Parcourir ce sujet :
1 Utilisateur(s) anonymes
Re : Diminuendo plouf ! |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
17/04/2012 21:15 De Capens
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Post(s):
7576
|
Bonjour Cox,
Pas de soucis pour le concassage de texte, comme déjà dit, il serait malvenu de me plaindre de ce que je fais (faisais) régulièrement. D’autant que, ayant connu l’époque où nous ne pouvions être lus que par notre grand-mère, à condition de lui retrouver ses lunettes, je glorifie tous les jours l’ère Internet. Appel aux amateurs : Massacrez, massacrez… du moment que vous me lisez ! Pour la courtitude du texte, vous n'êtes pas le premier, ici et ailleurs, à considérer qu’un minimum de mots s’impose pour exprimer une idée. Je souris toujours en pensant au «For Sale, Baby Shoes, Never Worn» attribué à Hemingway ou à Knock ! de Fredric Brown. Ce sentiment de “pas fini” n’est en fait que liberté. L’auteur vous laisse le libre choix de compléter son œuvre. Je parle ici de vrais auteurs, hein, pas de moi. Du coup, l’ultra court demande plus d’efforts aux lecteurs, d'où une certaine réticence, voire une incompréhension. D’autant que, ici, il faut mettre les mini nouvelles en paquet pour arriver au minimum de mots éditables. C’est pourquoi la notion de “nouvelle recueil de mini-nouvelles” m’a, en son temps, bien fait marrer… même si elle est restée légèrement incomprise. ^^ A contrario, j’ai très souvent le sentiment de “remplissage” quand je lis un texte (un peu) long. Mais mon avis est minoritaire, j’en ai bien conscience. La forme semi-versifié est ici un test, qui ne sera pas reconduit, promis, juré ! ;=) La poésie, déclarée comme telle, m’ennuie au-delà du possible. Il est difficile d’avoir quelque chose à dire, plus difficile encore de l’écrire, alors si on s’ajoute des contraintes de forme issue d’on ne sait où, bonjour la catastrophe. La seule solution est alors de versifier inlassablement sur la variation du taux d'ocytocine. Cela donne un tel poids à ces textes, qu’ils m’en tombent des mains. Si vous voulez une preuve de la vacuité des textes assumés poétiques, jetez un œil sur les “choix poésies” de ce site : que des différences de “formes”, rien sur les “contenus”. Comme s’il était entendu qu’ils n’en avaient pas ou que cette question n’avait pas d'intérêt. Au passage, admirez mon aisance pour me faire de nouveaux amis.^^ La chute est, je pense, primordiale. Si elle arrive à faire repenser le texte d’une façon toute différente, alors là c’est jackpot. Un point important, ne jamais oublier de la mettre à la fin. ;=) Oups ! je m’égare, j’en ai mis des tonnes. C’est pas ma faute, c’est Stony qui m’a contaminé ! ^^ Cox, un grand merci pour être venu me lire et pour votre commentaire détaillé. Le concassage était léger, les plus gros cailloux sont restés entiers. ;=)
Contribution du : 27/07 14:24:30
|
|
_________________
Celui qui écrit dans mon dos ne voit que mon… (Adage du banni) |
||
Transférer |
Re : Diminuendo plouf ! |
||
---|---|---|
Expert Onirien
Inscrit:
17/04/2012 21:15 De Capens
Groupe :
Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Post(s):
7576
|
Bonjour Cyrill,
“des mots qui emmènent”, ça c’est un sacré compliment, je prends. ^^ Se “nounoyer” est un bon signe de collectif, voire un sentiment d'appartenance royale. Pas de soucis, donc. ;=) Pour la forme, haïku pelés et italiques, c’était vraiment au pif. Un test, pour voir. Forme perfectible, sans aucun doute. Le but des italiques, comme pour les chansons dans les textes sérieux, était de pouvoir repérer les passages les plus ennuyeux pour les éluder. La forme courte, bien plus courte qu’ici, permet effectivement un impact. Il faut juste qu’elle soit associée à un “fond”. ^^ Grand merci pour votre lecture attentive et votre appréciation !
Contribution du : 27/07 14:28:52
|
|
_________________
Celui qui écrit dans mon dos ne voit que mon… (Adage du banni) |
||
Transférer |