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1 Utilisateur(s) anonymes
A propos des mots d'où de Robot |
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Maître Onirien
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17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
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Mille excuses pour avoir tardé à remercier, mais je me suis accordé dix jours de vacances sur mon activité de retraité sans télévision ni téléphone ou ordinateur.
Pour être franc, je ne m’attendais pas à ce que ce texte soit retenu car, comme le souligne Hananke, je l’avais conçu en effet comme un exercice de style. Je l’avais présenté dans l’espoir d’avoir des retours en pré lecture. J’attache beaucoup d’importance à l’espace lecture, j’apprécie les retours d’appréciation des autres auteurs sur mes textes non retenus. C’est pour cela d’ailleurs que j’y « sévi » moi-même régulièrement car à donner un avis sur les textes des autres permet un enrichissement de sa propre écriture. De plus, cela permet de rester dans l’esprit d’entraide du site. Pizzicato me fait plaisir en notant que mon petit ouvrage n’est pas dénué de sens car c’était l’un de mes objectifs. Passer de mot en mot tout en gardant au texte une logique narrative. Ce qui m’a été le plus difficile à réaliser et je n’y ai pas parfaitement réussi. Je voudrais vous expliquer « ma » logique de certains enchaînements. Et souligner certains défauts que vous n’avez peut-être pas vus ou voulus relever « Légère plume - hume les rimes », Ce hume qui n’a séduit ni Ioledane, ni Pizzicato. J’ai pensé à la plume qui vient respirer le mot, le sentir, le humer. Humer = sentir dans le but d’apprécier ou non un mets par exemple. « Elles sont fêtes – Fétus de blés » La rime peut être joyeuse mais aussi être emportée au gré de l’humeur du poète. « Blessées aussi, si délaissées ». Cette construction ne m’a pas satisfait pour deux raisons. D’abord parce qu’elle crée un double écho : (aussi – si) et (Blessées – délaissées) sur le même groupe et qu’ensuite le même écho revient dans le vers suivant (délaissées – laissées) Autre imperfection l’écho approximatif aux prés – Auprès (Accent grave et aigu) qui n’est pas souligné dans les commentaires mais dont je me suis rendu compte après envoi. Par contre, s’agissant de Hier que souligne ioledane, je me suis référé à André Poipy dans son traité de versification qui donne hier comme un mot admis à la fois avec ou sans diérèse. Je poserai la question en forum. « Mourir en Faim. » Peut-être aurais-je du laisser ce vers lié au précédent « vers les amours » sans le sauté de ligne. Dans mon esprit, il s’agissait de mourir métaphoriquement affamé d’amour d’où la conclusion « aime moi fort » qui comme le dit joliment senglar vient nouer le fil du collier. Encore que Wancyrs fait une suggestion qui renouerait encore mieux le collier avec reprise en finale du mot doux du début. J’aime ces perspectives ouvertes en commun et vos remarques m’encouragent à retravailler ces vers. A Alexandre et Hanternoz, heureux de voir que nous avons les mêmes références. …Terre de feu… Feu follet… Hellian : Facile ? Ce n’est pas mon avis. Le but de l’exercice étant de se donner des contraintes dont les principales étaient de reprendre les fins de vers pour débuter le vers suivant, et de conserver une cohérence au récit… La preuve que ce n’est pas s si facile (pour moi) c’est que je n’y ai pas totalement réussi. Je vous engage à essayer, c’est à la fois amusant et instructif poétiquement parlant car vous serez d’accord avec moi je pense pour dire que le « libre » n’est pas qu’une juxtaposition de mots et qu’il ne vaut que par le respect des contraintes librement choisies. Troupi : Je suis de ceux qui font rarement long car c’est un exercice difficile pour mes capacités de tenir un texte poétique sur plus de 25 vers… et c’est déjà beaucoup. Voilà, merci à vous chers amis visiteurs et commentateurs Ioledane Hananke hanternoz senglar PIZZICATO Alexandre Wancyrs Hellian Troupi pour vous être arrêtés sur mon petit exercice. Personnellement, je pense que ce genre d’objet sans prétention nous permet d’affiner notre plume pour des poésies plus élaborées en s’obligeant à des contraintes librement choisies… sans aller jusqu’au Laboniris sur lequel je suis allé jeter un œil: il y a des choses intéressantes… A bientôt sur Oniris
Contribution du : 28/12/2013 10:29
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Vivre au paradis, quel enfer ! |
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