Merci aux lecteurs de ces piètres mots 'enjouets' et cassants, merci aux commentateurs qui me donnent quelques raisons de persévérer dans mon apprentissage.

Ce modeste pamphlet doit paraître quelque peu moralisateur et affété, pourtant il n'est que la résultante d'une réflexion introspective. Au préliminaire "Tant pis" j'aurais dû préférer ma première idée qui était : "Mea culpa".
Quelle belle conscience aura le lagomys quand il se tapera le ventre, ces prochains jours de réjouissances, bien conforté après avoir lâché une thune dans la soucoupe du nécessiteux, gratifié les restos du cœur d'un ou deux paquets de Lustucru, s'être fendu d'un petit bifton au secours populaire ?
Et tous ceux-là, qu'ont-ils à faire de ses tortillements 'poéteux '? L'a pondu son p'tit rimant remord, le plumitif, puis demain va passer au "coucher de bébé phoque sur la banquise érubescente" ou à "Il pleuvait ce jour là sur Fukushima"… tiens, j'viens d'voir sur 7à8 un reportage sur les gosses de vanille de Manille (et oui je dis : LE MONDE CON À EN VOMIR !) … bien dérisoires et ridicules ces mots mauvais (désolé, pich24, pas mieux)! Mais bon, ça faisait un bien opportun misérabiliste sujet de Noel …

C'est vrai, Pich24 et Alexandre, j'aurais du écrire "Quand c'est Noël entre quatre planches" mais ça me faisait un pied-bot encombrant. En tout cas, je parlais bien de sapin, celui des bidonvilles et celui des dernières demeures (qui me donnait un lacet pour la boucle finale, "sous le sapin").

Bouche cousue, Brabant, vous le champion du commentaire facétieux ? J'en resterais bouche bée, convaincu et soulagé que personne (ni vous-même) ne pourrait vous réduire au silence !
Non moins satisfait de vous avoir roulé dans la farine, vous et Artexflow, bonnes pâtes et bonnes âmes.

Préservez-vous de découvrir le fond de la surface, Pimpette de bel intérieur (j'en suis sûr, à vous lire), vous seriez, je le crains, déçue de croiser l'incarnation de la vaine superficialité.

Merci d'avoir insisté Placébo, merci aussi de tout cœur, Kamel, Arielle, Jamesbebeart et fugace de vos sympathiques et encourageantes contributions.

Un merci particulier à vous, Labrisse, pour votre impérieuse et turgescente intervention. Je déplore que votre commentaire (cette aimable injonction à faire taire les "écrivaillons¹" tels que moi) ait été modéré. Dommage que ne soit pas restée gravée dans le silicium votre aimable 'vili-pendaison' de mes tripatouillages langagiers, quand dans le même temps vos "jeux de mô¹" à "coups de cuillère à peau¹" témoignaient suffisamment de la quintessence de votre pensée.
Désolé de faire tache dans votre prééminente et exclusive conception d'une prépotence de l'excellence, mais, voyez-vous, il m'arrive aussi de taper dans la balle sans m'appeler Ibrahimovic, de me cuire des nouilles bien que je ne sois pas Robuchon, de torturer ma gratte sans les doigts de Satriani, de respecter le "parterre d'imbéciles¹" qui me lisent ainsi que les "épiciers¹", les scribouillards, voire les fats immuables, alors que je ne suis qu'un con… Bien à vous.
(¹ Dixit)


Merci à tous,

Lagomys, billevesées et lazzi

Ne me remerciez pas, je ne suis même pas embarrassé... Je n'ai fait qu'user de mon temps à perdre... ce qui, au vu de vos participations à la comunauté Onirienne, ne semble pas être votre cas. Ou bien, vous êtes ce que je crois, un égocentrique et un nombriliste.

Enfin tout le déplaisir fut pour moi.

D'autre part avant de monter en température, tentez juste le second degré... Et par voie de conséquence je vous conseille une bonne (dé)continuation!

Bien à vous.

Labrisse.

Je ne souhaite nullement entrer dans une chicanerie, les uns les autres, nous avons beaucoup plus passionant à faire.
Simplement vous livrer une pensée de Ghandi: "La régle d'or de la conduite est la tolèrance mutuelle, car nous ne verrons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents".
Donc, la liberté d'aimer ou de ne pas aimer est absolue.

Merci de votre conseil, Fugace, et de m'offrir l'occasion de bien préciser qu'en aucune façon je ne discute le droit de tout un chacun de critiquer un écrit (n'est-ce pas la raison d'être de ce site ?). Que le texte soit bon ou mauvais dépend des goûts et du niveau de l'appréciateur, et tant mieux qu'il le fasse savoir, ça permet à l'élève de s'enrichir. Le problème commence quand le commentaire déborde sur un dénigrement de l'auteur, jusqu'à tenir des propos injurieux (et au-delà, quand on en arrive à insulter les lecteurs). D'ailleurs, je pense que la modération tenait compte de ce principe.

Votre charge était tellement violente, Labrisse, que je me suis demandé si je n'avais pas écrasé votre chien ! Qu'ai-je bien pu vous causer comme torts pour m'attirer tant d'animosité et de hargnerie ? Peu importe… Mais enflez-vous encore en apprenant que vous aviez fait "mouche". Ça fait mal de se voir mettre au pilori (même si cela peut être justifié), et je serais parti compter des pois chiches si je n'avais pas eu d'autres avis, un peu plus encourageants…

Vous m'invitez à atteindre le second degré, mais vous voyagez à de telles latitudes que mon rafiot ne peut y mettre le cap !

Vous me qualifiez, de façon pléonastique, d'égocentrique et de nombriliste, soit, mais qu'en est-il de votre modestie ? J'ai eu l'audace de jeter un coup d'œil sur votre production… Vous êtes-vous relu, grand maître ?

Bien connu : nous sommes tous le con de quelqu'un, heureux d'être le vôtre… ça rassure !

Donc, vous avez du temps à perdre sur Oniris, pour ma part je n'ai qu'à y gagner.

Aussi j'en resterai là.

Lagomys, rat écrasé

Rectification: Ghandi disait: "nous ne penserons jamais tous de la même façon" (et non nous ne verrons, ce 2° verbe s'applique à la vérité).
Bonne journée à toutes et à tous.

Je pense que cette pièce que vous nous avez proposée ne soit de bonne facture… Je ne suis pas du troupeau de Panurge et je ne plongerai pas dans l’océan de la complaisance et du (obligeant mais navrant) tapotis-tapota de la main indulgente sur la ronde épaule apprivoisée. Je vous redis ce que je trouve qu’il a transpiré de cette pièce… comme un « pathétisme » mielleux et doucereux…

Je me permets de trouver que c’est l’écueil (je ne disconviens pas qu’il puisse m’éperonner un jour moi aussi) sur le quel le navire du poème s’est empalé et ré empalé…

Que tout l’amical aréopage ait crié en un chœur de louanges qu’il y avait là du génie… moi… ne me chaut. Et je vous le redis je ne bêle pas avec le troupeau parce que j’ai sauté la barrière, j’ai mordu le cul de la bergère (et elle a apprécié) et j’ai même bouffé les loups ! Et ca fait une bonne paye ! C’est ainsi, je suis mouton mais solitaire et crevard, je suis venu singe et carnivore.

Maintenant la poésie continue (peut-être) et le monde tourne (moins sûr), il y aura bien d’autres poèmes que vous amènerez sur le site… Je les commenterai possiblement en espace lecture, sachez qu’il n’y a là rien que de très anonyme et que si vous repassez sous les fourches caudines de mon âpre jugement je tiendrai mes aboi(belle)ments en laisse ! Et mes morsures de singe carnivore rongeront le coin de l’ordinateur, mais toute ma vie je me battrai jusque la mort contre toute mièvrerie (voulue ou non) dans le poème.

Néanmoins, soit, très bien... soit, je n'y ai pas mis les "arrondis" "les formes" et je reconnais volontiers avoir manqué de "tact"... Donc de cela je vous prie de bien vouloir me pardonner, en échange de quoi je vous promets de m’astreindre à plus de civilités à l’avenir. Je suis sincère et mon propos n'est de vous blesser personnellement en aucune manière.

Respectueusement,

Labrisse.

Je ne savais pas que tu avais une cour Lagomys mais je vois que tu viens de gagner un bouffon.

MODÉRATION


Le sujet sera verrouillé en cas de nouveau dérapage verbal. Les torts étant partagés, personne ne sera modéré pour le moment.

Merci de bien vouloir échanger dans le respect de chacun.

Par la fraise des Bourbons ! Les bras m'en tombent… et ma tête d'alouette.

Pardieu, cher comte de Brabant, aurait-on - moy, vostre seigneur, et ce noble ménestrier - franchi les douves du ridicule ?

De grâce, mon bon, mon favori, détournez-vous de la piètre cause de vostre suzerain, mais soyez là demain promptement pour Nostre lever, sans quoi Nous vous ferons donner du bâton !


Lagomys, Ubu roi