Merci au CE d’avoir inclus ce poème au catalogue d’Oniris.

Merci beaucoup aux lecteurs et à vous chers commentateurs d’avoir eu l’amabilité de me faire part des sentiments que vous a procuré ce poème. Sentiments mitigés allant d’avoir aimé « un peu » jusqu’à « passionnément ».
Je crois que c’est l’appréciation diverse de l’utilisation continue du trimètre qui explique ce grand écart, certains la trouvant ennuyante et nuisible, d’autres envoûtante et appropriée.
J’ai voulu, par ce rythme, rompre avec l’alexandrin et trouver une certaine originalité pour illustrer le ghazal, forme peu commune, avec une musique accompagnant le ud et que je pensais dansante autrement que dans une valse. Ce rythme (3x4) me paraissait adapté à un certain déhanchement mais il est vrai que les arabesques orientales, souvent improvisées, s’accommodent peu d’un rythme régulier à l’occidentale et qu’un rythme syncopé aurait été plus judicieux.

Quant au contenu mystique du poème, il est propre à la fois au ghazal et à la danse orientale « d'origine religieuse, liée à la terre et la fécondité » (source Wiki).

Pourpapipoete, ghazal et zadjal sont 2 formes fixes différentes. J’ai lu avec plaisir « Hôte d’eau douce ».

Voilà. Ce poème ne restera pas dans les annales et, si je devais m’aventurer à réitérer l’expérience, je tiendrais compte des remarques de chacun.

Merci Miguel, Socque, papipoete, Lebarde, inconnu1, sympa, domi, GiL, Cristale et Cyrill.


Le poème est ICI