Bonjour à tous

Je remercie tous d'abord le CE d'avoir publié mon texte

Je remercie également tous les membres qui ont pris le temps de le lire, et plus particulièrement ceux qui l'ont commenté Mintaka, Corto Cyrill, Robot, Donald 75, Vilmon, Eskisse

Comme le dit très bien Vilmon ce texte parle de la renaissance, plus précisément de la mienne, et j'en suis vraiment heureux

Je vous remercie Bodelère

Votre commentaire m'a montré que vous avez lu mon texte entre les liges et les sauts du papillon que je suis et qui a réussi a trouver cet endroit qui lui permet enfin de s'envoler, bravo à vous

Merci Jahel, vous avez raison pour cette rage, je ne suis pas devenu papillon aisément, mais maintenant je vole beaucoup mieux presque bien

Eviter de chercher son moi Ce serait mieux que le moi cherche à nous éviter
Entre le Ca ( pulsions, instincts) et le Surmoi ( gendarme intérieur) coucou c'est moi le Moi , raison et sagesse intérieures, un "chiant" qui se la pète à jouer les juges de paix entre le deux premiers

Noter que le Surmoi, cette intériorisation des modèles de société et des modèles de conduites inhérentes dommage qu' à force il devienne une composante du moi
Mais heureusement , la neuroscience à découvert que cette aire de conscience sociale empoisonnante se situe dans une petite région du cortex orbito-frontal qui se trahit en s' activant quand on éprouve de la culpabilité, des regrets ou de la honte .
Ca existe ça ?
Et donc ma muse et moi avons rendez-vous en neurochirurgie pour nous débarrasser de ce gendarme intérieur ( on n ' aime pas les gendarmes ) pour enfin être ce que l 'on peut au naturel ( infâmes) et non ce que l 'on doit être , sociable , idéal contre nature Et enfin pouvoir écrire des textes percutants .

Freud le premier à écrit " Je est un autre qui est en moi en parlant du résultat de cette construction sociale " Je vais le virer ce Je " Plus de ménage à trois .ne restera que le Ca pour faire un moi inévitable mais devenu fréquentable .

Quand à chercher son moi , le qui l 'on est quand on dit être soi-même , c'est le précédent plus l ' hérédité, la mémoire collective et génétique Vaut mieux éviter au final de chercher son moi, il ne gagne pas à être connu , on risque de se décevoir Avis personnel .

Fableur@,

La théorie sur l'analyse m'amuse beaucoup, j'ai été soigné à tord pendant plus de vingt ans par un psychiatre psychanalyste reconnu par sa cour pour de la bipolarité (à tort) il m'a endormi avec ses cachets pendant plus de vingt ans. J'avais peint des peintures symbolistes incompréhensibles par moi lors de leur exécution, je les ai comprises par ma poésie et me suis complétement guéri grâce à cette analyse d'un traumatisme psychique (enfant de remplacement ayant subi les sévices de ma mère) mon deuxième psychiatre m'a dit au revoir et je suis sevré. Oui je me suis cherché et je me suis trouvé tout seul comme un grand .J'ai libéré mon moi de la charge de mon surmoi, mais merci pour le cours

Salut Vincent , c'est un message plein de sincérité que vous nous livrez là et pour ma part je n'y suis pas insensible. Sans vivre la même situation, j'y trouve une résonance, une résonance d'humain à humain en quelque sorte, sans vraiment appréhender de meilleure formulation. En tout cas le fameux "nul ne guérit de son enfance" semble avoir trouvé certaines limites vous concernant et c'est heureux. Bonne continuation.

pour entrer sur la pointe des pieds dans ce sujet, je peux dire qu'ayant connu le harcèlement au travail ( celui qui vous fait marcher au milieu de la route en pleine nuit, ou gober une boite verte de comprimés sécables, et finir chez les fous ; si si y'en a ! qui s'approchent de votre lit sans faire un bruit... ) je suis apaisé mais j'avale toujours ma dose chaque soir, sans perdre une once de lucidité, et il arrive 12 ans après que ma " sorcière " vienne hanter mes nuits ! Comme je suis heureux quand je me réveille !
je fus un joyeux boute-en-train, je le suis moins, mais pas rabat-joie pour autant ; on aime bien ma compagnie, mes sujets de conversation...
mais je ne crois pas guérir un jour, à part quand on clouera le couvercle de mon ultime redingote !
pour moi, pas d'histoire de " moi ", mais la volonté de ne pas perdre la partie, quoiqu'il arrive !
papipoète

Pouet@

Salut à vous cher Onirien (comme vous dites souvent), je suis très sensible à votre message plein d'affection, ce fut d'autant plus compliqué mon histoire que je suis né au dessus du magasin de couronne mortuaires de ma grand-mère à Cherbourg, la seule qui avait détecter en moi une certaine anomalie, je sais qu'il a été très difficile de me percevoir sur ce site est ailleurs, c'est la double peine

papipoète@

Nous avons tous eu ici ou là des problèmes, mais être habité sa vie entière par un frère porte à aller chercher son véritable moi, finalement d'être débarrassé de mon énorme dépression ne veut pas dire s'être débarrassé de ce fantôme qui rôde toujours, comme je l'ai expliqué en commentaire de certaines poésies je suis intimement persuadé que c'est lui qui les écrit comme il a fait mes peinture, en ça c'était intéressant que j'en fasse part sur un site littéraire

sages paroles Vincent ; et je rejoins votre réflexion " débarrassé de mon énorme dépression... rôde toujours "
je ne serai jamais sevré de mes petits cachets, car je pense qu'ils participent à mon équilibre ( bien que je ne tienne plus guère debout ! ) ils sont les lunettes, les chaussures orthopédiques, la canne dont j'ai besoin pour aller mon chemin.
je vous souhaite une bonne journée
papipoète

papipéte @

Je vous souhaite de pouvoir vous en débarrasser, et bonne journée également

Flableur@

Je vous remercie d'avoir remarqué cette phrase (peut-on éviter de chercher son moi) question personnelle ouvrant à la psychologie et à la philosophie, je souhaite que cette question soit posée au bac