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1 Utilisateur(s) anonymes
A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Maître Onirien
 
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17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
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Ce petit texte sans prétention, je ne pensais pas qu’il susciterait beaucoup d’intérêt. Je me trompais puisque Francis, Hananke, Michel 64, Papipoète, Tizef, Alexandre, PIZZICATO, Damy, Leni, Funambule, Pieralun, vous avez bien voulu laisser un souvenir de votre passage. Merci à vous tous, à Marimay pour ses corrections, et à ceux qui ont permis la parution de ce texte.
L’idée m’est venue en retrouvant par hasard « La fourmi de 18 mètres » de Robert Desnos. Cette relecture m’a incité à réécouter des chansons de Stève Waring et Gérard Dalton. Puis je me suis rendu compte que sur Oniris comme dans beaucoup d’autres lieux de poésie, on écrivait peu pour les enfants et la jeunesse. Pourtant ils sont le vivier de la poésie de demain et comment les intéresser sinon en écrivant des textes qui puissent leur plaire. Leur proposer des histoires toutes simples avec des rimes qu’ils puissent avoir plaisir à écouter, à chanter et à tenter de reproduire. Car c’est par l’histoire le rythme et les sonorités qu’enfant j’ai commencé à apprécier la poésie. Et puis, quel adulte a pu résister à ces vers de Desnos bredouillé par un gamin ou une gamine : Une fourmi de dix-huit mètres Avec un chapeau sur la tête Ça n’existe pas, ça n’existe pas. Une fourmi trainant un char Plein de pingouins et de canards Ça n’existe pas, ça n’existe pas. Une fourmi parlant français Parlant latin et javanais Ça n’existe pas, ça n’existe pas. Eh ! Pourquoi pas ? Sans rien révéler de secret, un musicien renommé du site me propose de composer une musique. On en reparlera le moment venu. Un petit mot pour Alexandre qui pointe le doigt où ça fait mal.  Je n’ai pas imaginé le texte sans me référer à des ouvrages et il se trouve que sur l’un de ceux que j’ai consulté on décrit le geai des chênes ainsi : Un bel oiseau au plumage rose foncé. A côté une image avec un oiseau bien coloré d’un rose vif, avec seulement deux petites traces bleues sur les ailes, pas rouge effectivement, j’ai peut être un peu extrapolé sur l’écarlate pour la rime. Bien sûr, Hananke pour répondre sur la cruauté de la gent ailé, je n’ai pas fait œuvre scientifique de naturaliste, surtout quand j’observe autour de la mangeoire de mon balcon la guerre acharnée que les mésanges mènent contre les moineaux pour les empêcher d’approcher de la réserve de tournesol.  Je retiens vos remarques sur les mots qui se heurtent pour papipoète et la longueur irrégulière des vers du refrain pour Leni. Il faut dire qu’en rédigeant une ronde, il va de soi que j’avais une sorte de musique personnelle en tête et que c’est à partir de ce rythme que les vers et les mots sont arrivés dans la forme finale. J’ai cependant apporté une modification avant publication sur le couplet final, j’avais écrit « et la main sur le cœur » avant de réaliser qu’un hibou n’avait pas même ce qui ressemblerait à une amorce de main.  Merci à tous et à bientôt pour le plaisir de découvrir vos prochains textes.
Contribution du : 30/01/2015 14:32
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Visiteur
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Salut Robot... Tout compte fait tu as bien fait ! Un geai écarlate n'a rien de choquant en poésie et je ne suis qu'un triste sire doublé d'un vieux trouble fête...
Promis, je ne le ferai plus !
Contribution du : 30/01/2015 18:34
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Maître Onirien
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17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
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J'ajoute mes remerciements à Baguette et Lulu qui ont déposé un aimable commentaire sous ce texte. Amicalement.
Contribution du : 31/01/2015 10:24
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Vivre au paradis, quel enfer ! 
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Expert Onirien
 
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04/12/2011 22:17 Groupe :
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Bonjour et... merci du merci. Pour info (et quitte à contredire un brin mon vieux compagnon de route et ami Leni), la variation de la longueur des pieds (sur un refrain ou ailleurs) importe peu; ce qui importe est la répétition des pieds (couplets ou refrains) qui permet celle de la mélodie. Je défends parce que je fais (presque) tout le temps ça. Merci encore pour ce texte charmant !
Contribution du : 31/01/2015 15:33
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Maître Onirien
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06/12/2011 14:04 De Charleroi Belgique
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Je me doutais "des réactions" Moi le faussaire en alexandrins je vous
demande Mon Cher Robot d'oublier ma remarque de prosodie Je m'engage à ne jamais récidiver Ceci devrait rassurer mon Ami Funambule que j'applaudis sur son fil ..... Leni
Contribution du : 31/01/2015 17:32
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La vérité d'aujourd'hui est l'erreur de demain Le talent c'est d'en trouver aux autres R Hossein Plaire à tout le monde c'est plaire à n'importe qui S Guitry |
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Expert Onirien
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Hé mon Leni... tu as le droit penser différemment (et surtout de le dire) Le fait est qu'en chansons pas mal de vérités cohabitent. Certains auteurs (en général compositeurs aussi) "prosent" plus qu'ils ne "mètrent" et s'en sortent quand même (les salauds). Mais il est évident que nous, simples auteurs, devons présenter un "produit"... heuu... disons le plus facile possible à mettre en musique.
Contribution du : 31/01/2015 18:15
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Maître Onirien
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17/04/2013 18:11 De Monts du Jura -
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Mon inculture musicale étant flagrante je ne saurais pas trancher le débat. Par contre, je suis sensible aux rythmes et aux ruptures de rythmes en poésie aussi importantes les unes que les autres. De ce point de vue je suis un dilettante qui procède par empirisme. Peut-être s'agit-il seulement de conditions dictées par les circonstances.
Merci à vous deux pour cet échange cordial et intéressant.
Contribution du : 31/01/2015 19:52
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Visiteur
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Hello Fun, je voudrais ajouter une petite remarque concernant ce que tu as écrit à propos des pieds pour une chanson : « ce qui importe est la répétition des pieds (couplets ou refrains) qui permet celle de la mélodie». Oui, c'est valable pour le standard couplet/ refrain.
Mais ça n'est pas une contrainte. Il m'est arrivé de mettre en musique des textes où la métrique est totalement irrégulière, et dans la même strophe et dans les suivantes entre elles. Il est vrai que ça donne au compositeur beaucoup plus de travail de recherche que pour le traditionnel couplet/refrain. Ce qui revient à dire qu'il n'y a rien de vraiment figé pour une chanson. Je profite de l'occasion pour t'adresser un bonsoir amical. Yves
Contribution du : 31/01/2015 22:00
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Visiteur
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Voici un exemple de texte difficile qui a fait surchauffer mes neurones de compo hihi.
http://ahp.li/f4f0f4f35115651d463f.mp3 
Contribution du : 31/01/2015 22:23
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Re : A propos des oiseaux en habits neufs. Merci! |
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Maître Onirien
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Superbe mélodie sur un super texte. Merci Pizzicato. Je viendrai réécouter en cas de moment de blues.
Contribution du : 31/01/2015 23:24
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