bonsoir troupi
votre lecture de mon poème que chanta si bien Yves, vous a rapproché de moi le papi mélancolique, et ce sujet ne vous est ni inconnu, ni choquant ! J'ai besoin de vos mots et ceux de ces aimés qui le sont moins qu'avant, pour rêver qu'un jour la patience trouve un sourire gommant cette moue et ces yeux levés au ciel .
A vous lire avec grand plaisir, papipoète

Ithaque ; comme je l'ai souligné, que serait-il advenu du texte tout seul ? Dès l'instant où j'ai entendu la bande-son d'Yves, je me suis mis à trembler ... et songeant au sort du poème, je redoutais chaque jour que celui-ci ne fut publié ! Ma " princesse " a entendu sa chanson, le temps de faire patienter son ami Smartphone, et elle a souri ; alors nous nous sommes souri ; merci à vous

hersen ; après la proposition de PIZZI de m'offrir une mélodie, je luis proposai ce texte nostalgique, qu'il sublima de sa voix et ses notes ( je la chante le soir, comme je dirais mes prières ) . Nostalgie habite mon coeur, mais j'espère bien qu'un jour, elle prendra la clé des champs ( ou des chants ) merci à vous

Gouelan ; écouter une chanson les yeux fermés, c'est comme peindre pour un aveugle, et l'on voit défiler les images, ( ces dessins et pastels prenant la poussière ) et le visage du papi à la grise mine . Ma p'tiote reviendra j'en suis sûr, mais d'ici là combien d'yeux levés et de soupirs ! merci à vous

@ papipoete
Citation :

.... Lorsque la sagesse sera venue balayer cette sorte << d'ingratitude >> de l'adolescence " ; alors elle engendrera une autre complicité.

Quant à moi je suis très content que cette mise en musique vous ait plu ainsi qu'aux 'passagers' sur cette publication.

Bien à vous
Yves - Pizzicato

bonjour cristale
Je ne la sais pas encore comme le " pater ou l'ave ", mais chaque soir quand mes yeux se ferment, j'ouvre mon coeur à cette chanson où tu viens " maîtresse des vers divins " de lire et entendre la complainte de papipoète .
J'ai tenté de ne pas " chouiner " sur mon sort, qui reste quand-même enviable, et comme tu l'as relevé, il me reste la coiffeuse qui s'approche de moi avec tondeuse et ciseaux !
Je suis ravi que mes octosyllabes dessinèrent au coin de tes lèvres un sourire ; j'en suis fier et heureux ! Merci à toi

@papipoete, je vous l'avais dit, c'est imparable! Et tant mieux si votre coeur s'en réjouit ! mais prudence quand même, ce coeur n'est pas non plus un hôtel!
Bon dimanche à vous deux
Ithaque