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1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Bouts rimés |
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Salut Alex.
Il me semble qu'au premier tercet, tu ne trainais pas la babouche.
Contribution du : 04/08/2011 06:19
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Re : Bouts rimés |
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Salut tizef ! La babouche, ce n'est pas le pied mais ce texte me permettra de déboucher sur autre chose après modifs, d'où l'intérêt de cet exercice comme je l'ai déjà dit... Je vais y travailler car il pleut sur Portsall ! Étonnant, non ?
Contribution du : 04/08/2011 08:30
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Re : Bouts rimés |
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@ Alex
Qu'il pleuve sur Portsall est dans l'ordre des choses Tu pourras fignoler tes sonnets virtuoses. NB/ J'ai aussi viré ces p... de babouches de mon petit sonnet avant de le conserver pour l'édification de ma descendance.
Contribution du : 04/08/2011 08:49
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Re : Bouts rimés |
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Expert Onirien
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23/03/2011 21:54 De France
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Il pleut ici aussi ! Attention Alex "avions" ne fait pas diérèse (je sais c'est dur !) tant qu'à la babouche... fichue chaussure orientale ! Il est vrai que ces rimes prêtent le flanc à la langueur amoureuse... tu nous as sorti ça d'où Maître Tizef ?
Contribution du : 04/08/2011 09:52
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Re : Bouts rimés |
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Expert Onirien
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Le dernier vers serait mieux ainsi je crois : Quand on ne fait plus rien, que traîner la babouche...
Contribution du : 04/08/2011 09:57
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Re : Bouts rimés |
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A la fin du X1Xème l'orientalisme était très tendance, d'où ce sonnet vantant les charmes d'une certaine Leïlah et que je publierai incessamment sous peu.
Contribution du : 04/08/2011 10:10
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Re : Bouts rimés |
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Le même, revu et corrigé grâce à deux jokers non prévus par le règlement...
Pour toi, comme autrefois, j’ai cueilli cette fleur Puis j’ai prêté l’oreille au passereau siffleur Qui quêtait alentour quelque cenelle mûre Au creux de ce vallon où le ruisseau murmure Etrange merle blanc, paré de la couleur Dont tu te revêtais quand venait la chaleur, Il allait picorant, de roncier en ramure, Tout comme tu faisais savourant une mûre. Alors m’est revenu qu’en cet endroit charmant Nous avions, amants, sombré tout doucement Dans un long corps à corps, et j’ai cherché tes lèvres… Mais ce n’était qu’un songe, un rêve que l’on fait Quand la mort a ravi celle que l’on aimait Mais se brise au réveil bien que vase de Sèvres…
Contribution du : 04/08/2011 12:13
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Re : Bouts rimés |
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M.... ! Un ex aviateur se faire b.... par avions, un comble !
Contribution du : 04/08/2011 12:16
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Re : Bouts rimés |
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Merci Mona !
Pour toi, comme autrefois, j’ai cueilli cette fleur Puis j’ai prêté l’oreille au passereau siffleur Qui quêtait alentour quelque cenelle mûre Au creux de ce vallon où le ruisseau murmure Étrange merle blanc, paré de la couleur Dont tu te revêtais quand venait la chaleur, Il allait picorant, de roncier en ramure, Tout comme tu faisais savourant une mûre. Alors m’est revenu qu’en cet endroit charmant Nous avions, un printemps, sombré tout doucement Dans un long corps à corps, et j’ai cherché tes lèvres… Mais ce n’était qu’un songe, un rêve que l’on fait Quand la mort a ravi celle que l’on aimait Mais se brise au réveil bien que vase de Sèvres…
Contribution du : 04/08/2011 12:21
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Re : Bouts rimés |
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C'est sûr que c'est bien mieux sans babouche
Du coup, j'utilise aussi mes jokers Le siffleur Il imitait le merle, au soir, sous la ramure Et n'hésitait jamais à lancer une fleur. Les filles l'appelaient « Sébasto le siffleur ». Il avait l'œil brûlant, noir autant que la mûre. Quand il reçut sa feuille, il partit sans murmure Pour un Djebel Amour accablé de chaleur. Il aima du pays cette intense couleur Et découvrit le goût de la grenade mûre. Arme au poing, la patrouille avançait doucement Sous un bois d'amandiers. Dans un piaillement, Un gobe-mouche gris s'envola d'une souche. Là, les yeux vers l'azur sous le thym parfumé, Reposait Sébasto le siffleur bien-aimé. Des insectes de jais vrombissaient dans sa bouche.
Contribution du : 04/08/2011 12:43
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