Bonjour tout le monde,
Quelques mots de remerciements pour tout ceux qui ont pris le temps de lire et de commenter mon poème "Ce corps là".
Je vais au possible tenter d'éclaircir ces quelques vers, qui ont enfantés chez certains, incompréhension, gêne, voire même dégoût.
J'ai voulu dans une forme libre, dépouillée de ponctuation, tirer le portrait à "un instant" qui je crois, réclame, par son caractère primitif, irraisonné,
une écriture, pas tant" automatique", comme l'a judicieusement suggéré : Lulu, mais incantatoire et fragmenté.
Ce momentané "post coïtal", comme l'a si bien
nommée senglar, ne cherche nullement à se complaire dans le "morbide","sordide" ressentis par
RB ou diva-luna, mais à peindre l'âpre et froide réalité de cette fugace et vive joie. Souvenir bienheureux que j'ai voulu scotcher,sans edulcorant, sur le papier, malgrès
mes doigts encore hésitants et maladroits.

À nouveau, un grand merci à tous, pour vos commentaires et critiques instructifs.

Respy

Punaise! Donc vous parliez de sexualité?

J'ai bien peur que oui. Du moins, de "l'après".
Je crois que vous avez pris ce poème au figuré alors qu'il décrit une situation en somme assez courante.

Peut-être que l'ecriture n'est pas celle à laquelle on pourrait s'attendre..

Ha oui je ne m'attendais pas du tout à ce que ça parle de l'après l'amour. C'est sombre. C'est d'un triste. Bon bref je suis passée à côté. J'étais loin! Bon merci de m'avoir éclairé.

Après lecture de ce que vient de nous écrire Respy, je ne peux que formuler un souhait : qu'il connaisse, qu'il recherche d'autres "après".

Je vais lui faire un aveu, en ce soir de détresse : j'ai demandé, il y a quarante ans, à celle que j'ose appeler ma douce, de faire graver "extase, atrophie sublime" sur la chose qui hébergera ce qu'il restera de mon passage ici.
Pour ces "après" que je lui souhaite.