Bravo Pierrot ! C'est vraiment un poème exquis, quelle inspiration !

J'aime bien les deux derniers vers de Placebo, pour le reste je n'ai pas compris grand'chose, il va me falloir relire...

Merci Monna

Le bonheur n’est prospère que par l’amour réel
De deux êtres dans un environnement naturel
A l’évidence même par des mots simples à offrir
Qui traversent le cœur pour les retenir.

Le bonheur transforme les flammes en fleurs
Des cœurs déprimés, toujours en pleurs
De l’être-aimé qui fuit libre et sage
Vers les verts pâturages.

Ho, Pierrot ! Où es-tu camarade, où es-tu ?
Je viens de descendre de ton clocher, finement ciselé pour résister aux vents d'ouest, et pffffffffffff plus de Pierrot !
Vacances d'été ou vacance de poste ?
Bon, ça ne me fait pas franchement rigoler, la nuit portant conseil (dixit je ne sais plus qui ) j'aviserai demain...
Salut la compagnie !

Bonjour Kamel ! Oui, il y a de l'idée mais sur le présent "fil" il s'agissait d'utiliser les mots imposés pour en bâtir un sonnet...
Vous n'êtes pas trop tard pour tenter l'opération.
Bonne journée. Alex

Bonjour Kamel. Il existe un fil plus aisé "Bouts rimés plus faciles" (approche de la poésie classique ... avec l' apprentissage des règles de base) ouvert par Pierrot, dans lequel vos vers auraient pu trouver place. En fait un espace moins contraignant que celui -ci où les spécialistes de l'alexandrin s'expriment avec brio et à une vitesse édifiante.

Et voici ma copie ...

Un soir, près du fleuve rafraîchi par la brise,
La toile du ciel s’embrasant de couleurs,
L’écho du carillon de la petite église
Flotte dans l’air serein et le parfum des fleurs.

Me reviennent ces jours où, encore indécise,
Se jouait mon destin. Etait-ce la pâleur
Des rêves abandonnés que la vie subtilise
Qui m’a menée ici pour reposer mon cœur ?

La vie était si morne. Un jour de guerre lasse
J’ai franchi la limite et trouvé mon espace.
Le temps était venu, il me fallait guérir.

Sans crainte et sans regret, lorsque viendra cette heure
De quitter le monde car il faut bien mourir,
J’aimerais que l’on rit, surtout pas que l’on pleure.

Dans le second quatrain les "que" et "qui" me gênent mais je n'ai pas réussi à les remplacer.

Bonsoir Marite ! Joli poème avec encore quelques fautes que je te signale, en toute amitié s'entend !

-hiatus au vers 5 ( où, encore)
-14 syllabes au 7 :
Des/ rê/ves/ a/ban/do/nnés/ que/ la/ vi/e /sub/ti/lise
-De quitter le monde car il faut bien mourir,
Dans ce vers on trouve un "e"non élidé à la césure, ce qui est interdit en classique...
Pourquoi pas plutôt :
De quitter ce bas monde, il faudra bien mourir.

Je n'ai peut-être pas tout vu mais dame Mona passera effectuer un contrôle de qualité.

Rien de dramatique, l'élève Marite progresse à grands pas et mérite un grand bravo !

Bonsoir Alexandre et merci pour ces remarques, encouragements et conseils judicieux.
- le hiatus : j'en étais restée à "i - i" ou bien "a - a" ... il faut que je relise sérieusement le sujet.
- au vers 7 : je suis impardonnable, j'aurais dû m'en apercevoir.
- ta proposition "De quitter ce bas monde, il faudra bien mourir" est nettement plus fluide que ce que j'avais écrit.
C'est très curieux comme les mots arrivent pour ce genre d'écriture avec rimes imposées. Je comprends mieux maintenant l'histoire de " cent fois sur le métier remettre son ouvrage " ...
C'est un jeu intéressant et ma foi, je crois que je vais poursuivre.

S.V.P. ... Je ne sais pas comment on supprime les doublons ! Quelqu'un sait-il comment on fait ?