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Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Maître Onirien
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Salut Ami-e-s Onirien-nes,

J'interviens précocement afin d'éviter plus de frustration et de malentendus sur mon texte. Il est vrai qu'un texte une fois écris n'appartient plus à l'auteur, et que le lecteur est libre d'interpréter à sa guise, mais je voulais apporter quelques précisions aux termes et expressions qui pourraient, ou ont pu choquer certains.

Déjà mon intention - contenu dans l'incipit et le titre - est d'attirer l'attention sur l'injustice faite à une catégorie de personne. Le sujet n'est pas l'atrocité de la guerre en général, le sujet est l'après guerre. Pourquoi certains doivent être honorés et d'autres pas ? Et si je montre les horreurs que ces gens ont vécus, c'est pour montrer ô combien ils ont droit à une stèle, une statue, un monument, bref une reconnaissance bien visible, c'est tout... C'est un peu comme si, dernièrement avec le mouvement Black Lives Matter, des homosexuels se sont engagé avec ce mouvement à une marche de protestation, qu'il y ait eu massacre, et qu'après on érige des monuments aux noirs morts pendant le mouvement de protestation sans faire allusion au nombre d'homosexuels tués ; on ne me dira pas qu'une personne qui se lève pour revendiquer de l'honneur pour ces morts fait du sectarisme... si ?

Maintenant, pour l'histoire de ce texte, je l'ai écrit lorsque Oniris lança son concours sur l'armistice, mais je ne l'avais pas peaufiné avant la fin du concours. Je me suis documenté, et rien n'a été évoqué dans ce texte sans preuve. le "Sang noir versé pour du sang blanc" peut choquer, mais ce sont les paroles du Général français Joffre que vous pouvez trouver dans cet Article français et vous y trouverez d'autres vérités choquantes encore...

Comme je disais, je ne veux pas, par ce texte remuer le couteau dans une plaie encore béante ; je cherche à montrer que ces z'oubliés ont aussi vécus l'atrocité de la guerre et méritent des honneurs.

Je ne polémiquerais pas sur le sujet.

Merci à ceux qui ont commenté jusqu'à présent !

Wan

Édit : "Les cadavres noirs dans des tombes de blancs" viennent du roman de Pierre Lemaitre "Au revoir là-haut"

Contribution du : 06/01/2021 19:25
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L'homme est comme de l'herbe, et son éclat, comme la fleur des champs ; l'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de Dieu subsiste éternellement !
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Visiteur 
Oui, Wancyrs, c’est bien comme cela que je l’entendais aussi : attirer l’attention sur l’injustice faite aux tirailleurs sénégalais APRES LA GURRE, c’est-à-dire après leur retour dans leurs foyers. Car l’état français leur avait fait des promesses qu’il n’a jamais tenues.

Et afin d’étayer vos dires, cher poète, et renseigner surtout « ceux qui ne savent pas »,voici, publié dans le journal Le Monde, une page édifiante que j’ai conservée précieusement, et concernant cette injustice innommable.

Tirailleurs sénégalais: Hollande s'engage sur la nationalité française

Monde

AFP, publié le samedi 24 décembre 2016 à 11h52


Histoire: cinquante ans après, la France montre sa reconnaissance aux anciens tirailleurs sénégalais.

De la boue d'Indochine aux nuits froides du djebel algérien, il s'est battu sous le drapeau bleu-blanc-rouge. Cinquante ans après, cet ancien tirailleur sénégalais recevra bientôt la nationalité française. "Mieux vaut tard que jamais", sourit Yoro Diao, 88 ans.

Après des années de bataille administrative, cette reconnaissance à laquelle il "ne croyait plus" a été solennellement promise cette semaine par le président François Hollande.

"C'est une injustice qui est réparée. Au Sénégal tout le monde en parle et aussi à Bamako, à Abidjan...", se félicite M. Diao, une barrette de décorations colorées épinglée sur sa veste grise.
Cet homme mince est le doyen d'un petit groupe d'anciens combattants sénégalais qui viennent de quitter un foyer vétuste pour s'installer dans un local neuf à Bondy, au nord de Paris.
Certains portent une calotte traditionnelle, tous ont sorti cravate et costume pour célébrer la nouvelle, même s'"il ne faut pas danser avant que le tam-tam n'arrive", plaisante l'un d'eux.

Agés de 77 à 88 ans, ils appartiennent à la "dernière génération" d'une longue lignée de combattants africains engagés volontaires ou enrôlés d'autorité dans les rangs de l'armée française. Ils ont été de tous les combats du conflit de 1870 contre la Prusse à la guerre d'Algérie achevée en 1962.

Si les premiers régiments ont été formés au Sénégal, ces " tirailleurs sénégalais" à la célèbre chéchia rouge étaient originaires de toutes les colonies françaises, de l'Afrique de l'ouest et du centre, jusqu'à Madagascar.

"On sait que ces « soldats noirs » étaient plus de 200.000 hommes lors de la Première guerre mondiale, 150.000 pour la Seconde, 60.000 en Indochine...", explique l'historien Julien Fargettas auteur d'un ouvrage consacré à ces "soldats noirs".

Engagé volontaire en 1951, Yoro Diao a servi en Indochine puis en Algérie. Il montre quelques photos jaunies tirées d'une enveloppe kraft. "C'était plus dur en Indochine. On tombait souvent dans des embuscades, j'ai perdu beaucoup de camarades, des Blancs, des Noirs".

Longtemps sous-payés, cantonnés à des grades subalternes, les soldats "indigènes" ont obtenu l'égalité des soldes en 1947 puis la possibilité de grimper sans frein dans la hiérarchie.

- 'Tests de français' -

Démobilisés, ces anciens combattants sont rentrés faire leur vie dans leur pays natal après l'indépendance, sans penser que la France, leur "deuxième patrie", pourrait leur tourner le dos.
Pourtant, en 1959, Paris gèle leurs pensions d'anciens combattants. C'est pour les tirailleurs le début d'une nouvelle guerre de tranchées, contre l'administration française.

De haute lutte, ils obtiennent le déblocage de leur pension en 2006. Comme leurs frères d'armes français, ils touchent désormais 336 euros tous les six mois.

Pour le symbole et une plus grande sécurité matérielle, ceux qui vivent en France réclament l'octroi de la nationalité. On les renvoie de ministère en préfecture. On leur demande de fournir les actes de naissance de leurs parents - souvent inexistants -, de passer un test de français.

"Humiliant", tranche Aïssata Seck, adjointe au maire socialiste de Bondy en charge des anciens combattants. "On ne leur a pas demandé de passer tous ces tests quand on les a envoyés au front".
Petite-fille d'un tirailleur sénégalais, cette élue de 36 ans a décidé de lancer une pétition après avoir constaté que les démarches individuelles restaient vaines. "A Bondy, il y a eu 33 demandes, un seul a été naturalisé, après trois ans de procédure", souligne-t-elle.

Lancé sur internet la veille des commémorations du 11 novembre 1918, le texte a recueilli plus de 60.000 signatures en quinze jours, dont celles des comédiens Omar Sy et Jamel Debbouze. Et la situation s'est débloquée.

Contactée par le gouvernement, Assaïta Seck a reçu mercredi une lettre de François Hollande. Elle a rendez-vous tous les mois au ministère de l'Intérieur pour suivre les dossiers qu'elle reçoit de toute la France. "Moins de 1.000" vétérans seraient concernés.
"Bien sûr que c'est tard" mais désormais "c'est officiel, on ne peut pas revenir en arrière", se réjouit-elle. "Du baume au cœur", conclut M. Diao.

Contribution du : 07/01/2021 15:11
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Maître Onirien
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bonjour amis poètes
je pense que Wancyrs a voulu mettre l'accent sur cette " spécificité noire " en évoquant ce que fut pour ces soldats, la guerre pour la Patrie.
je repense au film " Man to Man ", qui se déroule en 1870 ; un anthropologue capture dans une forêt d'Afrique noire, des pygmées à exhiber dans des foires en Angleterre, comme des bêtes sauvages.
Ce même savant est persuadé, que ce couple qu'il transporte à fond de cale du bateau, est deux êtres humains de chair et de sang ; leur chagrin est celui d'une femme et d'un homme s'aimant !
Il devra lutter opiniâtrement pour convaincre ses concitoyens ; ses chefs ; hommes politiques et savants ; spectateurs curieux de ces zoos...
Wancyrs met l'accent sur cette condition, où l'homme au rang de bête est bon pour chair à canon ; mais en tant qu'être humain n'est point doté de parole, n'a pas à la ramener...
Il en faudra de l'eau à couler sous les ponts, pour qu'on admette " ah oui, il a raison dans ce qu'il dit ! c'est pas bête du tout !
- parlez mon ami, je vous écoute...

Contribution du : 07/01/2021 15:48
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Visiteur 
Et à propos de ceux de la Grande Guerre, voyez ce qu’ils ont fait pour nous. Il me semble que ces « oubliés » méritent bien l’attention de ces quelques lignes...

Sénégal : les tirailleurs de la guerre 14-18 honorés à Dakar

Par

Assanatou Baldé

18 novembre 2014


Une cérémonie d’hommage aux soldats sénégalais tués pendant la Première Guerre mondiale a été organisée, ce mardi, à Dakar.
Ce sont des héros méconnus. Trop souvent oubliés par l’histoire. Pourtant ils étaient bien présents pendant la Première Guerre mondiale de 14-18, en première ligne, combattant vaillamment au front. Beaucoup d’entre eux d’ailleurs sont tombés au front et n’ont jamais revu leur famille. Pour ne pas que leur sacrifice tombe dans l’oubli, une cérémonie d’hommage aux soldats sénégalais tués pendant la Première Guerre mondiale a été organisée, ce mardi, à Dakar, la capitale sénégalaise, en présence d’officiels sénégalais et français qui ont salué des « héros méconnus ».


"De dignes fils du Sénégal", rejoints par d’autres d’Afrique et de Madagascar, ont défendu, pendant le conflit de 14-18, les idéaux de paix et de justice. Leur sacrifice n’a pas été vain. Ils ne tomberont jamais dans l’oubli », a déclaré Ngor Sarr, directeur de l’Office des anciens combattants du Sénégal. Le responsable a appelé, en présence de vétérans de la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945) et de nombreux universitaires, à perpétuer la mémoire de « ces héros méconnus » du conflit 1914-1918, combattants de la liberté et de la justice.

De son côté, le professeur Iba Der Thiam, historien et ancien ministre sénégalais, a souligné que ces soldats sénégalais « étaient partis (combattre) pour la dignité, la liberté et la démocratie de la France. Ils ont permis l’avènement du monde libre ».

Un représentant du gouvernement sénégalais et des responsables de l’ambassade de France à Dakar ont participé à cette cérémonie marquée par le dépôt d’une gerbe de fleurs à la mémoire des anciens combattants et un recueillement devant une plaque en marbre. Les noms de 359 soldats sénégalais morts durant la guerre de 1914-1918 sont inscrits sur cette plaque, dans le hall de l’Hôtel de Ville de Dakar. Cette cérémonie d’hommage fait partie d’un ensemble d’activités prévues cette semaine à Dakar, dont un colloque, mercredi et jeudi, pour célébrer le centenaire de la Première Guerre mondiale.

« Tirailleurs sénégalais » est un nom générique désignant des soldats africains venus de plusieurs colonies françaises, allés combattre en France métropolitaine. On ignore leur nombre exact, qui varie, selon les historiens. Mais l’on sait que leur sacrifice a été déterminant dans l’issue de la grande guerre.

Contribution du : 07/01/2021 18:19
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Visiteur 
@papipoete, bonsoir

J’ai vu également ce terrible film sur « l’indifférence des hommes envers la différence » si je puis m’exprimer ainsi. Quelle indignité !

Vous faites allusion à ce couple de malheureux pygmées, mais il n’y a pas si longtemps, « le lancer de nains » en Australie, aux Etats-Unis, au Canada et en France était, comme vous ne l’ignorez pas, une attraction courue. Quand on pense qu’il y avait été fait référence à cette pratique dans le film Le Seigneur des Anneaux : quel exemple pour notre jeunesse ! Et, même, tenez-vous bien, en 1998, pour les besoins d’un film, un night-club de ma ville, Le Colibri pour ne pas le nommer, avait prêté « son bouge infâme » pour la réalisation d’un film. L’enseigne de cet endroit n’existe plus, sauf qu’elle a été remplacée par une autre… bien sûr…

Et pour en revenir aux « z'oubliés » de 14-18, une grande partie d’entre eux étaient analphabètes, donc, faciles à manipuler…

Voilà ! J’arrête-là ! Je me suis encore cassé le moral. Bonne soirée à tutti… si vous le pouvez !

Contribution du : 07/01/2021 19:43
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Maître Onirien
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Merci DREAM, pour toutes ces références. Merci PAPIPOÈTE, pour ces éclaircissements ; j'espère que cela aiderait à mieux comprendre mon intention... Je n'ai pas voulu apporter moi-même ces arguments en raison de mes années de guerre sur les forum oniriens : cela n'a apporté que déchirement. Est-ce que cela a changé mon approche de la chose ? Non, j'ai eu de plus en plus l'impression qu'on voulait me taire. Est-ce que ceux qui s'opposaient à mes approches ont changé ? Non, ils/elles sont devenu-e-s encore plus réfractaires à mes approches... comment comprendre le phénomène ?

Chaque être humain a son propre paysage psychologique ; paysage à partir duquel on perçoit les choses. La maman de ma fille est québécoise blanche ; elle travaille pour un organisme qui lutte pour la justice sociale. Un jour je l'ai accompagné faire une campagne de sensibilisation dans une école secondaire, histoire de toucher un public plus jeune et préparer les adultes de demain. Nous sommes entrés dans une classe et elle a fait son topo. Elle a accusé ouvertement son pays, le Canada, d'exploiter de manière illicite les ressources des peuples du tiers-monde, montrant les dévastations sur les peuples de cette partie du monde. Elle a attaqué le mode de vie québécois et canadien, montrant ce que cette opulence causait aux peuples du tiers-monde, notamment ces hommes surexploités dans les plantations, ces femmes qui dormaient à peine quelques heures par jour parce qu'elles travaillaient dans des usines manufacturières, toutes pour habiller les gens du Nord, elle a parlé de ces enfants du Sud qui, pendant que ceux du Nord s'amusaient, travaillaient pour aider leur famille... etc. Évidemment que son propos et son objectif en présentant ces images choc étaient pour sensibiliser et pousser au changement, mais lorsqu'elle a fini sa présentation, les émotions étaient diverses, allant de la désolation à la frustration. Je me souviens qu'un jeune homme, 14 ou 15 ans, a levé la main pour déclarer : "Madame, vous voulez dire que nous sommes de mauvaises personnes ?"

Je comprends donc ces personnes qui ont reçues mon propos comme ce jeune homme, et je suis désolé de les avoir blessé, même si ce n'était pas mon intention. J'avais un job à faire, je l'ai fait avec mes moyens, même si cela peut heurter certaines personnes. Si je l'avais fait d'une manière autre, ce seraient d'autres personnes qui seraient heurtés ; comme quoi, on ne peut satisfaire tout le monde... En tout cas, pas moi. Et rassurez-vous, ce n'est pas juste un dialogue Nord-Sud hostile, mais c'est ma nature ; je ne suis plus en Afrique parce que c'était les miens (les noirs) que je critiquais vertement dans leurs actions, népotisme, corruption... Je suis chrétien, et ceux avec qui je découds le plus ce sont les chrétiens, surtout les prêtres et pasteurs véreux... Non, je n'ai rien contre les blancs (ma fille est mulâtre, vous pouvez comprendre de quoi je parle) : j'en ai après l'injustice.

Merci pour votre attention !

Wan

Contribution du : 07/01/2021 21:49
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
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Je viens d'apprendre aux infos que ce soir sur LCP (la 13) de 20h30 à 21h30 on peut suivre un documentaire sur les derniers tirailleurs sénégalais.

Prochaines rediffusions. Dimanche 31/01 à 18h et Mardi 02/02 à 0h30

Contribution du : 25/01/2021 20:56
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
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dream a écrit :
Je viens d'apprendre aux infos que ce soir sur LCP (la 13) de 20h30 à 21h30 on peut suivre un documentaire sur les derniers tirailleurs sénégalais.

Prochaines rediffusions. Dimanche 31/01 à 18h et Mardi 02/02 à 0h30


Merci, dream, je verrai si je peux trouver la diffusion sur le net. J'aurais bien aimé prêter ma chanson pour le générique de l'émission

Wan

Contribution du : 25/01/2021 23:01
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
Visiteur 
OUI, ce serait une bonne idée que d'y faire figurer ta chanson. S'en est suivi un débat, mais trop court à mon avis. Dommage ! Je compte bien à nouveau regarder ce doc en rediffusion dimanche 31 janvier car j'ai raté le tout début.
Au fait, en parlant de musique, dernièrement, hier il me semble, je regardais sans regarder vraiment une émission dont je ne me souviens plus de quoi on parlait car j'étais dans ma cuisine (et la TV est au salon), et le générique s'accompagnait d'une chanson dont la voix m'a fait immédiatement penser à toi, car elle était la copie conforme de celle des "zoubliés". Je fais allusion à la voix....As-tu fais passer une de tes chansons dernièrement ???

Contribution du : 25/01/2021 23:27
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Re : Avant que tout n'aille en vrille... Les Z'oubliés
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dream a écrit :
Je viens d'apprendre aux infos que ce soir sur LCP (la 13) de 20h30 à 21h30 on peut suivre un documentaire sur les derniers tirailleurs sénégalais.

Prochaines rediffusions. Dimanche 31/01 à 18h et Mardi 02/02 à 0h30


Il faut reconnaître la mention "Morts pour la France" pour toutes les victimes.

Armelle Mabon, maître de conférence à l'université de Bretagne sud

Contribution du : 25/01/2021 23:27
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