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Re : Contraintes contrastes
Visiteur 
Bonjour, Dowvid,

Vous n'êtes pas en retard.
J'espère que vous n'êtes que l'auteur de votre texte, pas le narrateur, et que vous êtes toujours en parfaite santé.

Je n'ai trouvé qu'une seule conjonction de coordination, unissant les deux mois si chers aux écoliers. Pas de quoi crier au scandale, donc.

En revanche, votre texte m'a ramené à une question dont je n'ai jamais vraiment trouvé la réponse. Qu'est-ce exactement qu'un lac ? Pour moi, un lac est une grande étendue d'eau. Sinon, ce serait un étang ou quelques chose de ce genre. Si le village avait été situé AU BORD du lac, je ne me serais pas rappelé cette question. Mais vous situez le village AUTOUR du lac. Et me voilà confronté avec ma notion de village, dont la taille serait peu compatible avec celle d'un lac. Lorsque je lis que le train a explosé en plein milieu du village, dois-je comprendre qu'il a explosé dans le lac ?
Wikipédia semble confirmer que la taille de l'étendue d'eau doive être grande pour parler d'un lac, mais sur l'une des photos présentées en exemple, il me semble que la taille n'est pas si grande. Je n'ai donc toujours pas de réponse à ma question.
J'espère qu'Acratopege, vivant au pays des lacs, pourra m'éclairer une bonne fois pour toutes.
Vous êtes-vous inspiré d'un village existant ?

Contribution du : 21/08/2013 19:32
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Re : Contraintes contrastes
Onirien Confirmé
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03/06/2012 18:18
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Ma paupière droite se soulève péniblement, un rayon de soleil brûle ma rétine. Je referme l'oeil : trop tard ! La lumière s'insinue jusqu'à mon cortex provoquant un mal de tête qui dévaste les quelques connexions neuronales que mon cerveau tentait d'établir.

Je me concentre sur mes autres sens pour comprendre où je suis. Des courbatures stoppent toute tentative de mouvement, du bout des doigts je décide d'ausculter mon environnement. Mes terminaisons nerveuses me renvoient des informations que je ne comprends pas : aussi loin que j'étende mes doigts, je ne rencontre que des godemichés, je suis cerné par des dizaines de pénis qui gisent autour de moi. Une vague de panique commence à m'envahir doucement lorsque j'entends ma femme se réveiller à mes côtés, je l'avais oubliée.

Je tourne la tête, trop vite. La matière grise projetée contre ma boîte cranienne déclenche une nouvelle douleur qui me réduit à l'impuissance. Je comprends que ma douce se trouve dans le même état que moi lorsque je l'entends me demander où nous sommes. Je n'ose pas lui répondre, stupéfait de la voir tenir dans ses bras, tel un édredon, un chibre gonflable mesurant deux mètres de long. Celui-ci a subi de terribles assauts puisque je le vois piquer du nez, débandant mollement sur mon épouse bien-aimée.

Je ne me souviens pas avoir déjà vêcu une telle gueule de bois. Rassuré de ne pas être seul dans cet état, j'entends tout à coup des voix : nous ne sommes pas seuls. Je clignote désespérément des yeux, tentant une mise au point qui me rapprocherait de la réalité, en vain. Je jure de ne plus jamais picoler en laissant le sommeil m'emporter.

Des mains qui me touchent me réveillent en sursaut, une voix d'homme me demande de me laisser aller alors que j'aperçois des menottes, des fouets, des vibromasseurs voler. Un frisson parcourt ma colonne vertébrale, ce cauchemar semble tellement vrai.
«Laissez moi faire... » la voix se fait plus ferme, je hurle, j'appelle à l'aide en sentant une ombre s'avancer. Une claque me réveille tout à fait : le visage d'un pompier hilare penché sur moi déclenche une avalanche de souvenirs sur le mode caléïdoscopique, je remonte le temps... je revois l'accident, la vitrine qui explose, le coup de volant, ma femme qui dit non, ma femme qui dit oui, le sex-shop, la route des vacances que nous remontons. Ma femme qui dit oui, ma femme qui dit non, ma femme qui change d'avis...


@ Rosebud : vous me donnez des idées... Je suis tentée...

@ Acratopege : plus vous êtes méchant, plus vos textes sont intéressants. La colère est bonne conseillère pour votre muse, mais cet avis n'engage que moi.

@ Dowvid : très angoissante cette ambiance de fin du monde...

@ Stony : merci pour la comparaison avec MissNode, même si je me demande encore comment vous avez pu confondre un diamant de 18 carats et une pierre mal dégrossie.. Il va falloir que je me frotte encore quelques années aux contraintes pour obtenir un éclat aussi joli que celui de ses textes... au boulot !

@ Palimpseste : décidément, un curé, un légionnaire, à qui le tour ?

@ Ludi : moi aussi j'ai bien ri.

Contribution du : 21/08/2013 22:25
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Les mots qui vont surgir savent de nous ce que nous ignorons d'eux. (René Char)
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Re : Contraintes contrastes
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à Stony
Un lac, c'est une étendue d'eau, pas nécessairement très grande. Plusieurs villes et villages sont bâtis tout autour d'un lac. Va voir Lac-Etchemin, sur Google.
Oui malheureusement, je me suis inspiré d'un désastre humain et écologique survenu début juillet au Québec. La ville de Lac Mégantic est construite autour du lac du même nom. Comme bien des villes ou villages du Québec, tout s'est bâti autour du chemin de fer dans le temps. Or, à cause du laxisme et de la connerie des gouvernements fédéraux successifs qui sévissent au Canada -le pays bientôt seulement voisin j'espère- tout le secteur du transport par train a été déréglementé, un peu pour copier les amaricains. Il n'y a plus d'inspection de l'état des véhicules et des rails, pas de contraintes au transport de marchandises dangereuses, aucune information pour les élus sur ce qui traverse leurs municipalités. On fait entièrement confiance aux entrepreneurs et aux compagnies privées. Est arrivé ce qui devait. Une cie canado-américaine, dont le proprio est un américain vivant aux ÉU, transportait du pétrole dans des citernes de blé recyclés à la va-vite, tirés par des locomotives désuètes, mal entretenues, avec un seul chauffeur et des façons de faire peu sécuritaires. Une nuit, le chauffeur s'est arrêté en haut du côteau menant au village. Il avait fini sa journée, pas de relève, il va dormir dans un motel. les freins du train lâchent et le train déboule à une vitesse infernale vers le centre du village où il déraille. Explosions, incendies, déversements dans le lac qui se décharge dans une rivière qui sert à puiser l'eau potable pour plusieurs villes, dont celle où j'habite.
Résultat : une cinquantaine de morts à cause des explosions et incendies, une population traumatisée, des centaines d'évacuation, une ville dévastée, une importante pollution par les hydrocarbures, des centaines de millions de $ qui vont y passer. Et la cie s'est mise sous la protection de la loi sur les faillites, ils ne peuvent pas rembourser les dégâts, ils sont trop pauvres, pas assez d'assurance, etc. Vous voyez le tableau.
Voir le lien : http://www.radio-canada.ca/sujet/lac-megantic

Contribution du : 22/08/2013 14:30
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Le vent, c'est la vie, et je respire...
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Re : Contraintes contrastes
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@lobia: Comment Stony peut confondre un diamant de 18 carats et une Pierre mal dégrossie ? L'explication réside entre la disparition des industries traditionnelles anversoises et une vision déformée de soi-même. Vous vous montrez comme toujours être une bien fine mouche... (j'ai beaucoup apprécié votre histoire).

@dowvid Pensées compatissantes... Nous avons suivi cet événement depuis la France et vous montrez que le traumatisme d'un tel accident dure longtemps. Courage pour le combat d'obtenir des services d'Etats qu'ils ne défaillent pas à leurs missions de contrôle et de règlementation.

Contribution du : 22/08/2013 16:04
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La meilleure nouvelle publiée sur ONIRIS : Palimpseste est raide dingue amoureux de Lobia, inoubliable auteure de "Numéro 20"... Nous sommes ensemble depuis deux ans grâce à Oniris, la meilleure agence matrimonialo-littéraire du Monde !
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Re : Contraintes contrastes
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@ Dowvid :
Je note qu'un lac est une étendue d'eau (douce) pas nécessairement grande et repars à la recherche du ou des critères le distiguant sans aucun doute de l'étang.
Je me souviens bien sûr de cette catastrophe ferrovière mais je vous avoue que j'avais oublié qu'elle se fût produite par chez vous. Les catastrophes ferrovières n'épargnent que peu de monde, ces derniers temps. Chez vous, en France et en Espagne récemment, et en Belgique il y a quelques années.

@ Palimpseste :
Je n'ai que peu fréquenté, et pour tout dire pas du tout, les boutiques et artisans d'Anvers, ceci expliquant peut-être cela.

Contribution du : 22/08/2013 16:18
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Re : Contraintes contrastes
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Même si je n’y ais pas mis les pieds depuis un sacré moment, on ne peut pas dire que çà s’améliore. Toujours des contraintes à la noix dans ces voyages organisés. Voilà que, pour le dernier jour de ces vacances pseudo-coquines, nous sommes obligés de finir ce périple d’enfer par un pèlerinage en bus à la grotte du Mage Bou-Dharlidada. Peut-il y avoir une idée plus débile ?

Quand Marie-Madeleine m’a proposé ce voyage pour retrouver notre vigueur d’antan, je n’étais pas contre, histoire de faire un peu de monnaie, d’échanger une pièce de cinquante contre deux de vingt-cinq. Juste que, arrivé sur place, au premier coup d’œil j’ai vu que les gars du groupe n’avaient amené que des grosses coupures… Du coup, l’ambiance des sauteries organisées tout au long du voyage en bus avait un arrière gout de maison de retraite.

Où est d’ailleurs le forni-car ? Tiens, le voilà, il se gare le long du trottoir, la porte s’ouvre, apparait notre chauffeur : les yeux chassieux, une fraise Tagada à la place du nez, l’haleine perdue dans les vapeurs d’alcool. A ses pieds se prélasse un clébard à la mine lubrique. Soudain peu inspiré par un voyage sur des routes de montagne dans cet équipage, je recule à toute vitesse pour annoncer en aparté à Marie-Madeleine. « Bon, moi j’y vais en taxi… ». Juste le temps d’entendre un dernier « En voiture Simone ! », me voilà parti.

La grotte du Mage Bou-Dharlidada ressemble à tous les lieux de pèlerinage : dissolution de croyances dans du commerce. Comme je suis en avance sur le fornicar, je m’avance vers l’homme aux nombreux pouvoirs de guérison : du redémarrage de libido au redressage de tord.

Tenant un gigantesque chibre en celluloïd en guise de spectre, il a un pagne autour des reins, un second autour de la tête. Mieux vaut, pour lui, ne pas trop s’habiller dans le noir. Histoire d’assurer la promo de ses pouvoirs régénérateurs, le pagne du bas bosse de manière suggestive. S’il le fait glisser trop vite un soir de grande forme, à tous les coups il s’assomme. Il m’invite à approcher d’un étal surchargé d’ex-voto, le tout ressemblant à la devanture d’un sex-shop.
Je remarque un cylindre brillant, long d’une trentaine de centimètres, surchargé de détails en relief, avec une extrémité arrondie. Je le saisi, appuyant par mégarde sur une sorte de touche. Aussitôt une lumière cylindrique violente d’un mètre cinquante de longueur jaillit de l’extrémité de l’objet. Un Zzzzon caractéristique se fait entendre.

- Souvenir du conte Doku, me fait-il de son fort accent indien. Une fois guérit, n’en ayant plus l’utilité, il m’a laissé son sabre laser. Je peux vous faire un bon prix…

Je continue mon inspection, surpris par un fauteuil roulant.

- Grace à mes soins, le cul de jatte qui l’a amené est reparti en béquilles. Je peux vous faire un bon prix continue-t-il de son fort accent espagnol.

Je vais pour poser une question au sujet d’un énorme cylindre rouge aux extrémités arrondies avec une poignée noire à 90° dont la marque Sicli me dit quelque chose, quand nous sommes interrompus par les cris affolés. Deux jeunes nones, version locale, mini-jupe, bustier époumonant, s’approchent en courant.

- Mage ! Mage ! Une catastrophe vient d’arriver. Le bus des pèlerins a raté un virage, une chute de 300 mètres dans le vide.
- Seigneur, avons-nous des survivants ?
- Un seul… le chien du chauffeur.
- Après une chute de 300 mètres… le chien est sauvé… C’est un MIRACLE ! reprend le mage indémontable.

Tout à la peine d’avoir perdu ma moitié, je me tourne vers lui.

- Un miracle, avec 40 morts, vous ne forcez pas un peu, là ?

Branlant verticalement son spectre vers les nuages, il m’interrompt d’un magistral :

- Mon cher, les voies du seigneur sont impénétrables !

Je vais pour répondre quand les deux nones se précipitent dans mes bras à la recherche de réconfort. Après deux secondes de réflexion j’essuie mes larmes. 50 de perdu, deux fois 25 de trouvé, tout compte fait, pour des vacances apocalyptiques…

Pepito

Contribution du : 22/08/2013 17:20
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Celui qui écrit dans mon dos ne voit que mon… (Adage du banni)
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Re : Contraintes contrastes
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23/01/2013 16:28
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Pepipo, vous nous démontrez magistralement que mais-ou-et-donc-or-ni-car peut être sans dommage envoyé au rebut!

Contribution du : 22/08/2013 20:50
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"Nous oublions ordinairement qu'en somme c'est toujours la première personne qui parle."
H.D. Thoreau
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Re : Contraintes contrastes
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SOS Armor

Côtes d’Armor. « Plage Bonaparte », signale l’écriteau. Endroit ravissant. Hélas, plage étroite faite de gros cailloux. Je demande à une indigène s’il elle connait une plage de sable dans la région. Regard amusé de la bretonne. Regard interrogatif de votre client. Silence, puis révélation : « Vous êtes exactement au bon endroit », me dit-elle. Re-regard interrogatif, significativement plus appuyé, à la limite de la détresse si j’en juge par la réaction de plus en plus amusée de mon informatrice. Eclat de rire : « Vous êtes au bon endroit. C’est le moment qui est mal choisi. ».

Je retourne, le lendemain matin tôt, à marée basse. En effet, c’est l’extase : au moins cent mètres d’un sable superbe sépare la mer de l’endroit où je me trouvais la veille, pas un humain pour me gâcher la vue, seulement deux falaises majestueuses entourant la crique. Au sommet de l’une d’elles se perche une maison qui pourrait servir de poste de surveillance si elle était habitée. Je vais me baigner, puis me couche sur ma serviette pour me sécher. Je bénéficie enfin du repos mérité pas plus de onze mois de l’exercice d’un métier harassant.

Je croyais rêver. Un groupe de vahinés est venu entourer mon cou de colliers de fleurs agréablement odorantes. L’une d’elles me caressait le dos, une autre me massait la nuque. C’était tellement agréable que je n’aie même pas songé à m’étonner de la présence de vahinés sur une plage bretonne. Je ne sais si ce fut l’effet de la chaleur provoquant une abondante transpiration, peut-être l’émoi que provoquaient les caresses de ces charmantes personnes, toujours est-il que j’étais en nage.

Je ne rêvais pas, Monsieur ! La marée ayant monté aussi rapidement qu’un petit pois dans un ascenseur new-yorkais, je dérivais sur la mer. Heureusement, je sais nager. Une côte devant moi, une autre derrière. Laquelle choisir ? J’ai fait le mauvais choix. Je me suis lacéré la peau au rivage d’une île que semble seul fréquenter un pêcheur d’huîtres. J’ai entendu sa voix dans le lointain. « Encore un con de touriste qui s’est endormi sur sa serviette ! » L’homme, Monsieur, parvenait à s’amuser de la situation, puis il a disparu avec le fruit de sa pêche. Je suis actuellement au sec, bénéficiant de l’abri précaire que me procure un touriste allemand échoué depuis plus longtemps que moi.

Vous comprendrez, Monsieur l’assureur, que je vous supplie d’organiser dans les plus brefs délais un rapatriement sanitaire. Je ne sais par quel miracle cet appareil fonctionne encore. Répondez-vite ! La batterie de mon portable, elle, n’est pas encore à sec, mais presque.

***

C’est encore moi. Je serai bref. Si vous pouviez également faire quelque chose pour mon hôte germanique... Cet homme parle très désagréablement le français, cependant il a su se montrer très hospitalier. Vite ! Il n’y a plus qu’une barre sur mon portable.

Contribution du : 23/08/2013 14:30
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Re : Contraintes contrastes
Visiteur 
Stupeur !
J'ai chuté dans la dernière ligne droit, un "mais" étant resté accroché à l'une des dernières phrases.

Contribution du : 23/08/2013 15:50
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Re : Contraintes contrastes
Visiteur 
Stony,

Bon, et alors, tu te l'es faite la bigoudène, ou t'as appris l'allemand?
Écris-lui un sonnet, à lui aussi.

Contribution du : 23/08/2013 16:18
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