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A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Merci à tous ceux qui ont permis la publication de mon texte, Mémoires d’un puceau contrarié

Merci à mes lecteurs et à mes commentateurs, dont les mots traduisent à peu près tous la même perception de ce puceau contrarié, que la vie a dérouté comme un gaucher qu’on a forcé à écrire de la main droite :)
A partir de là, il me paraît redondant de remercier chacun individuellement. Il reste toutefois quelques interrogations précises de certains lecteurs, mais pardonnez-moi d’avance si ma façon d’y répondre n’utilise pas au début de toutes mes phrases la sempiternelle formule « A mon avis… » Considérez que ces mots s’y trouvent. Mon intention est juste de partager la genèse d’un texte, je n’ai pas la poésie taiseuse, et plutôt que de regarder une gothique s’habiller (comprenez une poésie hermétique) je préfère voir une jolie fille sans chichis se déshabiller. J’ai déjà eu l’occasion d’échanger des idées « poétiques » avec certains d’entre vous, et c’est la première raison de mon inscription sur le site.

- Myndie parle de « la mélancolie et du caractère obsessionnel des pensées du personnage, tournées vers un passé peut-être sublimé… » Ah ces points de suspension, ces éternelles manœuvres entre poète et narrateur… Le roman c’est l’art de faire cracher les mensonges aux personnages. La poésie c’est l’art de leur faire cacher les vérités. Le roman ferme, la poésie ouvre. Si vous voulez dire, écrivez un roman, si vous voulez taire, écrivez un poème. Voilà mon opinion sur le sujet.

- Non, chère Cat, vous ne vous êtes pas trompée. Disons que Puceau contrarié a deux sens, celui que vous lui donnez lorsque vous dites : « Mais il y a aussi en filigrane comme du regret. Celui qui à mon sens vient toujours, dès que l’on pose le premier pas au paradis ». Que je traduis aussi par l’idée que certains hommes amoureux aiment redevenir puceau devant leur nouvelle conquête, avant que la première douche n’emporte déjà leurs illusions :))

Mais il y a aussi l’idée d’un Casanova dans sa destinée contrariée de séminariste. Un peu la même que celle d’un gaucher contrarié. J’aime croire que la vie nous mène par le bout du nez, plutôt que l’inverse.

Vous dites aussi : « Merci pour ce texte qui ne m’a pas encore livré tous ses secrets ». Je ne suis pas un auteur compliqué qui échafaude des métaphores du troisième degré. Pour moi, la poésie c’est écrire des choses assez simples comme personne d’autre ne pourrait les écrire. Autrement dit, après chaque vers, je me pose la même question : « Est-ce que quelqu’un d’autre aurait pu employer les mêmes mots que moi ? » Si la réponse est oui, alors c’est que mes mots sont insuffisants, impersonnels, et donc mauvais. C’est ce que je veux exprimer lorsque je parle de clichés dans mes commentaires.

La seule idée qui ne soit peut-être pas immédiatement perceptible est celle de Pan, au troisième quatrain. Beaucoup l’ont sans doute comprise mais la confusion me gênerait et l’expliquer donne je crois, au contraire, le loisir d’explorer la genèse de l’intention. Je ne suis pas fasciné par l’idée que le lecteur comprenne autre chose que ce que j’ai voulu dire. Intellectualiser avec lui une rencontre loupée n’est pas mon but dans l’écriture. Donc, Pan n’est pas Peter, évidemment, ce gamin qui ne veut pas grandir. Pan est un demi-dieu de la Mythologie dont l’ascendance est controversée. Ça va de Zeus à Hermès, en passant par moins reluisant. Je vous la fait courte, Pan était un tombeur de nymphes pas toujours consentantes. Vous me direz qu’avec des cornes et des pieds de bouc… L’une d’elles, Syrinx, préféra être changée en roseaux que de lui céder. Pan pour se consoler pris une brassée de roseaux et fabriqua une flûte champêtre appelée syrinx ou flûte de Pan. Une autre, Echo, se refusa aussi à lui. Alors Pan excita contre elle, les bergers du pays, qui la mirent en pièces et dispersèrent ses membres sur toute la terre. Gaïa, la Terre, la recueillit dans son sein et tous ses membres disjoints gardèrent le pouvoir de répéter les derniers mots d'une phrase. Tiens tiens, Echo, ça ne vous dit rien ? Elle figure dans le poème, au milieu du vers qui suit celui de Pan… Pan symbolise donc dans mon poème la recherche constante du désir mais aussi tous les râteaux que s’est pris le puceau contrarié :)

Quand à la mandragore, sa racine a évidemment un corps de femme dans l’iconographie populaire, en plus d’être l’herbe aux magiciens, aux vertus aphrodisiaques.
Une mandragore à poil
Une autre…

***************************************************

- Mais, profitant d’un espace personnel, j’aimerais détacher de ces remerciements les quelques opinions ou questions à propos de la versification. J’invite mes aimables lecteurs que le sujet n’intéresse pas à abandonner d’ores et déjà ce pensum puisqu’il ne sera plus question que de cela :)
Je suis un amoureux de la forme classique, à laquelle j’aime me confronter jusqu’aux derniers détails. Ne me demandez pas pourquoi, c’est comme un tailleur qui reprendrait dix fois les épaulettes et le plastron d’une veste parce qu’ils ne lui semblent jamais assez bien entoilés. Cette exigence formelle, je ne la réclame pas pour les autres (à l’exception de Cristale :)). Notez que je parle d’exigence et non d’excellence, à laquelle personne n’oserait prétendre et qui n’a pas de médaille à réclamer à la première.

J’ai bien compris que ça n’intéressait pas forcément une majorité de lecteurs ici, et lorsque je signale une remarque en commentaire, ce n’est jamais une manière de vouloir porter un jugement sectaire, mais juste une manière de me confronter moi-même à un jeu de modelage. Lorsque j’aime un texte classique, j’ai envie de le dépecer. C’est pour moi le plus grand respect que je peux lui montrer. Mais j’ai bien conscience de ne pas toujours être compris dans cette approche, et puisque je n’envisage de modifier ni mon style ni ma façon d’appréhender les textes, j’ai décidé, au moins pour un temps, de ne piocher que parmi ceux qui me plaisent.

Mon texte a donc été présenté en catégorie Contemporain, car il n’est pas question pour moi de contrevenir au mot « classique », qu’il soit précédé ou pas d’une coquetterie ou d’une amabilité de type « Néo ». Autrement dit, mon texte serait retenu en Néo, qu’en moi-même je refuserais ce classement. C’est pourquoi je ne m’épuiserai jamais à essayer de comprendre ce que Oniris accepte ou non dans cette catégorie.
Cristale a bien expliqué pourquoi mon texte n’est pas classique, ni ici ni nulle part ailleurs, même si j’ai encore vu cette année dans un grand concours, un texte classique primé avec la rime froid/effoi, contrevenant à la règle qu’un mot terminé par une voyelle ne peut pas rimer avec un mot terminé par une consonne. La seule exception, parfois acceptée (Quid d’Oniris ?) est la consonne H en fin de mot. Mollah pourrait alors exceptionnellement rimer avec Il alla, par exemple.

A mes yeux ce n’est d’ailleurs pas le seul écart. Mon vers pivot : « C’était le temps d’autant en emporte le vent » contient une rime léonine autant/vent, il y a également deux fois un écho au premier hémistiche (vent/autant au 13e et 14e vers) et temps/autant aux deux derniers vers. Personnellement je me refuse cela en classique (même si Oniris l’autorise), excepté si la distance dépasse celle d’un alexandrin entier, par exemple la césure médiane d’un vers (l’hémistiche) qui ferait écho avec la rime du vers suivant.

Alors oui, un certain nombre de mes « rimes » masculines n’ont en effet pas la même consonne terminale équivalente, ce qui l’exclut d’emblée de la catégorie. D’ailleurs, ce ne sont pas des rimes mais des assonances.
A ce propos je veux dire que le choix est délibéré. Lorsque je décide d’écrire un poème de sensibilité « classique », je me pose toujours en premier la question de la rime : riche, suffisante, pauvre, simples assonances, respect ou non des règles de terminaison, etc… Et là on sort du cadre purement technique pour laisser parler une parole cachée de l’auteur (je n’ose pas dire du poète), moins palpable pour le lecteur qu’une versification parfaite.

Par exemple, mon poème tourne bien sûr autour du sentiment amoureux, du désir et parfois de la frustration qu’il procure. J’ai voulu exalter la femme et l’esprit de sa conquête. C’est pourquoi j’ai tenu à des rimes féminines « parfaites ». Elles sont toutes conformes au classique. Mais le socle de mon poème est le vers : « C’était le temps d’autant en emporte le vent », et je ne voulais pas de huit rimes en ent ou ant pour lui tourner autour, puisque cette diphtongue, très courante à la rime, forme à la longue des rimes pauvres, dans le sens où les dernières finissent souvent par être trop attendues, comme évidentes. D’autre part, en contrepoint à la femme désirée, idéalisée, je voulais rendre le narrateur, l’homme, amoureux mais imparfait, inconstant, capricieux, infidèle, et donc, en combinant ces deux idées, j’ai pensé à utiliser des assonances masculines plutôt que des rimes. C’est la raison pour laquelle ces rimes se désagrègent en avançant dans le poème, pour devenir des assonances.

Concernant les strophes, j’aurais pu leur donner la forme des septains romantiques de Vigny (ababccb), mais le septain n’a pas forcément de repos fixe, or ici, je tenais absolument à cette séparation 3vers/4vers, dans laquelle les tercets traduisent le désir et les quatrains l’illusion romantique :) Et puisque le changement de strophe s’opérait de manière classique M/F ou F/M, je n’avais plus à hésiter.

Voilà, je pense en avoir fini avec la genèse du poème. Je vous en conseille un grand verre juste avant la sieste.

Merci encore à tous.

FrenchKiss
classique arrangeant

Contribution du : 16/01/2019 13:14
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Bonjour FrenchKiss,

Merci d'avoir ouvert votre forum. J'aime beaucoup que les auteurs viennent ici animer leurs textes. Il faut dire que vous le faites d'une manière très intéressante, qui donne envie de vous accompagner un peu plus loin qu'un simple commentaire.

C'est en cela que je trouve le rôle d'un site comme Oniris particulièrement bien accompli.

Et merci aussi de répondre à mon interrogation sur votre poème.

Si je m'étais davantage attardée sur les points de suspension de Myndie, je me serais peut-être sentie moins seule dans mon ressenti.

Vous me répondez aussi lorsque je dis que votre texte ne m'a pas livré tous ses secrets. J'avais cette impression, non pas que vous soyez un auteur compliqué, pas du tout, mais juste parce que je n'ai pas su mettre en mots l'idée du Casanova dans sa destinée contrariée. Vous m'apportez la phrase parfaite sur un plateau. :))

Je trouve d'autant plus sublime votre histoire de Pan et d'Echo, car je subodorais qu'il était question dans votre poème de bien plus qu'une simple contrariété, mais sans savoir dire pourquoi. Me voilà bien renseignée maintenant.

Merci encore, sans compter que grâce à vous je vais en apprendre davantage sur ce qui pousse les poètes au Classique. Votre amour et votre exigence en la matière, en font déjà de bons ambassadeurs. Du coup, cela me rend la poésie classique moins rébarbative, à moi qui suis une fan absolue de la Liberté.

Il me reste à vous dire que vous venez d'entrer dans mon panthéon, aux côtés de Cristale et de Myndie, mes poètes aphrodisiaques favorites. Si vous le permettez, je ne trouve rien de plus aphrodisiaque qu'un homme sachant retrouver ses mémoires de puceau, même contrarié.

A vous relire, ici et ailleurs.


Cat

Contribution du : 16/01/2019 14:17
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Cat,

Votre retour généreux me touche. Entrer dans un Panthéon est toujours intimidant, surtout qu'on ne sait pas toujours à côté de qui on va nous poser le hamac. Bon, là, vous m’avez choisi deux nymphes machiavéliques dans leurs chemins tortueux et épineux, Cristale et Myndie, que j’autorise s’il le faut à me faire Pan Pan aux fesses si je débarque avec mes gros sabots sur la plage. Encore des râteaux poétiques en perspective…

Sinon, je suis comme vous un fan absolu de liberté, mais j’en ai parfois marre des cavalcades dans les déserts mal desservis. J’ai besoin d’une carte qui ne m’éloigne pas trop d’un point d’eau, et s’il y a une machine à glaçons je peux même y passer la nuit. Le genre prophète qui veut me faire porter son sac à dos sous le cagnard, faut pas compter sur moi. Mais on m’a dit que vous fabriquiez des glaçons à tous les parfums…

FrenchKiss
glacier du désert

Contribution du : 16/01/2019 15:58
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Maître Onirien
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31/01/2014 22:04
De quelque part entre ciel et terre
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Ah ah! morte de rire!
FK, vous ne seriez pas une réincarnation de San Antonio?
Bon, pour le pan pan, je passe la main (si je peux dire). je suis bouddhiste et non violente) ^^

La poésie ouvre et tait : voilà qui est joliment dit. Vous ne seriez pas un peu poète aussi?

je voulais préciser que mon commentaire ne voulait en aucune façon emprunter la piste autobio, si vous voyez ce que je veux dire. Vous êtes vous senti visé?


Cat, tu me fais vraiment trop d'honneur.
Pour le panthéon et la comparaison avec Cristale.

Aphrodisiaque, bah, ça ne me dérange pas

Contribution du : 16/01/2019 16:29
_________________
"Les mots peuvent être "impuissants" et pourtant ils sont tout ce que nous avons pour étayer nos ruines". Joyce Carol Oates
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Cher FrenchKiss,

Vous ayant découvert fort plaisant à lire dans le fil des Gilets Jaunes, j’ai poussé la porte de la catégorie voisine de celle où je vilipende comme vous des textes dans lesquels une virgule ne me plait pas (j’ai lu aussi vos commentaires).
J’ai lu et apprécié votre poème, mais pardonnez-moi de ne pas le commenter. Ce serait un peu comme si, muni d’un feuille de papier que je viendrais de plier en forme d’aéroplane, je débarquais dans un atelier à Toulouse pour signifier à un ingénieur en quoi je trouve pertinent ou non la localisation d’un rivet sur la gouverne de profondeur de son Airbus A380.

Je voulais d’abord vous signaler – n’en prenez pas ombrage ! – qu’en m’inscrivant sur Oniris, j’ai exigé des organisateurs qu’aucun post de plus de 2.000 signes ne serait toléré de la part d’un autre onirien que moi-même. Merci de veiller à l’avenir à les aider au respect de cette clause.

J’ai été très intéressé par la comparaison roman/poésie. J’en conclurais presque que le roman est masculin et que la poésie est féminine. Après tout, on ne parle de la roman ou du poésie. Un homme doit mentir à une femme pour lui dire ce qu’elle veut entendre tandis qu’une femme tait la vérité en espérant que l’homme la déduise. C’est très caricatural, je sais, mais il y un peu de ça quand même.

J’ai pris aussi grand plaisir à lire votre deuxième partie de post, celle destinée aux coupeurs de cheveux en quatre. Je me rappelle cette réplique de Jean Gabin à Jean-Paul Belmondo dans Un singe en hiver : « Ce qui m’intéresse dans votre histoire, c’est pas l’Espagne, mais le voyage ». J’ai lu le Sorgel (fort peu clair, je trouve) ainsi que deux trois autre bricoles glanées de ci de là et j’ai tenté de jouer aux legos comme vous le faites merveilleusement, mais je vous avoue qu’au-delà des quelques règles élémentaires que je pense avoir intégrées, ça me pompe l’air, par exemple s’il s’agit de menacer de mort un confrère au sujet d’une prononciation au prétexte que le mot qui la porte admet une variante orthographique ayant eu cours il y a deux millénaires. Et pourtant, je serais parfaitement capable, dans d’autres domaines, de discuter une semaine entière au sujet d’un détail insignifiant. Bref, je connais peu l’Espagne, mais j’ai aimé le voyage, et j’apprécie la distinction que vous faites entre exigence et excellence. C’est marrant, je m’entretenais de cette distinction sur la vocathèque il y a quelques jours à peine, avec Cat également présente sur ce fil.

Dites-donc, justement, moi qui adore perdre mon temps en coupant les cheveux en quatre dans d’autres domaines, je m’étonne que vous ne soyez que troisième dans le classement poésies avec quinze Passionnément et trois Beaucoup. En comparaison avec le premier du classement, c’est très étonnant. Là, tout de même, je me demande s’il n’y aurait pas un rivet mal positionné dans la gouverne de profondeur de l’algorithme de classement.

Contribution du : 16/01/2019 16:51
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Myndie, vous dites : « je voulais préciser que mon commentaire ne voulait en aucune façon emprunter la piste autobio, si vous voyez ce que je veux dire. Vous êtes vous senti visé ? »

Non, pas du tout, c’est justement pour ça que je parle de « ces éternelles manœuvres entre poète et narrateur… » et non pas de « cette éternelle confusion entre poète et narrateur… » .
J’ai bien compris que vous parliez du passé sublimé du puceau. J’ai bien compris aussi que vous n’alliez pas me dénoncer.

Vous dites aussi : « Bon, pour le pan pan, je passe la main (si je peux dire) ».
Je note donc aussi que pour dire non, vous passez la main. Ne me racontez rien quand vous dites oui. Vous savez pourquoi sept femmes m’ont déjà quitté ? Non, non, c’est pas parce que je serais moche et pauvre, c’est juste qu’elles me disent que je ne les comprends pas. En fait, quand on dormait le cul tourné, c’est qu’on n’en pouvait plus de désir. Ah les femmes… Depuis que je n’en fréquente plus, j’ai un Rubik’s Cube. Ben croyez-moi si vous voulez, la solution est beaucoup plus simple.

FrenchKiss
fidèle au rubik’s cube

Contribution du : 16/01/2019 17:04
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Citation :

Ah les femmes… Depuis que je n’en fréquente plus, j’ai un Rubik’s Cube. Ben croyez-moi si vous voulez, la solution est beaucoup plus simple.


Je craignais que ma remarque au sujet des genres du roman et de la poésie n'apparaisse quelque peu misogyne, mais je ne sais vraiment pas pourquoi je m'encombre encore de tant de craintes quand la réalité parait évidente à tant d'autres qu'à moi-même.

Je dois être un gaucher contrarié, moi aussi.

Contribution du : 16/01/2019 17:24
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Maître Onirien
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Bon, je constate que les débats ouverts ici se poursuivent. Je peux donc continuer sur mon propre sujet mais je me demande si je dois, comme vous l'avez si bien fait FrenchKiss, donner de façon explicite la traduction du fond et de la forme...hum hum...sans recevoir le pan pan...de la censure ^^
Quant à nos plages communes avec Cat et Myndie vous pouvez venir sans crainte. La convivialité est notre point fort.

Par contre Myndie qu'entends-tu par "passer la main" ?

Je me demande combien de touches comporte le clavier de Stony, à moins que ce soit un clavier télescopique. Il me le dira lors de notre rencontre samedi sur les champs dans la fumée des lacrymos. ICI

Je vous abandonne momentanément au passé sublimé de votre puceau.

Cristale

Contribution du : 16/01/2019 17:49
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Visiteur 
Citation :

Je me demande combien de touches comporte le clavier de Stony, à moins que ce soit un clavier télescopique.


Cristale, si j'étais capable de parler d'accessoires télescopiques avec autant de talent que vous (toi-même, FrenchKiss, Myndie et d'autes), il y a longtemps que je me serais mis à la poésie.
Mais bon, est-ce nécessaire d'en parler ? Comme le dit la chanson : "Ce soir là, on s'est embrassé sans se parler".

Contribution du : 16/01/2019 18:06
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Re : A propos des Mémoires d'un puceau contrarié
Maître Onirien
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De Là-bas
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Citation :

stony
... si j'étais capable de parler d'accessoires télescopiques avec autant de talent que vous (toi-même, FrenchKiss, Myndie et d'autres), il y a longtemps que je me serais mis à la poésie.


Oui, chut...

Mais... FrenchKiss s'y est bien mis... alors...

Contribution du : 16/01/2019 18:39
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