Bonjour,

Merci aux personnes qui ont pris le temps de lire et commenter ma dernière nouvelle, « Les mots oubliés ». J’ai été sensible à ces différentes lectures et répondrai de manière plus détaillée à ces personnes.

Dans ce texte (que je situerais entre la nouvelle et le conte), comme dans les précédents, j’ai souhaité mêler le merveilleux au réel. Le merveilleux fait son apparition par moments dans le récit, sans que la frontière ne soit pas toujours bien définie. Le héros, à la fin du récit, comme l’a bien vu macalys, repart en quelque sorte à zéro mais enrichi de son expérience.

Pour les descriptions, il m’a plu de seulement esquisser les personnages ainsi que les situations, afin de laisser au lecteur une liberté de lecture et d’interprétation.

Tout est-il possible dans l’univers du merveilleux ? J’aurais tendance à dire que oui (surtout quand on a lu des ouvrages tels que « Le 35 mai » d’Eric Kastner. Toutefois, maintenir la vraisemblance du récit m’est importante.

PS : Pour les points plus détaillés, je répondrai directement aux personnes qui ont pris le temps de donner leurs impressions sur cette histoire.