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2 Utilisateur(s) anonymes
Re : D'un sonnet l'autre |
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Visiteur
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Bonjour Cristal, bonjour à tous.
Si je suis à côté de la plaque, merci de me le dire. NAUFRAGE ( Phare de Goulphar ) Devant l'Océan en furie, Le vent, les remous, la pluie. Le fracas du tonnerre, Et l'éclair sur la terre. Sa brûlure au craquement Des galets, comme crabes, Un son de cliquetis, vent, Bourrasques, astrolabe. Rien à part mon désespoir, Aucune lumière ce soir, Juste le néant de la mer. A l'affût sur la falaise, Mon regard, mes yeux de braises Sur Belle-île-en-Mer. Personne.
Contribution du : 02/06/2016 13:18
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Maître Onirien
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Bonjour Personne,
Vous êtes tout-à-fait dans l'idée du sonnet sans verbe. Néo-classique, classique, contemporain, libre, slam...l'essentiel est le côté ludique de ce fil ouvert par Stony. Bravo et merci de votre participation ! Cristale
Contribution du : 02/06/2016 13:44
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Visiteur
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§ Au Relais du Virage §
Lundi : Frites aux pneus. Omar libidineux, Mardi, dans son corsage. Mercredi : Moule en nage. Choucroute avec ses noeuds, Jeudi, pour les neuneus. Vendredi : Poule en cage. Samedi : Calembour Très mûr, au lait d'amour. La vache ! et pis dimanche ? Frère Guy "Le Repu" : << Repos ! repos du manche ! Au pauvre corrompu ! >>.
Contribution du : 02/06/2016 14:13
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Expert Onirien
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Toc Toc Toc
Un grand vide Tout humide... Ploc ploc ploc Tout liquide, Tout mastoc, Toc Toc Toc Que du vide. Son cerveau ? Que de l’eau De vaisselles. Ses sonnets ? Cabinets, Tels des selles.
Contribution du : 02/06/2016 16:13
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Visiteur
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Au gastro des trois pigeons,
Dont l'un, par l'odeur suave D'un fumet de betterave, A la couleur gorge-de-pigeon, Et les deux autres commensaux, Que le gris du plat gratiné Sur la table de toile cirée... Dégoût d'un met pour ces sots. En effet la teinte rouge, Au faciès de peau-rouge Et sa forme cubique. Tel ce légume flamboyant, Carrés aux doux tons mirobolants, A tous points calorifiques.
Contribution du : 02/06/2016 19:17
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Visiteur
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Au gastro des trois pigeons,
Dont l'un, par l'odeur suave D'un fumet de betterave, A la couleur gorge-de-pigeon, Et les deux autres commensaux, Que le gris du plat gratiné Sur la table de toile cirée... Dégoût d'un met pour ces sots. En effet la teinte rouge, Au faciès de peau-rouge Et sa forme cubique. Tel ce légume flamboyant, Carrés aux doux tons mirobolants, A tous points calorifiques.
Contribution du : 02/06/2016 19:17
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Expert Onirien
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Bravo personne.
Contribution du : 02/06/2016 20:37
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Maître Onirien
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et merci Personne, GuyMauve, Luciole et encore Personne pour son retour
Contribution du : 02/06/2016 20:55
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Merci luciole, de même. Merci Cristale.
Les huit-cent bougies Sur un beau gâteau Au fond d'un bateau Féerie ou magie Son cruel Captain Barbe à terre Et marin à mer Bon samaritain Mil-deux-cent-seize Naufrage à Suez L'an fatidique Fantômes à l'air Anniversaire Sous les tropiques.
Contribution du : 03/06/2016 11:18
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Maître Onirien
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@Personne
Big-bang Le soleil et la lune Un impossible amour De la nuit et du jour Comme l'eau sur la dune. Tout en haut de la hune Les amants, tout à tour Ellipse, eclipse, autour De leur Dieu fou : Neptune. À deux sans avenir Plus que le souvenir D'une éternelle danse. Orphelins d'un vieux gang Nés d'une invraisemblance : Les enfants du big-bang. @Cristale
Contribution du : 03/06/2016 12:11
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"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “ Jean-Pierre Siméon "parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense" Charles Baudelaire |
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