Je viens remercier tous ceux qui, contre vents et marées, sont toujours sur le pont pour faire vivre le site. Un concours est toujours un moment particulier car les auteurs participants se voient imposer un thème et petit à petit vont élaborer une histoire. Je trouve que c’est un exercice très intéressant. Pour ce dernier concours, il a fallu intégrer des prénoms et une saison.
À propos des prénoms, excusez-moi pour l’erreur que certaine a relevée : Heira n’a rien à voir là-dedans, je crois qu’avec tous ces prénoms, j’ai fini par emmêler les touches de mon clavier.

Pour une fois, j’avais décidé d’être très explicite en deuxième partie. Ça m’a pris comme ça, je me suis dit, bon, faut essayer des fois :) … et ça n’a pas marché, puisque c’est un reproche que je retrouve tout au long des coms. L’ellipse, c’est plus mon truc, je crois, même si on me la reproche souvent et que du coup, les lecteurs semblent perdus au loin !
Le pitch n’est pas la mort accidentelle de l’enfant. Elle est relatée de façon assez subliminale, finalement, et le père tente de s’en sortir en s’enferrant dans cet hiver fatal. Il est, ce pitch, dans le pardon qu’il va falloir être assez fort de demander à la mère de l’enfant, assez fort pour envisager de continuer peut-être une vie ensemble.
Je crois que c’est un travail très long que la culpabilité, fondée ou non, rend vertigineusement inapprochable.
Dans cette partie du texte, j’ai voulu changer de ton, appeler un chat un chat puisque c’est ce qu’il faudra bien que Paul fasse, face à sa compagne qui souffre deux fois, de la disparition de son enfant et du père devenu inatteignable.

Je regrette d’avoir échoué dans cette deuxième partie, mais tiens à remercier les coms éclairants (bien que je ne sache toujours pas comment je devrais modifier!)

Un très grand merci à tous, et tout particulièrement à mes commentateurs Socque, Don, Plumette, Corto, Aldenor et même si je commente peu en ce moment, je suis bel et bien présente.

Coucou hersen,
Je commente peu, tu le sais, mais j'ai lu et voté, et ton texte était mon premier choix. J'ai aimé son ambiance, et je connais la difficulté d'écrire les sentiments. Je l'ai trouvé très clair, pour ma part.

Merci de ce petit mot encourageant, Perle !

Oh Putaingue, je l'ai pas commenté celle là. Je me rappelle avoir débuté sa lecture, noté de coller un carton sur "au bord du trou" vs "ou bord du gouffre" et d'autres jeux de maux aussi bon que celui-là. Puis... ben voilà.

Tu veux un commentaire de plus ou tu as déjà les quatre réglementaires. ;=)

j'aime toujours assez bien déborder de ce qui est réglementaire, alors vas-y, lâche les chiens

Pepito,
Tu n'as aucune pitié, tu fais se recroqueviller l'escargot dans sa coquille, tu fais se dessécher le grain de blé dans son épi, après toi rien ne repousse. Tu es un Attila de la littérature.
Mais le jardin est grand pour le courageux de la plume.

merci de ta belle évaluation, surtout que j'ai vu que tu t'en plains, de l'évaluation, sur un com d'un de tes textes. (ça c'est un tacle, mais bon, )
D'accord pour tout, tu n'as pas aimé, surtout ce qui devient réel; par contre, et là, t'es pas bien placé du tout, le recyclage de texte, c'est non. j'ai remarqué que tu tires souvent des conclusions hâtives, le dessous de l'histoire, finalement, ne t'intéressant que peu.
ça n'intéressera personne pourquoi Heira s'est invité, donc on laisse tomber. En plus, c'est un prénom qui est l'inverse de l'hiver, c'était vraiment une bêtise de ma part. L'esprit s'en va parfois où il veut sans prévenir...

Tu es venu, tu as lu, tu m'a vaincue.

Ben alors Hersen, c'est pas comme si mon opinion avait la moindre importance. Puis le jour ou j'aimerai un de tes textes (ce qui a déjà été le cas lors d'un vieux concours où tous mes commentaires ont été éradiqués) tu n'auras aucun doute quant à ma sincérité.

Pour "Alors comme ça on recycle ?" y'a un "?" à la fin. C'est une demande. Je suis intéressé, moi, d'où qui vient ce prénom ?

Je me suis plains d'un commentaire ? Possible, faudrait pas que je prétende être logique. ^^

Et surtout, laisse moi espérer qu'il en faut plus pour te "vaincre" que les vilenies d'un Pepito de comptoir.