Je dois reconnaître que l'argumentaire de vente semble solide... bonne chance pour ton affaire, LoutexteNate !

J'ai lu le premier post du fil, et il y a une chose avec laquelle je ne suis pas d'accord : écrire l'histoire d'un psychopathe. Le sujet n'est pas porteur, cela signifie décrire au moins quinze ans de violences subies, pour terminer avec trois ans de violences envers les autres... trop de pathos, pour un personnage avec qui personne ne peut éprouver de l'empathie, et qui finit en taule. Désolé, ça ne se vendra jamais !

Bonjour,

J'ai trouvé assez réjouissant ce forum ouvert il y a 8 ans, je l'ai parcouru avec plaisir.

Bonne chance en tout cas à ceux qui se lancent dans l'édition de leurs écrits.

Si vous voulez des conseils n'hésitez pas, mon dernier ouvrage poétique s'est vendu à trois exemplaires...(Je n'ai pas une grande famille)

Vous êtes insupportablement drôle, Pouet. Si vous l'aimiez par derrière, mais, évidemment, votre souvenance se porte vers l'avenir et la construction d'un monde meilleur, j'y mettrais bien des rancœurs, des regrets et des amertumes vengeresses, dans un mouvement violent mais plein d'amour — voilà votre humour se tournant vers les enfances de l'esprit, à votre dos, bien loin des pioches et des sondes, comme dirait le Pouet.

Si tu fais allusion, Pouet, à la publication de "Des lignes et des chemins", la marchandise s'écoulerait peut-être plus vite dans une édition de poche ! :) Mais je ne connais rien à l'édition et je thésaurise toujours...

Bonjour Beaufond, merci bien pour votre message supportablement compréhensible même si je pense avoir dérapé sur votre histoire d'amour par derrière... Veuillez excuser ma lorgnette assez raieduite.


Salut Eskisse, oui j'entends d'ici le doux tintement des piecettes dans la tirelire...

Vous n'auriez pas dû, Pouet, me rappeler que ce fil a un passé que l'on peut remonter à souhait.

J'y découvre une candeur ahurissante où des mots comme "Ne faites JAMAIS un roman philosophique pour les moins de douze ans, par exemple" ont véritablement été couchés sur du papier. J'aime beaucoup le petit prince, moi. Il faut croire que les enseignants n'ont pas fini de se remuer le remugle à des odeurs un peu péteuses. Mais, comme je l'écris dans mon carnet d'aphorismes : Personne ne comprend qu'il n'y a rien à comprendre. Ça se comprend.

Oui...
En relisant ce forum on s'aperçoit que la personne (pseudo miniecrivaine) qui a écrit cela était mineure à ce moment là , sûrement 16/17 ans.
Peut-on être candide à défaut d'être sérieux lorsqu'on a 17 ans cher Beaufond ?

Bof. On peut, on peut, mais est-ce aimable, intéressant ?
Dans ce même carnet, encore :
Les bavardages d'un Balzac ou Hugo sont insupportables. Même Proust aurait dû déchirer quelques pages. Aragon est, malgré de grands traits incroyablement beaux, à jeter en grande partie. La forme courte n'y remédie pas à tous coups : Musset a bien écrit des sonnets — qui puent le bonbon pédophile. Le Voyage est très long sous sa plume, mais Baudelaire n'y bavarde pas : il m'y danse.
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Quel âge me donnez-vous, cher ami, pour songer qu'ainsi me moqué-je de la bêtise d'autrui de par son âge ? Non, non, la bêtise a bien des rides, certains nous le prouvent ici à longueur de publications.

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