...

Là, je suis bien diverti !

Gare à la diverticulite !

Estelle:
Citation :
ah mais, ah mais, ah mais... euh... y a aucun problème à participer au débat... d'ailleurs c'est ce que je fais aussi, si je ne m'abuse
Débattons, débattons, y a que ça de vrai !

Mais comme toujours, il y a plusieurs discussions croisées, et plusieurs idées qui se mélangent dans cette discussion.

Alors, pour être claire : perso j'intervenais seulement par rapport à l'idée d'une "connotation" politico-sociale malsaine supposée dans le poème de Sally, et aux interprétations possibles qui font qu'elle aurait peut-être dû prévoir que...
Elle nous a pondu un petit truc qui se prend pas le grosse tête, avec des jeux de mots ; moi je ne creuse pas plus loin, et je ne vois pas qui je serais pour lui dire que ce qu'elle fait est trop léger.
Chacun son espace d'expression.



Sinon, Sally...
Citation :
Hum, si je te prenais au pied de la lettre, je devrais en toute logique cesser d'écrire...
Parce que l'amour, la mort, la souffrance ou l'extase font assez souvent partie de mes thèmes... où tout a déjà été dit.

Citation :

Vous essayez de noyer le poisson avec vos remarques d'intellos, mais on me l'a fait pas à moi...

Qui m'embrasse ?

W

(auteur rat-bin)