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2 Utilisateur(s) anonymes
Re : D'un sonnet l'autre |
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Un poème sur la ministre COSSE, d'actualité, qui n'est pas un sonnet, et dont je supprime ce qui forcerait la censure.
[Modéré. Voir les consignes du post 267. De plus ce n'est pas un sonnet.]
Contribution du : 07/10/2016 12:49
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Re : D'un sonnet l'autre |
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En fait, cette fois, j'ai tort. Eh oui ! il m'arrive, de le reconnaître lorsque c'est fondé.
Mais ce pamphlet que j'ai adressé au ministre, par la Poste, traitant de SA politique, donc de politique, me paraissait tellement d'actualité, que je n'ai pu résister. Je tâcherai d'en écrire un autre, sonnet cette fois, sur les eaux de l'espoir.
Contribution du : 07/10/2016 13:04
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Vous avez dit sonnet
Loi… Qu’eus-je Vu Du Juge ? Fus-je Lu, Cru ? Pus-je Voir Choir L’autre ? Quoi ! Votre Loi..
Contribution du : 07/10/2016 13:56
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Bon, si vous le voulez bien, sortons de la politique. Parlons de ces élans qui nous définissent en tant qu'humains :
Passades De désirs possessifs et de besoins grégaires Se définit l'Amour, cet illustre inconnu Qui me fait entrevoir quelque charme ingénu Dans le regard lascif des femmes adultères Mon cœur a refusé d'avoir pour locataires D'ineptes sentiments car il fut convenu Qu'il resterait prison vide de détenu En se faisant garant des élans éphémères Au futile motif d'un changement d'humeur J'ai crainte d'éprouver, moi, présumé charmeur Ce trouble envahissant qui rend l'âme dolente Contre de tels aveux, pour clore le sujet Veuillez appréhender de manière clémente Que je ne sois tenté que par la femme-objet
Contribution du : 07/10/2016 14:30
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Comme promis, voilà ce fameux sonnet qui traite de la foi.
Contrepartie Au fond de son regard je mendiais l'instant Où le reflet furtif d'une onde pulsatile Comblerait de bonheur mon avide sébile M'offrant l'immense espoir d'un prodige latent Ne pouvant contenir, parleur impénitent, De mes yeux le torrent, monologue inutile Lorsque je dus fermer sa paupière docile Je crus, fou de douleur, mon esprit impotent Je suppliai les cieux, conjurai les ténèbres D'accorder le report de leurs desseins funèbres A Dieu j'offris ma vie et mon âme au démon Le vide répondit que la foi n'est qu'un leurre Qu'il n'est de vérité qu'en ce probant sermon : L'amour est du chagrin le seuil de la demeure
Contribution du : 07/10/2016 14:42
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Réponse à Passades
Un écrit humoristique retiré de mes publications Le poète amoureux Aimer ? Que dites vous…Le poète est orfèvre Au pays de l’amour. Il le chante, il le peint Avec ses doigts d’artiste, et croustillant, son pain Béni, reste sans goût semblable sur la lèvre. Ỏ ciel, ô crépuscule, à cette heure s’enfièvre Sa plume, dulcinée alerte en son lopin De notes. Un concert, une valse, Chopin Souffle au poète, seul. Au Diable ! La nuit mièvre. Et rythmes, tourbillons mènent au firmament Les parfums les plus chers de celle qui lui ment Sans cesse. Elle est ailleurs dès que le jour s’éveille. Quoi ! Ne peut-il chérir qu’un amour étranger A sa plaintive chair qui palpite et sommeille ? L’envier ? Je butine et ne puis me changer.
Contribution du : 07/10/2016 15:31
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Merci à toutes et tous de vos contributions.
Ce fil ayant fermé boutique pendant l'été, il est peut-être utile d'en rappeler l'esprit initial. Le sujet en cours a été proposé ici.
Contribution du : 07/10/2016 15:58
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Re : D'un sonnet l'autre |
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J’ignorais l’objet du fil, le voici repris :
Monsieur l’assureur Je me vois aux regrets d’objecter votre pli, Un retard de cet ordre invite à la prudence. Songez qu’ici Noêl est jour de Providence Quand de mille cadeaux mon salon s’est empli. Excusez mes petits, pour mon possible oubli, Leur joie est sans pareille et mon dieu, quelle danse Autour de mon sapin couvre ma résidence De contes plus seyants que mon compte affaibli ! Et de la dinde au four, pensez donc au dindon : Les cordons de ma bourse appellent au pardon, J’ai fouillé mes tiroirs et suis sans une thune ! Or, malgré cet état, en toutes circonstances, Jamais je ne connus votre dite infortune, Car j’ai toujours, à l’heure, honoré mes quittances.
Contribution du : 07/10/2016 21:44
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Re : D'un sonnet l'autre |
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Maître Onirien
Inscrit:
02/10/2012 20:34 De Là-bas
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Groupe de Lecture Membres Oniris Primé concours Post(s):
26645
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...oup's je pense que le sujet en cours est "la politique" donc voici ma petite contribution relaxe du week-end, inspirée d'une chanson ancienne.
N.D :Diérèses non respectées pour cause de dissidence épisodique. La politique en émoi et moi François, Jean-Luc, Alain, Marine Nicolas, Dominique et quoi ? Jean-François, Nathalie et toi Arnaud, Bruno, do-ré-la-mi-ne ! Manuel, Christiane, Christine, Chacun fait sa soupe et pourquoi ? Bien malaxé, tout navet coi En primaire aura grise mine. LR* le jour j sauront voter En stéréo sans tripoter La touche FN* de leur bréviaire Pour éviter les tours en cours, Au PC*, PS* aux discours : Clouer DSK* au bestiaire ! Lexique : do-ré-la-mi-ne = d'or est la mine LR : sur écouteurs Left-Right, son stéréo gauche-droite ou : le retour FN : touche fn du clavier en bas à côté de ctrl ou : faut nager PC : personal computer ou : plante constamment PS : post-scriptum ou : pourquoi souffrir DSK : ??? ou : délaisser son kamasutra Oui, je sais...
Contribution du : 08/10/2016 11:07
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"La poésie est avant tout effraction. Elle cherche à plonger plus loin que les effets de surface. “ Jean-Pierre Siméon "parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense" Charles Baudelaire |
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Re : D'un sonnet l'autre |
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TROLLEX
Je suis le camelot de lourde casserole Et m'en vais la fourguer par les monts et les vaux Au peuple des badauds - disons plutôt des veaux - Qui attendent parqués de voir ma tête drôle... D'agile bateleur jouant si bien son rôle De rampant écumeur de sombres caniveaux... Troupeau de panses pleines et vides cerveaux Acclamant le bouffon dont ils font leur idole. Pourtant j'ai déjà pu, par le passé, sévir Mais il me faut encore et toujours asservir La masse des crétins dont la mémoire flanche. Ce ballon de baudruche en son néant obscur Qu'est mon ego qui enfle éclatera, c'est sûr ! Mais j'espère avant ça m'en payer une tranche !
Contribution du : 08/10/2016 11:30
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