Merci au CE pour avoir publié mon texte.
Un grand merci aussi aux chers lecteurs qui ont pris de leur temps pour rédiger un commentaire et laisser une appréciation : Robot, Cyrill, Cleamolettre, Yakamoz, Malitorne.

Je reconnais, comme #Malitorne le souligne, que ce n’est pas une nouvelle au sens strict. Pas d’évènements, pas d’effusion de sang, pas de catastrophe, pas de personnages non plus, si ce n’est le narrateur mais surtout les gares.

J’aime les descriptions longues, légèrement fastidieuses, qui donnent à voir, façon "Nouveau Roman". Pourtant le narratif doit de temps en temps intervenir, au risque d’ennuyer le lecteur : c’est la limite du genre.

Je ne pensais pas précisément à Orhan Pamuk, même si comme #Cyrill j’apprécie ses romans où Istanbul semble plongé dans un perpétuel hiver et ses personnages dans la nostalgie, c’est en tout cas l’impression que j’en retiens.

Pas trop heureux de la comparaison faite par #Robot avec "Des trains pas comme les autres" : le présentateur Philippe Gougler m'indispose beaucoup.

Content d’avoir donné à #Cleamolettre l’envie d’en savoir plus sur ces deux gares et peut-être de choisir Istanbul comme prochaine destination de vacances !

Merci à #Yakamoz d’avoir souligné l’importance du Bosphore comme lien symbolique entre l’Europe et l’Asie, ce que je n’ai pas fait dans mon texte (et aurais peut-être dû faire).

Merci Vinvigneron pour ton appréciation du texte.

L'un des buts, outre partager une émotion esthétique, est de permettre au lecteur de s'évader de son quotidien et de voyager - en esprit - vers d'autres Horizons.
D'ailleurs Istanbul n'est pas une contrée si lointaine que ça..