Alfin #1079 : attention, une stratégie commerciale, ou séductrice, peut en cacher une autre ! Beaucoup de finesse dans cette micro.

@ Alfin, post 1079

Pour ma micro, c'est inventé, ou disons extrapolé à partir du fait qu'un roturier était puni de mort s'il tuait un noble.


Sympa, ta micro et très vraie. Juan est un admirateur pas très discret mais du moment qu'il rapporte des contrats... Comme quoi tout dépend où se situe sa jauge personnelle de tolérance envers les dons Juans.

Je récidive, puisque le thème ne fait pas recette (trop proche de l'actualité ?).

LES MASQUES

- Maman ! C’est terrible, regarde : je me suis réveillée ce matin avec ces horribles tâches brunes sur les joues et des rougeurs au front. Je suis défigurée ! Mon dieu, et si c’était les crevettes qu’on a mangées hier soir qui n’étaient pas fraîches ? Ou peut-être la mayonnaise ?

Sans s’affoler, Ginette répondit :

- Mais non, tu serais déjà sur les toilettes ou même aux urgences. Fais voir ça.

Ginette examina le visage de sa fille tourné vers la fenêtre et se mit à rire.

- Qu’est-ce que tu trouves de si drôle ? Que j’aie l’air d’un monstre ?

Ginette posa une main affectueuse sur le ventre rondelet de Véronique :

- Mais ma pauvre chérie, j’ai eu quatre enfants et trois fois la même tête que toi ce matin. Tu t’affoles pour un banal masque de grossesse, tout simplement. Ca passera. Allez, fais-moi un sourire, pense au bébé.

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Sur le thème : Masques

Oui Animal, trop d'actualité pour moi.
Ça ne m'évoque que ce truc qui m'arrive en pleine face lorsque je prends ma casquette suspendue au porte manteau de l'entrée.

post 1083
Transmission intergénérationnelle féminine ; c'est vivant, tendre, intemporel.

Bravo et merci à tous pour votre imagination bien distrayante.

@ maria

Merci d'être tout de même venue sur le fil pour commenter
les micros.

Pour ce thème, mea culpa. Je n'ai pensé qu'aux masques du carnaval de Venise car, au moment où Dugenou cherchait un sujet, je lisais un reportage sur ce sujet dans un vieux magazine.

Je propose un thème pour la semaine :
CADEAU EMPOISONNÉ
Je vous souhaite une très belle semaine !

CADEAU EMPOISONNE

Fallait-il soupçonner Bru ? Ordal ou Rosport ? Le commissaire Devlaeminck en avait la migraine rien qu'en y pensant. Il se voyait mal goûter à toutes ces sources dans le but de trouver le coupable, et risquer de mourir lui aussi.

Depuis quelques semaines, les cas d'eau empoisonnée se multipliaient. Hommes, femmes, petits, grands, jeunes et vieux mourraient, se tordant de douleur, se tenant le ventre, tombaient comme des mouches. Et cela, en plein centre-ville de Bruxelles ! Les enquêteurs dépêchés sur place rentraient tous bredouilles, n'ayant pas réussi à récolter ne serait-ce qu'un maigre indice.

Qui ? Oui, qui était donc ce monstre qui avait, d'un seul coup, décidé d'intoxiquer de la sorte la population de la capitale Belge ?

C'en était trop pour Devlaeminck : il lui fallait prendre l'air. Et c'est à l'angle de la rue de l'Etuve, en plein centre Bruxellois, qu'il aperçut le coupable. Etait-il bête, c'était l'évidence même !

Le lendemain, il fit procéder à l'arrestation du Manneken-Pis.

1000 Caractères.

Dugenou 1087

Désolée Dugenou, mais je n'ai rien compris.
Comment "procéder à l'arrestation" d'une statue ? Il y a certainement une subtilité dans ta chute que n'ai pas saisie.

C'était de l'humour...

Je voulais signaler que j'ai des ascendants flamands français de dunkerque dans la famille. Ma grand mère paternelle s'appellait Oosten. Je ne voulais vexer personne.

#1087 Dugenou, une intrigue policière pas banale, merci pour la touche de non-sens à la belge, c'est parfait, en plus tu t'es renseigné sur le nom de la rue... beau boulot.

CADEAU EMPOISONNE

- Alors ma jolie, que faites-vous là ?
- Je ramasse du bois pour le feu, madame !
- Je vois ça. Où habites-tu, jolie demoiselle ?
- Dans la maison près de la rivière, les habitants de la maison m’ont recueillie il y a quelques semaines, je courais un grand danger, mais ils m’ont mise sous leur protection !
- Voilà qui est généreux de leur part, tu ne dois pas avoir beaucoup de loisirs dans cette forêt… une jolie fille comme toi…
- Non, c’est vrai, je m’ennuie parfois, mais je suis heureuse de pouvoir les aider en faisant le ménage ou en préparant le repas pendant qu’ils sont partis.
- Tiens, je te donne une petite pomme pour t’encourager dans ta tâche, je te souhaite bon courage, ma petite.
- Merci ! Au revoir madame !
La vieille femme s’en alla et Blanche-Neige mordit à belle dent dans la petite 🍎

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