Merci aux comités d’avoir permis la publication de ce texte au catalogue d’Oniris, merci aux lecteurs et merci à vous qui avez laissé vos mots en commentaires :

Bipol : c’est moi qui éprouve un réel plaisir que vous ayez aimé passionnément. Venant d’un parolier, je pense que vous avez été sensible à la musique, j’en serais ravi.
Francis : heureux de vous avoir fait évader dans mon espace de liberté.
PIZZICATO : Merci ! La biodiversité se fait de plus en plus pauvre et sèche, il convenait de l’arroser.
Arielle : merci beaucoup pour ta lecture que je sais exigeante. Heureux que tu aies pris plaisir à la musique des échos, je n’étais sûr de rien. Je ne considère pas ce texte comme définitivement abouti sur ce plan-là et concernant les images, je note que trop tue le rêve. Je garde cependant mon nymphée qui, dans mon esprit, n’est pas de marbre.
Papipoète : quel bonheur cette référence à l’impressionnisme de Monet ! Sur une musique de Chopin, pourrais-je toucher un chœur ?
Pussicat : vous avez disséqué allitérations et assonances, je n’en voyais pas autant ! Attention au trop. Heureux que vous ayez été sensible au caractère sacré de mon nymphée. Pas un peu fier que vous souligniez la « grande puissance » de ce texte. Ne faites pas de « différence entre rêve et réalité », il n’y en a pas :)
Alexandre : merci beaucoup d’avoir apprécié la musique et les images de mon étang bien landais en effet. L’inversion était indispensable à la rime, je m’interroge sur son « manque d’élégance ».
Mauron : merci pour Théophile de Viau que je ne connaissais pas. La référence à la musique baroque est parfaite et convient peut-être mieux que celle de Chopin que j’ai évoquée plus haut. Personnellement, j’entendrais bien un luth, une viole et un chœur sous forme de psaume. Mais ce n’est qu’un essai, une étude. Je corrige « n’ait d’étoile ».
Robot : merci beaucoup de vous être immergé passionnément dans mon univers humide sans trop savoir dire pourquoi. Cela me touche vraiment.
Wall-E : merci beaucoup pour votre appréciation. Les images ne seraient-elles qu’un prétexte à mon étude musicale ? Non : j’ai voulu mettre précisément ces images en musique. Oui : un rapport symbiotique entre le regard et l’ouïe.
Pieralun : heureux que ce poème vous ait plu et que vous l’ayez trouvé « dansant ». Un rap ? Oui, pourquoi pas aussi ? Je rêve qu’un compositeur-interprète, quel que soit le genre musical, puisse être inspiré s’il y tombe dessus. Je n’ai pas été spécialement inspiré par Verlaine. J’aurais plutôt pensé à Lamartine ;)

C'était moins à la musique baroque que je pensais en lisant votre poème qu'à la poésie baroque: Théophile de Viau, Saint Amant, Tristan l'Hermite, de très charmants poètes trop peu connus. Il me semble que votre texte est dans la veine de ces poètes... Mais très original tout de même, et irréductible...

Oups ! Excusez-moi pour le retard de la réponse, Mauron.
Un monde poétique que je connais peu, pour ainsi dire pas pour les auteurs cités. Mais vous me donnez vraiment envie de l'explorer et je vous en remercie.