Page d'accueil   Lire les nouvelles   Lire les poésies   Lire les romans   La charte   Centre d'Aide   Forums 
  Inscription
     Connexion  
Connexion
Pseudo : 

Mot de passe : 

Conserver la connexion

Menu principal
Les Nouvelles
Les Poésies
Les Listes
Recherche



Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Au sujet de "Le soleil, bizarremment mesquiiiiin...."
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
30/01 12:17:25
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 1204
Hors Ligne
Bonjour et merci à celles et ceux qui ont autorisé la publication de ce texte, et celles et ceux – moins un – qui l’ont lu et commenté.



Cristale,
Lebarde,
Ioledane,
Papipoète,

Un grand merci pour m’avoir adressé vos impressions positives.


Damy,

D'’autres l’ont trouvé moins harmonieux. Quant à la chanson, j’en serais, je crois, incapable : c’est une écriture différente, et plus casse-gueule.

Robot,
Corto,
Provencao,
Ascar,

Tout simplement merci ! Je tiens à la recherche d’images – peut-être peu prégnante ici – autant qu’à la musicalité, car, à défaut, que serait la poésie sinon une forme de langage comme une autre ?

Miguel,

Je salue votre honnêteté intellectuelle qui ne vous fait pas jeter le poème avec l’eau de la rime. Merci pour vos mots. Quant à la rime incriminée, qui a entrainé des échanges malheureux dont je n’ai pas voulu me mêler, je vous ai détaillé ma réponse en MP. Bon vent, ici ou ailleurs !

Merci enfin à vous, Yannblev, dont la critique attentive, fine et polie (même si je suis en désaccord sur le point de l’absence de musique : le vers impair créant un déséquilibre réfléchi, je le trouve idoine quand il s’agit de traduire un mal-être, un trouble, ou d’esquisser une tragédie ; je ne l’emploierais pas dans un sujet joyeux ou serein par exemple), dont la critique polie, disais-je, diffère considérablement de celle du lecteur qui s’est pointé juste avant lui, sous mon texte, avec ses gros sabots et sa pitoyable agressivité.


D’ailleurs, je présente mes excuses aux cadres du site et aux Oniriens en général pour le petit règlement de comptes qui va suivre (il suffit de ne pas lire !), mais comme j’ai été attaqué il y a quelques jours publiquement, il me faut riposter publiquement moi-aussi à un membre que je n’appellerai jamais autrement qu’« imbécile ». Le mot apparait d’ailleurs en second sur sa carte d’identité. Si ledit énergumène avait sévi par messagerie privée, j’aurais fait de même – ou me serais contenté de l’ignorer.


Il est venu sous mon dernier texte paru poser gratuitement un crachat qu’il a pris pour un commentaire, avec un humour digne des « Grosses Têtes » de Ruquier et une hargne propre aux impuissants. Qu’on le lise et qu’on juge de sa pertinence.
S’il s’était limité à ce pseudo commentaire, j’aurais laissé courir, trouvant que la nullité de ce qui n’a rien d’une critique suffisait à lui faire la publicité qu’il méritait, mais il m’a ensuite attaqué personnellement, gratuitement, et sans fondement dans un forum ouvert et clos récemment (d’ailleurs désagréablement animé par d’autres que moi) et ça c’est insupportable.
Car il joue aussi les délateurs – je lui aurais prédit une jolie carrière dans la dénonciation d’innocents, en d’autres temps – en copiant dans le fil en question un lien vers un sujet que j’ai ouvert et dont il n’a pas compris le second degré (je lui pardonnerais presque : il fallait être un minimum subtil pour le comprendre) afin de me taxer d’une « suffisance » qui m’est étrangère.


Voltaire avait Jean Fréron, Hugo avait Gustave Planche, Zola avait Barbey d’Aurevilly... Gloire à moi ! il faut croire que je possède aussi – à mon très humble niveau – mon imbécile attitré.

Pourquoi cette haine ? Je ne le connais pas, je ne sais rien de lui, j’ignorais son existence avant de m’inscrire il y a plusieurs semaines, je ne l’ai jamais commenté, n’ai jamais mentionné son pseudonyme ou rebondi sur un de ses propos.

Alors, mon cher imbécile (je ne te nommerai pas par souci d’hygiène, tu te seras évidemment reconnu : chaque fois que le mot « imbécile » est dit ou écrit quelque part, irrésistiblement tu te retournes), s’imposent à moi trois options :

1. Soit nous avons ferraillé tous deux sous d’autres pseudonymes et en d’autres lieux, et tu as la rancune tenace.
2. Soit, ayant dans ma carrière amoureuse fait deux ou trois cocus, tu es du nombre. En ce cas il faut vraiment pardonner à ta moitié : elle a des circonstances atténuantes.
3. Soit tu es bêtement, banalement et tristement con. (J’avoue un faible pour cette dernière hypothèse)

Quoi qu’il en soit, mon cher imbécile, j’en ai fini avec toi, je ne m’occuperai plus de ton cas, tu ne m’intéresses déjà plus. Comme dit un personnage interprété par J. Gabin : Je te balaie.
Tu peux m’insulter ici ou ailleurs, refaire des allusions venimeuses dans un forum, rebaver sous un prochain texte, tu n’auras droit qu’à mon mépris.
Le battement d’ailes d’une mouche du genre Scathophaga stercoraria ne pourra jamais m’enrhumer.

G.

Contribution du : 04/04 12:49:37
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Au sujet de "Le soleil, bizarremment mesquiiiiin...."
Expert Onirien
Inscrit:
04/07/2014 23:06
Groupe :
Évaluateurs
Comité Editorial
Auteurs
Groupe de Lecture
Responsables Edition
Membres Oniris
Post(s): 4984
Hors Ligne
Je propose qu'on ouvre une nouvelle section de forum intitulée "octogone" -ou peut-être "dodécagone", selon les goûts- pour tous les poètes classiques qui veulent se foutre sur la gueule. Apparemment c'est plus tendu qu'un rap contender c't'affaire.

Ça va soulever des daronnes en alexandrin !

Contribution du : 04/04 13:20:52
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Au sujet de "Le soleil, bizarremment mesquiiiiin...."
Chevalier d'Oniris
Inscrit:
30/01 12:17:25
Groupe :
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 1204
Hors Ligne
Citation :

Robot,
Corto,
Provencao,
Ascar,

Tout simplement merci ! Je tiens à la recherche d’images – peut-être peu prégnante ici – autant qu’à la musicalité, car, à défaut, que serait la poésie sinon une forme de langage comme une autre ?


(...)

qui a entrainé des échanges malheureux dont je n’ai pas voulu me mêler


J'ajoute Marité, que j'ai oubliée, à ces remerciements.

En outre il fallait lire : "dont je n'ai pas voulu m'occuper", et, plus haut, "qui s'est pointé juste avant vous" (réponses à Miguel et à Yannblev)

Contribution du : 04/04 17:33:43
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer


Re : Au sujet de "Le soleil, bizarremment mesquiiiiin...."
Maître Onirien
Inscrit:
24/01/2014 08:35
De A côté de la forêt de Saint Germain
Groupe :
Auteurs
Évaluateurs
Responsables Edition
Membres Oniris
Primé concours
Comité Editorial
Groupe de Lecture
Post(s): 62960
Hors Ligne
Merci pour cette explication, Graoully, je me posais la question de l'usage de la rime et de la proposition du poème en classique.

Contribution du : 04/04 19:27:23
_________________
Nous sommes les acteurs
Témoins d'un nouvel idéalisme
Dans le théâtre extrémiste
(Dirk Polak)
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant





Oniris Copyright © 2007-2023