Merci vraiment à tous ceux qui ont commenté ce texte écrit dans une grande précipitation dans la très vieille bâtisse d'un ami qui après une double tentative de suicide m'avait recueilli avant un internement de quelques semaines. Sachez donc que ce n'est en rien au grand Jacques dont j'envie qu'il ait pu se réfugier aux marquises que je m'en prends mais â moi même et peut-être au fait d'avoir une fois encore commis un acte manqué.
Sachez que maintenant ce n'est pas l'enfer mais le purgatoire de Dante.
Brel m'a aidé pour sa formulation et le reste est foutrement auto biographique. Un message oui attention les mots cachés et sublimés peuvent vous faire perdre la raison et vous anéantir. Certains connaissent mon parcours et celui d'un ami mort l'année passée en plein ciel lost patrol
 bientôt je l'espère

Certains commentaires à propos de votre poésie me semblent excessifs. Réactions surprenantes. Brel, un monument sacré ?
(Si c'est bien de lui dont il s'agit.)

Effectivement, l'équivoque était tapie dans votre texte sous tant de similitudes que nous pouvions être leurré.
Désolé de n'avoir pas pu déceler votre intention, mais à part vos proches, je me demande tout de même, après avoir relu votre poème sous cet éclairage, qui pouvait comprendre que vous parliez de votre ami décédé ?

A bientôt dans une lecture plus apaisée.

@Léopold : en effet pas évident de piger…

Pour ma part je trouve qu’autant dire “Je” pour parler de soi si l'on veut être compris, mais bon je comprends aussi le procédé et ça peu être de la pudeur aussi.

@Jano : Brel sacré ? Pas pour moi, mais sauf à comprendre le “subterfuge” le texte de Léopold faisait un peu déballage…un peu Presse-People.

J’en apprécie peu la forme en fait, et l’ai précisé dans mon commentaire.
Maintenant avec les explications je trouve la motivation de l’auteur respectable, mais je ne la jugeais pas mal avant, simplement ça m’étonnait beaucoup.

Plus généralement à chacun son sacré, y'en a c’est Dieu, d’autre le football, certains Brel ou Mozart…ce qui est bien c’est d’aimer un truc, un pote, une femme, un artiste, le vol des papillons…j’ai rien contre ça. Le sacré…même si c’est Brel, ça aime… ;o)

Corbivan

Pour répondre à Jano,

OUI,

Brel reste un monument, pour moi, je me rappelle encore les 25cm et 45tours quatre titres de mon père, mais pour tous ceux sur cette terre qui pratiquent le français...
Et c'est là la force de cette étoile filante, je pense que tous les francophones ont un rapport, consciement ou inconsciement, en bien ou en mal, avec lui, parce qu'il constitue plus qu'une référence, mais bien des sensations et des souvenirs pour chacun d'entre nous. Une pierre importante de la culuture populaire contemporaine.
Et pour Leopold également , qui a habilement dissimulé le fond de son poème (notamment grâce à l'incipit). Ce n'est pas tombé sur un autre poète, en quelque sorte !

Pour ceux qui ne l'aurais pas compris Brel n'a absolument rien avoir avec ce texte qui n'est que le reflet de moi et autobiographique. Â l'heure de la télé-réalité pourquoi ne pas pouvoir écrire sa propre vérité. Désolé si vous estimez crime de lèse majesté de m'être servi d'une de ses formulation. Dans certains cas c'est Mozart que l'on assasine ici c'est un peu â la Miller et sa crucifixion en rose Léopold Partisan qui se crucifie tout seul comme un grand garçon dans la cour de récréation

Citation :

Bjr LeopoldPartisan,

Bah un petit peu quand même non? Ne serait-ce que dans le titre...

Je n'ai pas compris "l'évidente référence" dont il est question dans l'incipit et vous ne pouvez donc rien pour moi...
J'aime bien certaines chansons de Brel mais sans plus. Je ne connais pas vraiment ce chanteur. Ceci explique peut-être cela.

Voilà, je ne commente pas votre texte car d'une part, je n'en ai pas saisi toutes les finesses, et d'autre part parce que je ne vous apporterais vraisemblablement rien de plus que ce qui a déjà été dit.

Bonne continuation.

En fait cette écriture s'est faite de manière tout à fait automatique comme un cadavre esquis que j'aurais aimé enterré dans un état pour le moins second et pour le moins désemparé. La condition sine quoi non à pouvoir rester cher cet ami était que je ne tente rien pour attenté à mes précieux jours. Un appel à l'aide c'est alors formé dans ma tête au son d'une chanson de Brel qui finit par se faire mettre dans le trou.
Donc j'ai pastiché et le texte est sorti.

je me suis dit pourquoi pas tenter de le publier surtout lorsque 2 chanteur français de mes amis à qui j'avais envoyé le texte m'ont dit combien ils aimaient l'allusion et connaissaient aussi mes petits devenus énormes probllèmes, mais comme disait gainsbourg dans l'homme à la tête de chou, "j'vais pas vous étaler tout ici aussi sec"

ce fut copier et envoyé.
La poésie quasiment improvisée est quelque chose que je ne pratique quasiment jamais, mais c'est parfois jouissif lorsqu'on est totalement désespéré et désemparé et que votre corps n'a toujours pas rejetté les nombreuses substances ingurgitées.

Il n'y a pas de fierté juste un très très long purgatoire qui me ramène
au cours de littérature où notre professeur nous parlait aussi du malheur ressenti par les poètes.

A ve proos je vous renvois au commentaire de Ppypoète qui lui m'a vraiment compris.