Merci aux membres du Comité éditorial, d'avoir permis à cette nouvelle qui me tient particulièrement à cœur de figurer dans le catalogue.

Pour répondre de façon générale aux questions que certaines et certains se posent ou se poseront à son sujet, disons qu'il s'agit d'une fiction qui a eu pour point de départ des pratiques dont j'ai entendu parler autour de moi et dont l'injustice m'a quelque peu révolté.

Cette nouvelle ayant été écrite il y a un peu plus d'un an maintenant, j'ose espérer que ces pratiques seront reconsidérées eu égard à la crise que nous traversons et certaines priorités revues. Quoi qu'il en soit, j'aurai été heureux d'être à mon niveau le porte-parole de celles et ceux qui ont à subir ces désagréments au quotidien et qui n'ont hélas d'autre choix que de faire avec en attendant de trouver une opportunité meilleure ; ce qui est de moins en moins évident par les temps qui courent.

Enfin, un grand merci à vous, chères lectrices et chers lecteurs, pour l'attention que vous lui porterez, ainsi que pour vos commentaires qui sont toujours importants à mes yeux et peuvent parfois, je dis bien parfois, m'amener à explorer des pistes auxquelles je n'aurais pas songé dans un premier temps... Et comme d'habitude, je vous en souhaite une très agréable lecture !

Je viens de commenter le texte.
je voudrais ajouter ici que tu es très optimiste en ce qui concerne un changement !
En fait, c'est exactement ce qui me manque dans le texte, une situation optimiste, un twist venant d'elle ou de quelqu'un d'extérieur, pour qu'elle dise "non".
Le fait de se griller soi-même après que l'entreprise s'est servie de tes compétences est encore plus sournois que ça. Par exemple, en traduction, ce sont les traducteurs eux-mêmes qui fournissent pas leur savoir (et même talent) au fil de leurs traductions les ressources pour élaborer des traductions informatiques de plus en plus fines. Vive l'IA.
Tous les traducteurs te diront qu'aujourd'hui, ils font de plus en plus du passage derrière une traduction-machine, pour rectifier un peu le tir, donner une touche un poil humaine.

Ceci dit, justement, c'est bien d'aborder ce problème. Et les jeunes qui cherchent du boulot n'ont pas toujours le choix, dans un premier temps. Mais la société, je veux dire chacun de nous, ne les aidons pas toujours à ce qu'opère leur libre-arbitre. Les rails ont difficilement déplaçables...

Un grand merci Babefaon !