Je remercie chaleureusement le CE et tous les commentateurs, quels que soient leurs avis, et m’excuse d’avoir proposé un texte de si faible valeur poétique. Car je ne peux que donner raison aux remarques soulevées, j’aurais dû approfondir davantage cet écrit qui en l’état reste bien mince. La vérité c’est que je voulais poster en poésie, et n’ayant rien d’actuel sous la main j’ai pioché dans les réserves. Mal m’en a pris, aussitôt envoyé, aussitôt regretté !
Il y a quand même une chose surprenante. Quand je m’applique et essaie de produire du beau, je ne récolte qu’indifférence. Quand j’écris tel que ça vient, je croule sous les commentaires...

Bonjour Malitorne

et merci pour votre retour sur commentaires.
Vous savez, piocher dans la réserve comme on dit parce qu'on n'a rien de frais à proposer, ça m'arrive aussi et je fais à peu près le même constat : avis plutôt tièdes des commentateurs, ou carrément critiques.
C'est sûr que c'est difficile à encaisser, sur le coup, après ça passe et ça fait réfléchir.

Vos excuses ont des airs d'auto-flagellation, c'est dommage; ça n'est pas nécessaire.
Comme jevous le disais dans mon commentaire, le sujet était intéressant et cela justifierait que votre poème soit retravaillé. Il en vaut la peine.

Myndie

Bonjour,

Ne vous excusez pas, et ne vous sous estimez pas....
Moi, j'ai aimé ce spontané d'écriture et cette vibration offerte et naturelle.
Cordialement

Merci pour vos mots amicaux Myndie et Provencao, ainsi qu’à Cyrill et Edgard pour leurs derniers commentaires qui me font croire que ce texte, malgré ses défauts, peut plaire. Je n’ai pas complètement sombré au fond de la Bérézina !
Je continue de m’interroger sur le nombre d’appréciations et suppose que le secteur poétique devient blasé de technique et d’excellence, en recherche accrue d’authenticité. Ça reste une hypothèse, mais les gens sont peut-être plus sensibles aux cris du cœur, directs, bruts, qu'à la maestria du style. On va m’accuser d’opposer forme libre et académique, je vois Louis froncer les sourcils et me soupçonner encore de populisme, pourtant ça pourrait se comprendre. Quand l’art atteint des sommets, on redécouvre le primitif.

Bonjour Malitorne et merci pour votre retour sur commentaires.
" ... les gens sont peut-être plus sensibles aux cris du cœur, directs, bruts, qu'à la maestria du style." et bien, j'avoue c'est plutôt mon cas et quand les deux sont alliés c'est un réel bonheur de lecture. Cela dit, je crois que chacun d'entre nous a écrit, un jour ou l'autre, sous une impulsion difficile à définir, quelque chose qui n'est pas décrypté facilement par les lecteurs, dans ce cas vous avez un peu tiré au hasard ce "Cric-crac" et comme il a été publié vous avez pu avoir des réactions diverses et variées. Ma foi, c'est une éxpérience n'est-ce pas ?