Je ne connaissais pas du tout Marguerite Yourcenar en poésie, merci pour la découverte, Myndie !

Citation :

Nan, je ne sais pas tout mais je ne doute de rien avec toi!

Citation :

C'est bien ce qu'il me semblait Cyrill, je devine tout tu sais

Citation :

Pas de quoi Cyrill, je prends les chèques et les tickets restaurant

Plus sérieusement, j'ai la chance d'avoir pas loin le musée Yourcenar et la villa où Marguerite a passé son enfance, à Saint Jans Cappel pour être précise. Un très joli coin et des choses très intéressantes à découvrir.

La bise à vous toustes aussi

Puis-je vous proposer un nouveau "bouts rimés" ?

doute – chemin – route – main
peut-être – voix – fenêtre – bois
doute – prompt – écoute – répond
peut-être – vouloir - paraître – noir

Ma modeste contribution :

Chez l’enfant s’insinue le doute,
"Avons-nous pris le bon chemin ?"
Il ne reconnaît pas la route
Mais il ne lâche pas sa main.

"Il n’est pas si méchant peut-être,
Même s’il fait la grosse voix,
Mais je ne vois plus ma fenêtre,
Nous voici presque dans le bois."

L’enfant n’est pas craintif, sans doute.
De partir, le désir fut prompt.
De l’adulte il est à l’écoute,
A chaque question il répond.

La belle aventure peut-être,
Qu’il va vivre sans le vouloir...
Il ne veut pas laisser paraître
Qu’au fond de lui tout est noir.

Brrrrrrrrrrr !

A vous si le cœur vous en dit, comme on dit...

Citation :

je prends les chèques et les tickets restaurant

Ben voyons... Myndie

Merci pour la proposition Embellie, et bravo pour ce tendre opus aux lointains accents de Chaperon Rouge. Quand c'est flou, y'a un loup... Itou dans le mien que voilà :


Linéaments, sur les orbes du doute,
Qui chaque fois allongez mon chemin,
Guidez mes pas sur une traître route ;
Sorcelleries qui m’aspirez la main 

Pour essaimer mon âme d’un peut-être ;
Je vois vos biais subtils, entends vos voix,
Vos fourbes rets tendus à ma fenêtre,
Vos grondements de loups venus du bois.

Pourtant je sais le piège, et sais le doute,
Toujours à vous subir me voilà prompt.
J’appelle une ombre, elle est à mon écoute,
Hors la clarté qui jamais ne répond.

Le voile un jour sera levé, peut-être,
Se dissipant selon mon bon vouloir.
Adieu les dols, les leurres du paraître,
qui m’ont tenu dans leur mensonge noir !

Merci Embellie pour ces nouveaux bouts-rimés.
Hum... un poème qui "sent" le drame, du "dit sans dire"... Bravo !

Il n'y a pas de doute, Cyrill doute, il a raison car je vois des vilains korrigans dans son jardin mais faut pas avoir peur, Mélusine viendra les mettre au pas.



Ma petite contribution :

J’avais pourtant un doute...
Il m’a dit « Suivons notre chemin,
Ensemble on fera un bout de route
Vers le bonheur, ta main dans ma main. »

Je me trompais peut-être...
Tombant folle dingue de sa voix,
Mon écran s’ouvrait sur sa fenêtre,
Bigre ! Il ne me laissait pas de bois.

J’avais pourtant un doute...
Etonnée à son discours si prompt,
Rassurant, toujours à mon écoute
… Et ma naïveté qui répond...

Je me trompais peut-être...
Cherchant son pseudo sans le vouloir,
Le sigle « I.A. » venait d’ap-paraître !
J’ai cassé mon écran. Noir c'est noir.

Ah ah, bien vu Cristale ! Encore heureux que l'IA ne t'ait pas plumée !

Je constate avec regret que nous sommes peu nombreux à nous intéresser aux "mots rimés" ( 3 ou 4 seulement).
J'attends encore un peu pour donner le poème original de ma dernière contribution, au cas où quelque nouvel onirien aurait envie de participer...

Embellie moi je m'y intéresse sans participer et je vous suis attentivement. J'ai pas assez en stock pour poétiser comme vous le faites mais j'espère que vous lâcherez pas le morcif ! bravo aux bouts-rimeurs !