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2 Utilisateur(s) anonymes
Re : A propos de Veronika |
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Maître Pat de Velours
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16/04/2007 17:44 De Quelque part entre ma tête et mes pieds
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Citation :
Et on me ramène dans le passé dans des explications qui ne m'intéressent pas des masses... Peut-être que mon commentaire apportera quelques éclaircissements à ce sujet. J'ai l'impression que Bidis avait envie d'être davantage plongée dans le présent (que ce présent prenne peut-être plus de place dans le récit). Une mise en page différente aurait peut-être aussi aidé à séparer les temps du récit.
Contribution du : 02/12/2007 14:07
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"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois |
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Re : A propos de Veronika |
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Expert Onirien
Inscrit:
25/05/2007 11:03 De Loire Atlantique
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Ne pas décrire chronologiquement les scènes est recommandé pour rompre la monotonie d’un récit. Peut-être ai-je été maladroit, mais, apparemment, pas tant que ça.
De même, adopter un point de vue différend selon le personnage est volontaire. Là, je ne suis pas parvenu à mon but, car c’est bien le point de vue de l’enfant que je voulais mettre en exergue par la voix du narrateur. Suis-je trop explicatif ? « mais j’y suis obligé, je ne peux m’y soustraire » Un seul terme peut suffire pour le lecteur, mais dans le langage courant combien de fois corroborons-nous un propos par son identique pour lui donner plus de force ? « Devra-t-elle désormais rester toujours avec cette inconnue ? » OK, c’est pléonastique. « Et puis ce sera aussi l’occasion de paraître en public. » D’accord, cette phrase n’est pas vraiment utile. « le défilé aura lieu plus tard. » Simplement pour préciser l’isolement du président, favorable à l’attentat. « la peur est en chacun » Pour montrer que le peuple est opprimé, ce qui n’est pas évident à ce stade de la nouvelle. " Ma chérie, je vais devoir te laisser pour quelques temps. Je dois quitter la ville pour aller en un lieu peu agréable pour toi. » Pourquoi un père ne parlerait-il pas ainsi à son enfant ? Rien ne laisse présumer dans le texte du niveau social de l’homme. « la peur inscrite dans leur regard > OK, « inscrite » pas nécessaire. « Les cheveux noirs de la jeune femme tombèrent sur ses épaules. » Oui, j’aurais pu mettre « glissèrent » à la place de « tombèrent ». Là, Pat chipote vraiment, mais c’est justifié. Alors ? Suis-je trop explicatif ? Oui, un peu. Merci à tous de vous être intéressé à Veronika.
Contribution du : 03/12/2007 17:22
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