Un grand merci à tous ceux qui ont bien voulu suivre le pas léger de ma jeune fille en crinoline et parfois lui exprimer leur sentiment. Globalement ce poème léger dans le propos comme dans le ton, sans autre prétention que la simplicité pour évoquer cette habitude, au fond plutôt innocente,des messieurs des siècles passés, a été assez bien reçu et bien compris.
J'adresse mes plus vifs remerciements particulièrement à ceux qui ont pris le temps de le commenter en fonction de leur sensibilité. Donc, à Ioledane, Papipoète, Wall-E, Hananke, Sofi, Robot, Arielle, Luciole, Pizzicato, Léni, Francis, Lulu, StayinOliv, Cristale, Emilia, toute ma gratitude.

Une mention spéciale pour Arielle dont les avis sont toujours très judicieux et surtout Luciole qui me prouve avec la plus grande gentillesse que je ne me suis pas trop fourvoyé en évoquant, à travers ce poème, celui, si simple, si tendrement expressif, de Gérard de Nerval, un de mes préférés, « Une allée du Luxembourg » dont je voulais restituer l'atmosphère et le dépouillement, le fond mélancolique dans un autre décor.

Ce poème est déjà ancien et n'étant guère prolifique en ce moment, je vais me mettre en congé d'Oniris, baisser le rideau jusqu'à ce que d'autres émotions veuillent bien me surprendre au détour de la vie.
Au revoir donc, un grand merci et toute mon amitié.

C.

A très vite, j'espère, cependant, car j'aime beaucoup votre plume ! En attendant, je me ferai un plaisir de vous relire.