Bonjour,

Je tiens à remercier monsieurF, Macaron, Marite et Brabant d'avoir pris le temps de commenter mon texte.

J'ai été saisie de la lecture poussée en filigrane de Macaron !

En effet, le texte démarre en prose sur un souvenir qui pose la réalité dans laquelle se trouve engluée la narratrice. Situation à laquelle elle souhaite s'abstraire pour mieux s'envoler. Et c'est la partie poétique qui, comme le fait remarquer Marite, se libère progressivement.
Voilà pourquoi le début paraît plus lourd, MonsieurF, ancré dans la réalité.
Je ne suis pas insensible aux appréciations de Brabant.

« Appel à un dépassement de soi », c'est en tous cas ce que suggèrent vos remarques judicieuses.
Un grand merci !