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Re : Contraintes contrastes
Expert Onirien
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- Personne ne m’aime ?
- Non, ça c’était celui de de mardi dernier.
- La vie s’éteint comme les cercles … euh … d’eau ?
- Non ! ça c’était hier. Putain Polo tu fais chier ! Tu veux faire partie d’un club ultra-secret et t’es même pas capable de retenir un mot de passe.
- Attends, attends, je me souviens … Euh … Ouais ça y est : L’erreur pète sur nos paupières !
- C’est toi qui me pèse, Polo.

Contribution du : 15/03/2013 16:14
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Les honneurs déshonorent ; Le titre dégrade ; La fonction abrutit - Gustave Flaubert
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Re : Contraintes contrastes
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Eh bien vous êtes tous plus drôles que moi! Pour un psy psychanalytique comme moi, le texte de Palimpseste tient du chef d’œuvre! Mais les deux autres ne sont pas mal non plus, avouons-le!

Contribution du : 15/03/2013 16:35
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"Nous oublions ordinairement qu'en somme c'est toujours la première personne qui parle."
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Re : Contraintes contrastes
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Je suis époustouflée par vos traits de génies...
Pour ma part je n'arrive pas à me dépatouiller de ma propre contrainte, mais je m'oblige malgré tout à la poster...

Personne ne m’aime. Faut voir les tristes mines quand j’apparais. Des soupirs profonds s’échappent, les regards s’embrument.
Je suis déçue.
Je n’attends plus rien des hommes. Ils ne savent pas prendre la mesure du sublime.
Pourtant, faut le reconnaitre, si la lumière est la moelle de l’ombre, je suis la quintessence de la vie, dans toute sa splendeur, sa majesté et sa perfection. Pauvres êtres sans transparence, je voie bien à vos grises mines votre détestation. Jalousie. Convoitise. Je suis trop belle pour vous.
Parfois cela me met en colère, parfois je trouve confortable d’être ainsi mise au ban de la bonne société humaine. Pourtant, je me rappelle, avant, on me respectait davantage, on m’attendait, on me priait, on tendait les bras vers moi.
Inconscients ! Vous n’êtes pas capables de vous avouer : l'erreur pèse sur nos paupières, grossière, fatale. Cette erreur entachera définitivement notre harmonie.
Enfin, quelques uns apprécient ma valeur. Ils font figure de « béni non non». Ils se disent : nous sommes seuls entre deux négations. Ils passent pour des nihilistes tendancieux. Leurs pensées, comme quelques fruits menacés par les épines, sont condamnées par la majorité.
Un jour viendra, vous ne me puiserez plus, je ne serai plus si douce, je ne me laisserai plus conduire, je ne serai plus que démontée. Moi, pluie, je vous regarderai vous désoler, pleurer, gémir vous lamenter et crier: la vie s’éteint comme des cercles d’eau.

Contribution du : 16/03/2013 12:54
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Car le mot, qu'on le sache, est un être vivant.
V Hugo
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Re : Contraintes contrastes
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Bravo à tous pour vos textes.

La contrainte de cette semaine sera sur le thème de la musique. Votre texte devra contenir les mots "vie", "mort", ainsi que cinq noms d'instruments dont l'hélicon sur lequel vous devrez faire une métaphore poétique.
C'est parti!

Contribution du : 18/03/2013 22:17
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C'est la beauté du monde qui a fait naître la conscience des hommes...
et son absurdité qui l'a brisée.
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Re : Contraintes contrastes
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"Mon Dieu! Envoyez vos anges à mon mari! Que leurs trompettes éloignent sa maladie!".

Ainsi priait Mme Mozart, le visage enfouis dans ses mains jointes. Mais la vie d'excès de son mari semblait avoir fâché le Tout-Puissant qui se montrait sourd à la supplique. La vie s'enfuyait du compositeur et une issue proche était à craindre.

Il était si jeune pourtant! Et son apport à la musique n'était sans doute pas terminé!

Pour l'instant, il accouchait dans la douleur d’un Requiem commandé par un mystérieux mécène. Écrire la musique tenait Mozart encore en vie, mais plus on s'approchait de la dernière mesure et moins on espérait une quelconque rédemption.

Sussmayr, le dernier élève de Mozart, vint comme chaque jour prendre des nouvelles et écouter un Mozart fiévreux lui dicter ses ultimes indications: là des violons à diaboliser, ici un hautbois à rendre plus aérien ou encore des timbales à remplacer par des caisses claires. Entre deux sanglots, l'élève corrigeait sous l'oreille de son maître bien aimé.

Le dernier soir, alors que la Mort se faisait plus proche que jamais, Sussmayr osa une question. "Wolfgang. Tout le Requiem est soutenu par un instrument dont je ne m'explique pas la présence. Il est si grave et domine tellement les autres ! Dans le Confutatis, ça passe mais dans le Lacrimosa, il donne des airs de fanfares à un moment déchirant. Et que dire du Sanctus ?".

Mozart, le souffle court, répondit qu'il ne s'agissait pas d'un instrument à proprement parler mais du fantôme de son père, revenu des Enfers pour lui administrer une punition magistrale. Sussmayr rappela à son mentor que l'image avait déjà été utilisée dans Don Giovanni. Peut-être était-il temps de laisser tomber ce complexe œdipien pour garder au Requiem son caractère funèbre ?

Foudroyé par cette révélation, Mozart mourut sans répondre.

Sachant que le commanditaire refuserait de payer le Requiem en l'état alors que Mme Mozart aurait besoin de cet argent à très court-terme, Sussmayr, les yeux débordants de larmes amères, se signa. Le conflit de loyauté était insupportable pour lui, entre la mémoire du génial compositeur et la réalité des contraintes de sa maintenant veuve.

Le corps du maître était encore chaud, quand Sussmayr entreprit d'effacer toutes les portées dédiées à l’hélicon.

Contribution du : 22/03/2013 11:13
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La meilleure nouvelle publiée sur ONIRIS : Palimpseste est raide dingue amoureux de Lobia, inoubliable auteure de "Numéro 20"... Nous sommes ensemble depuis deux ans grâce à Oniris, la meilleure agence matrimonialo-littéraire du Monde !
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Re : Contraintes contrastes
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Cher monsieur,

Je m'adresse à vous en désespoir de cause. Si vous êtes bien ce qu'on m'a dit, c'est à dire le secrétaire perpétuel de l'Association Francophone pour le Renouvellement Raisonné de la Langue Française, vous pouvez nous aider avant la catastrophe. Je me présente : Christian Cédille, directeur en exercice de la réputée fanfare de la Basse-Broye, connue entre autres facéties pour ses aubades impromptues du petit matin dans les ruelles de la capitale régionale. Mais ce n'est pas mon propos. Nous nous trouvons depuis un certain temps face à un problème lexical et orthographique que nous n'arrivons pas à résoudre. Bêtement, il s'agit de la maxime de notre fanfare, après laquelle nous courons depuis des années sans la trouver. Mais soudain une idée a surgi, je ne sais plus depuis quel pupitre. Celui des barytons ? Celui des trompettes ? Celui des bugles ? Celui derrière lequel se cache le basson que nous accueillons dans notre ensemble, indigne bois parmi les cuivres rutilants, pour continuer à recevoir la subvention communale qui nous permet de vivre? (Ne l'ébruitez pas, mais notre souffleur dans un basson n'est autre que le maire en personne de notre petite ville pittoresque.)
L'idée qui a surgi de je ne sais où, c'est d'exprimer en vers rimés la quintessence de notre activité musicale à travers une image qui transcenderait l'instrument-roi de la fanfare, je veux parler bien sûr de l'hélicon. Nous nous sommes réunis plusieurs fois chez l'un ou chez l'autre autour de quelques bouteilles, nous avons confrontés nos idées poétiques avec rudesse, sans jamais que la chose altère nos profonds sentiments d'amitié. Deux obstacles, pour en venir au fait, nous retiennent : d'abord, chercher des vocables aptes à rimer avec « hélicon » ne nous paraît pas très élégant, vous voyez sans doute à quoi je pense ; ensuite, il nous est apparu très évident que l'hélicon, par sa forme, devait être comparé à un limaçon et à rien d'autre qu'un limaçon !

« Que j'aime au dernier rang faire sonner mon hélicon !
Il brait comme un âne mais se tord comme un limaçon ! »

Je sais bien que réformer l'orthographe n'est pas une broutille, que si on ajoutait une petite queue en tire-bouchon au « cocon » il se transformerait en « coçon » (je vous fais confiance, vous trouverez d'autres exemples), d'où une certaine confusion sémantique dans les milieux zézéilleurs, mais ici la transformation de « hélicon » en « héliçon » ne me semble poser aucun problème. Si vous le faites discrètement, personne n'en saura rien hors des frontières de notre petite région. Et puis, si l'instrument avait eu des piquants plutôt qu'une forme spiralée, je vous aurais demandé la permission de l'écrire « hélisson », ce qui aurait été bien pire.
Tous nous comptons sur votre diligence pour qu'avant notre prochaine assemblée annuelle la chose soit faite et que nous puissions en toute quiétude écrire « héliçon » comme nous écrivons « garçon » ou « rançon ». N'ayez crainte, nous n'allons pas vous prendre en otage ! Pour nous c'est une question de vie ou de mort!
Respectueusement.


C. Cédille

Contribution du : 22/03/2013 12:49
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Re : Contraintes contrastes
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Très sympathiques interprétations hélicontées.




Carlos aimait son hélicon. Plus que tout. Sans lui il ne se sentait pas bien. Pas bien du tout.
Ainsi, on pouvait la plupart du temps l’apercevoir, avec son boa de cuivre enroulé autour du cou.
Carlos, indifférent à la température, aux êtres humains, à l’état du monde en général, ne songeait qu’à ses balades avec son cuivre patiné.
Ses doigts connaissaient les mesures préférées de l’instrument, maitrisaient les accords parfaits des sentiments partagés.
Il ne vivait que pour ces échanges artistiques et créatifs.
Ainsi tout allait pour le mieux jusqu’à sa rencontre avec Ophélia, joueuse de trompette. On aurait pu penser que ces deux là étaient faits pour s’entendre, malheureusement l’hélicon détesta la trompette d’entrée de jeu.
Ophélia savait donner à sa trompette des accents bouleversants et tragiques.
L’hélicon n’aimait que la comédie légère et populaire.
L’idée de devoir partager des airs les rendaient chafouins et sournois.
Ceux qui avaient été leurs amis, saxophones, cors, et tubas se rendirent vite compte du fiasco de cette union ingrate et stérile.
Carlos et Ophélia, sans vraiment s’en apercevoir, se mirent à exécrer l’instrument de l’autre. Ils jalousaient mutuellement l’union à la vie, à la mort de leur alter ego et de leur instrument.
Embouchures et pistons exaltaient leurs colères, comprimaient leurs émotions, pompaient leur énergie.
Ophélia imposa un choix : maintenant c’est lui ou moi.
Carlos préféra jouer de l’hélicon.

Contribution du : 24/03/2013 11:42
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Re : Contraintes contrastes
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L'Élitiste sur la rue Couillard, un petit bar tout enfumé avec des tables rondes branlantes, et des clients tout aussi ronds et branlants. Rien à voir avec ce que laissait entendre le nom de la place.
L'horloge indiquait une heure assez avancée de la nuit. L'état de la jeune femme annonçait la même chose : elle était assez avancée. Et elle lui faisait son spectacle insipide, en lui fourguant le microphone un peu n'importe où devant le pavillon. Elle tenait à peine debout mais voulait se faire attirante. Elle ondulait du corps comme la danseuse baladi du restaurant nord-africain un peu plus loin.
Et André soufflait dans son ténor, les yeux fermés pour ne pas la voir, la connasse. Pour ne pas avoir envie de la frapper avec son saxo, comme on se débarrasse de la mouche importune qui vous agace, qui vous fout les nerfs en boule.
Il en tirait un ton chaud et venteux, un peu comme celui de Zoot Simms, de Scott Hamilton, de Stan Getz. Il y allait aussi de tirades criardes un peu à la Gato Barbieri, des grands cris rauques mêlés au son majestueux de son Selmer ancien. On pouvait parfois distinguer le bruit des tampons sur le tuyau de métal, lorsqu'il y jouait de tendresse ou de détresse. Un instrument très sensuel, physique, que le saxophone. Le son est modulé par la forme donnée à l'intérieur de la bouche, par la fermeté des muscles buccaux, par le jeu des lèvres sur l'anche, par le flux d'air qu'on y insuffle.
C'était la dernière pièce de la soirée, un thème propice à la rêverie, à l'introspection. Et la gonzesse s'était avancée jusqu'à la petite scène, avait arraché le micro de son support et, les yeux dans les siens, elle avait entrepris son petit spectacle bien à elle.
Il finit son solo, la contrebasse d'Antoine martelant les pieds d'accords de son timbre rond et entier. Émile reprit le chorus à la guitare, les doigts effleurant les cordes rapidement, jouant des harmonies comme on joue des allitérations.
La fille avait toujours le microphone entre les mains, qu'elle caressait lascivement, comme une invitation à la rejoindre. Il la regarda plus attentivement. Elle était plutôt jolie. Pas très grande par rapport à lui, mais de grands yeux verts abrutis par l'alcool, des pommettes fortes, un joli sourire coquin, des cheveux bruns sertis de mèches de différentes teintes plus pâles.
Elle avait un corps de jeune femme qui fait attention à elle, des hanches pleines et une taille fine. Les seins remplissaient bien son gaminet trop serré.
Il s'avança vers elle et lui glissa quelques mots à l'oreille tout en avançant la main pour reprendre le microphone. Elle fit la moue et recula un peu, en collant l'objet convoité contre son corps.
Il ouvrit les yeux un peu plus grand, en penchant un peu la tête de côté et en souriant. Elle hésita un peu et se rapprocha en lui tendant les mains. Il lui reprit le micro tout en lui effleurant les doigts doucement. Ils se regardèrent dans les yeux quelques instants, et la fille retourna à sa table en chaloupant un peu. Il réinstalla le micro sur le support, tout juste à temps pour reprendre le thème avec les autres musiciens. C'était "Round midnight" de Thelonious Monk. Un thème sonore qui rend bien la profondeur de la nuit, sa chaleur, sa résonnance. Une envolée qui se casse le nez sur un ciel obscurci de fumées diverses, qui se relève, se reprend, comme le rêve qui tournoie, qui reprend ses thèmes, infatigablement, l'espace de quelques secondes qui peuvent paraître des heures tellement on n'en tient plus le compte. Comme l'hélicon qui enserre le torse du joueur, licou métallique et sonore qui entraîne la bête là où elle doit aller, qui indique le chemin. Ou comme l’aiguille qui injecte la mort lente tout autant que le plaisir instantané, éphémère, renouvelable, consommable.
René entama son solo à son tour. Un solo de batterie en jazz, on garde ça en fin de prestation, pour les amateurs. Et puis ça n'a rien à voir avec un solo de rock. La batterie en elle-même est réduite au minimum, un peu à cause de l'espace restreint alloué aux groupes de jazz, un peu parfois par paresse du batteur, un peu aussi parce que c'est largement suffisant. Pendant la soirée, le batteur se laisse aller à quelques mesures de solo échangées avec les autres musiciens. Pas un chorus entier, des miettes, des "four" comme on dit. Quatre mesures par musicien, à tour de rôle. Mais en fin de soirée de travail, René aimait qu'on lui laisse de la place un peu, pour s'exprimer à son tour, pour faire rouler les mécaniques. Des roulements subtils, des ponctuations syncopées, des cymbales fouettées, des presque silences, des hoquets inquiets.
Et voilà, c'était terminé. Le thème de Monk tiraillé par des musiciens plus audacieux parce que finissant la soirée. "Round Midnight" qui se termine sur un solo de batterie, faut le faire. Ils l'avaient fait. Ne restait qu'à remballer les instruments en buvant un dernier verre, aux frais du patron.
Le piano plaqua un accord final, et André effectua un glissando baveux, comme un alcolo glissant dans une flaque de bière répandue sur le plancher. La jeune femme l'attendait encore.

Contribution du : 25/03/2013 13:58
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Re : Contraintes contrastes
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Bravo à tous pour vos textes tous très sympathique, j'ai beaucoup aimé l'humour du texte d'acratopege par contre il n'y a pas de métaphore avec l'hélicon, juste une comparaison... Le texte de dowvid est très bon, un peu long mais je m'en voudrais de restreindre des élans artistiques.

Cette semaine la contrainte sera sans thème, l'infinité des possibles s'ouvre à nous... par contre nous devrons glisser dans notre texte 10 titres de romans que nous placerons entre guillemets pour faciliter leur visibilité et que nous énumérerons en dessous du texte en citant leurs auteurs. Il pourra être intéressant de voir lesquels nous avons en commun et ce sera l'occasion de découvrir des romans ou des auteurs que nous ne connaissons pas...

Contribution du : 25/03/2013 15:31
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Re : Contraintes contrastes
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Mea culpa pour la métaphore absente, mais quand même: ne peut-on pas considérer "si l'instrument avait des piquants" comme une métaphore implicite? Je pose la question aux grammairiens et autres spécialistes des figures de style et suis prêt à me faire taper sur les doigts.
Jolie proposition, cette semaine...

Contribution du : 25/03/2013 21:01
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