Dugenou repas de famille post N° 41

Je ne sais pas trop quoi dire, mais je vais trouver, sourire.
Était-ce le projet dont tu as écrit qu'il n'était pas structuré ?
Bon, peu importe.
Ton style est très personnel et je l'apprécie : tu ne livres jamais, d'emblée, les clés pour te lire, au lecteur de se débrouiller.
Cette nouvelle aborde tant de sujets de sociétés, mais naturellement, en quelque sorte. On dira que tu en "fais trop" ? Pour moi, non, les paroxysmes existent. Tout comme existent les liens familiaux toxiques mais indénouables.
J'ai pensé au flim avec Gabin "L'affaire Dominici" de Claude Bernard-Aubert, parti d'une histoire vraie.
Bravo !

Placebo, Dugenou, Eclaircie,

merci de votre passage com ! j'ai trouvé ce défi fort vivifiant, avec des textes de qualité.
Pour le concours, dis-tu, Eclaircie ? Je ne sais pas, j'ai l'impression que tout le monde s'attend à des textes qui font rire, plus que des textes sur le rire. Alors je ne sais pas. Pour l'instant, je laisse sommeiller l'inspiration...

Eclaricie : parfois, je me fais l'impression d'être un forcené : je mets un couteau sous la gorge de mon lecteur, et, oui, à lui de se débrouiller avec le tout... merci, ton commentaire m'aide à distinguer les défauts de mon style de plumitif...

Hersen, ce sera génial de ne pas donner à lire ce que tout le monde attend...

Dugenou, pourquoi vouloir lisser ton style ? Tu as un lectorat qui aime lire l'épée aux reins, chouchoute le comme avec ce défi.

Chouchouter un lecteur en lui mettant un couteau sous la gorge, ou une épée aux reins... concept intéressant.

Vous avez 4 heures, Vicomte _Bidon, pour disserter sur le concept.
Et on ne peut plus vous attendre pour ce défi, dommage.
Le prochain ?

Je reprends mes commentaires :

Eclaircie - Les myosotis

Les digressions multiples participent à l’atmosphère et à l’étrangeté du lieu. Les mots sont importants dans ce texte :)
Cela m’évoque avant tout les Toc. Compter, toucher, s’assurer que le rituel est respecté.
Les remarques sur le climat donnent une ambiance presque post-apocalyptique.


Plumette – au fil des ans

Le texte se lit très bien.
Il y a un aspect inéluctable, comme la marée qui viendrait éroder petit à petit le château qu’ils ont voulu construire, en croyant que ce serait le bon endroit, la bonne personne, la bonne relation.
La fin est une vraie chute.

C'est revigorant, ces défis !
Du coup, je me suis remis à écrire des nouvelles.

C'est super, Donaldo 😊

Don, j'ignorais que tu n'écrivais plus de nouvelles... pour le remarquer, il faut le savoir...

Edit : ah ! J'ai compris le message subliminal ! Euh... bon, promis, demain, j'arrête de non écrire.