Bonjour à tous et merci d'avoir publié, lu et commenté ce texte.
Donc mon premier poème, pas que j'étais bien jeune quand je l'ai écrit vu que je m'y suis mis sur le tard, mais quand même un poème de jeunesse, jeunesse de l'écriture, et ça se ressent effectivement. Un poème maladroit par endroit mais sincère.

C'est en tous cas un texte qui m'a beaucoup fait de bien d'écrire, il m'a permis de tourner une page, celle de mon enfance qui, vous vous en doutez après avoir lu ce poème, n'a pas été bien rose...

Merci David, Sympa et BlaseSaintLuc, ce poème vous a plu "un peu", trop de maladresses dans l'écriture et vous avez bien raison.

Merci Marie-Ange et PIZZICATO, une prochaine fois peut-être.

Merci Papipoète, je ne comprends pas vraiment ce que vient faire le goût par ici, je n'ai pas écrit ce texte par goût, sûrement plus par nécessité. Je n'ai pas le goût du morbide en particulier et ne comprends pas non plus pourquoi cacher ou oublier une inspiration ? Je n'ai pas honte de mes écrits, ni de mes pensées.

Merci Eclaircie, vous avez raison, il y a eu plusieurs époques d'écriture de ce texte, les strophes n'ont pas toutes était écrites d'un jet, d'où peut-être cette impression "disparate".

Merci Raoul, j'aime ce "pleutre" moi aussi. Vous avez raison pour le manque de précision dans le vocabulaire. Je pense avoir progressé depuis.

Merci Eccar de votre soutien, c'est bien la clef ce dernier vers.

Ah ah Rosebud ! Je sais bien où je vais va et pourquoi j'y vais. T'as oublié "opale" / "opaline" et "chaloupé", surtout "chaloupé" que je ne peux plus lire sans avoir la nausée ( le mal de mer sans doute...)
Au final on arrive à coexister sur Oniris, grâce au CE je suppose qui permet à des auteurs comme moi de côtoyer d'autres auteurs dans d'autres genres poétiques à plumes. J'ai toujours vu de la poésie dans le sordide, je sais bien que d'autres en verront aussi, inch'allah comme on dit chez moi. Merci Rosebud, à bientôt.

Merci Donaldo75, bah oui rien de choquant en effet, je pensais que la métaphore du pal serait plus choquante que des mots comme "cadavre" ou autres. Mais non, le pal passe crème, il doit être bien oint. Merci de soutenir ce texte malgré ses évidentes maladresses.

Merci Pandelle de ce commentaire truffé de références dont certaines m'échappent, je vais donc me renseigner, ça fait plaisir. Votre dernière phrase.... Superbe.

Salut Lénine,

j'ai pas commenté ton texte mais je n'aurais rien à dire de plus que ce qui a été dit: oui ton poème sent un peu la "jeunesse d'écriture" et oui le sordide peut être poétique, bien évidemment.

Je suis plus dubitatif concernant le commentaire de rosebud. Parce que, eh oui, en règle générale je n'aime pas trop les généralités.
Ecrire les oniriens, comme s'il y avait là une entité propre, une insigne gémellité, une bergerie poétique, eh ben oui, ça me grattouille un peu.
C'est bien de "soutenir", c'est bien de "dénoncer", mais fourrer tout le monde dans le même panier rose bonbon sous prétexte de coller un commentaire polémique, ça me fait un peu chier. (oups pardon, j'en suis fort désappointé.) En même temps c'est vrai que c'est rassurant et sans doute valorisant de se penser l'unique ouvert d'esprit face à une meute de culs serrés...

Je voudrais moi aussi glisser quelques mots au sujet du commentaire un peu sentencieux de Rosebud.
<< Les Oniriens n'aiment pas qu'on leur crie aux oreilles des insanités.>>
Là, il me semble que l'on confond vitesse et précipitation.
Il ne s'agit pas - je parle en mon nom - de rejeter des insanités (sic) ; ne soyons pas faux-culs.
Il est des images très ampoulées, emphatiques, de grandes envolées lyriques dans certaines poésies qui me font tarter autant que des gros mots; oh shoking !!

Il s'agit exactement d'apprécier ou de ne pas aimer la façon dont est traitée une idée. C'est différent, n'est-il pas ?

On ne va pas se rengueuler, Pouet, j’espère, mais… quand je parle des Oniriens, je n’oublie pas que j’en suis un moi-même. Je généralise ? Et alors ? En général, Oniris est devenu fleur bleue. En général, les avis des oniriens sont plus portés vers les oiseaux qui chantent, les bons sentiments, le pathos dégoulinant, le consensus compassé. Et en général, ça m’emmerde (oups pardon, ça me fait iech). Même les modos ont perdu la main. Plus rien à modérer. Il n’y a plus rien !
D’ailleurs, je ne m’estime pas l’unique esprit ouvert à Oniris. Raoul dit à peu près la même chose que moi dans son commentaire. Je ne crois pas être sentencieux, je suis juste le petit caillou dans la chaussure. J’exprime mon opinion d’une manière qui peut passer pour déplaisante. Il ne manquerait plus qu’on me l’interdise.

Le texte de LenineBosquet ne fait pas l'unanimité. Cela dit, il me semble que les avis sont partagés, comme souvent sur nombre de textes. Il est rare que l'on tombe tous d'accord, bien que cela arrive...

Je suis sûre qu'une majorité fait la part des choses avec une certaine ouverture d'esprit. Maintenant, et malgré cela, on peut aimer ou ne pas aimer un genre, ou simplement un texte précis, chacun ayant sa propre sensibilité, ses propres repères, son propre rapport au monde...

Je ne crois pas que l'on s'accorde tous uniquement sur une poésie fleur bleue. LenineBosquet l'est d'ailleurs peut-être, fleur bleue, qui sait ? Le texte ici renvoie peut-être à autre chose que cela, mais plus je le lis plus je m'interroge avec une certaine ouverture, justement, pour comprendre le fait poétique, m'interroger ce qui peut nourrir l'envie d'écrire... Et je suis enchantée de voir que nous avons tous chacun une particularité. Je ne crois vraiment pas qu'on soit chacun enfermé dans une représentation figée de la poésie... En tout cas, le pathos à tout va, je ne suis pas sûre que cela intéresse tout le monde et ne m'y retrouverais pas, par exemple.

Cela dit, peut-être sommes-nous plus portés sur les oiseaux qui chantent en général ? Mais honnêtement, je n'en suis pas sûre...Nos vies sont suffisamment contrastées à tous pour saisir ce qui nous est proche, semblable ou différent.

"Remugle", je ne connaissais pas le terme... J'en apprends toujours beaucoup avec l'auteur LenineBosquet, même si je le commente pas ou peu. Je n'ai pas toujours les clés, mais j'apprends toujours beaucoup et le convie encore à publier dans la veine de ce qui l'inspire.

Bonjour à tous, comme c'est mon forum je viens mettre mon grain et donner mon avis. Je suis quand même un peu d'accord avec Rosebud, même si ce n'est pas systématique, parfois Oniris se vautre dans le bon sentiment, ce qui oui peut être gênant. Mais la faute à qui ? Et ben la faute à ceux que cela gêne justement qui soit ne commentent as et n'évaluent pas ces textes dégoulinants ou soit même partent du site carrément ! Ou sont Archibald, Luciole et j'en passe ? Oniris n'appartient à personne ou appartient à tous, et ne sera que ce que les participants en feront.
Que mes textes ne fassent pas l'unanimité dans ces conditions est presque une fierté. Je n'aime pas l'unanimité, ça fait flipper, il y la mort et la guerre au bout.
Merci Lulu de votre message, j'avais déjà remarqué que mon style n'était pas forcément votre tasse de thé mais que vous disiez que vous en apprenez malgré tout me touche beaucoup.

Et excusez svp mes fautes de grammaire et de syntaxe, j'ai le tête dans le seau ce matin.

Ah oui et j'en profite aussi pour vous dire que j'ai un de mes poèmes qui se retrouve en final sur Short Edition, un texte assez consensuel qui devrait plaire au plus grand nombre ! Comme ça je gagne 100 balles et j'invite ma meuf au resto. Allez, a plus !

https://short-edition.com/fr/oeuvre/poetik/qui-gladio-ferit-gladio-perit

Citation :

Slt,

Rosebud, il n'est pas question de s'engueuler. Simplement, je ne suis pas certain que les "fleurs bleues" soient forcément légion et les "bourgeons rouges" ou les "rameaux gris" en voiX d'extinction (j'ai une trachéite). Y a pas que Raoul, si si...

Lénine, tu cites deux auteurs qui selon toi sont partis à cause du gnangnan ambiant.. Bon, si tu le dis.

S'il faut citer des auteurs qui ne sont pas forcément des romantiques exacerbés ou autre sirupeux dégoulinant, franchement je peux faire une liste et s'il le faut on la comparera avec la liste de ceux qui utilisent "opaline" à toutes les sauces...

Oniris est un site où se côtoient différents styles, différentes sensibilités et c'est très bien ainsi.

Et puis au fait, on peut aussi aimer, enfin je peux apprécier tout autant un texte "galant" de Cristale, qu'un texte surréaliste de Raoul ou Fowltus, ou un poème en mode argot façon bosquet.

C'est grave docteur?

Non c'est pas grave Pouet, je citais ces deux auteurs en précisant "et j'en passe"... Il y en a plein d'autres, eux je les cite parce qu'ils me manquent, et ce n'est pas pourtant les plus "hardcore"... Cristale je lui pardonne tout, elle a trop la classe de toutes façons.