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1 Utilisateur(s) anonymes
Au sujet de " Quand je te perds un peu" |
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Maître Onirien
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11/05/2009 17:20 Groupe :
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Merci à tous ceux qui ont lu et commenté ce texte. Je trouve extrêmement difficile de se dévoiler, y compris sur un site poétique qui, par essence, est destiné à cela. En conséquence j'ai été très sensible et attentif aux commentaires.
- Pascal 31: je te connais peu sur Oniris, les ' je sais' étaient voulus; ta première phrase cerne parfaitement ce que j'ai ressenti en écrivant ce texte. Merci - Wancyrs: ta remarque sur le ! de funambule est tellement juste que j'ai rectifié la version définitive dans ce sens. Merci - Lunastrelle: merci pour le clair-obscur - Arielle: il serait difficile de ne pas apprécier un tel commentaire quand il émane, pour moi, d'une de nos références poétiques sur ce site. Merci - Lhirondelle: grâce à ta remarque, j'ai osé le donner à ma fille. La réaction fut si émouvante que je te remercie en t'embrassant de tout mon coeur. - Alexandre: je suis toujours très sensible à tes commentaires ( tu connais mieux que personne la poésie classique) Et la seconde phrase de ton comm m'a énormément touché. Merci et amitiés - Flupke: Merci pour ton commentaire, et la justesse de ton propos sur " les noirs radieux": tu as raison et ils n'existent plus dans la version définitive. - Chêne: un commentaire détaillé, dithyrambique, que dire de plus que merci et amitiés La version définitive pour ceux que cela intéresse:merci à tous Je sais l’envoûtement des aurores dorées, L’ombre réduite à rien de ces midis d’été, Puis, du soleil qui fuit, le parfum exalté ; Ton sourire captif de l’éther des soirées. Je sais ces nuits d’émaux qui ne cessent jamais, Le matin nonchalant où ton corps se soulève, Puis marche sans peser. Ton cœur fait une trêve, Et je sais l’abandon des cieux où tu dormais. Tu avances vers moi, funambule hésitant A glisser pas à pas vers l’impossible instant D’un silence à briser. L’insolence s’égare Où les mots incertains ont l’habit de l’aveu. Ne dis rien mon enfant ! Que nul ne nous sépare ! Endors toi dans mes bras encore un petit peu.
Contribution du : 20/03/2011 11:56
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