Merci à tous ceux qui ont permis la publication de ce(tte) poème/chanson ---> là

Merci à Dominique Lô pour l’avoir mise en musique

Merci à ceux qui m’ont laissé un commentaire : Gouelan, Marie-Ange, Pizzicato, Papipoete, Leni, Queribus, Damy, Mokhtar, Provencao

Je voulais juste préciser qu’il est probable que la structure ne soit pas tout à fait assez régulière pour une chanson, mais que je ne sais encore pas trop le faire…

et puis…

que si je chante moi-même mes poèmes/chansons c’est aussi parce que je n’ai trouvé personne qui soit vraiment intéressé pour le faire à ma place…peut-être en partie pour la raison de la structure évoquée précédemment…

que la strophe mêlant colère, désobéissance et connerie est peut-être surchargée, j’aurais pu me passer d’évoquer la colère…mais la désobéissance contre la connerie…j’aime penser et pratiquer ce concept

Enfin que Marie-Ange est trop élogieuse , et que si je prenais la grosse tête ce ne serait pas que de mon chef...


À bientôt


Corbivan

@corbivan
Le "donnez moi" répété rappelle le "gimme" ( ou give me) des ultra atlantiques . Donc, pas un problème de l'entendre X fois !
Par contre j'ai un peu l'impression que la partition musicale dessert le texte qui, à lui seul, présente des contenus féconds en poésie. En revanche, la voix a la singularité et la ressource qui convient pour donner du relief à l'interprétation.
Le tout est donc, selon moi, en bonne voie de promesses pour la toute prochaine fois.
Bravo au duo!
Ithaque

@Rincedalle

Merci pour votre commentaire et vos suggestions.

À propos de l’intolérance, ce serait une bonne idée si la tolérance n’était pas une notion si ambivalente, en effet dans cette strophe je veux exprimer que parfois la colère, ou la rébellion, ou la désobéissance sont dignes face à la connerie, quand je dis connerie je voudrais évoquer cet hybride qu’est la connerie, ou la bêtise, alliée à la domination (au pouvoir), que ce soit le pouvoir d’un seul ou d’une minorité, ou de la majorité. Ce poème est né d’un ras le bol du bruit d’abord, et de fil en aiguille de ce que j’aimerais en face du bruit, pour faire face au bruit, enfin je me suis laissé aller au fil des mots…la connerie n'étant qu'une sorte de bruit, comme un parasitage de la vérité, vérité qui pourrait n'être que l'aveu de notre ignorance, dans certains cas ce serait déjà bien.

Pour en revenir à la tolérance, il me semble que l’on ne doit pas tolérer, et donc être intolérant face à ce qui force les autres, l’intolérance alliée au pouvoir, à la force oppressive.

Vous me direz peut-être que la connerie c’est ambivalent aussi et (et vous le dites) qu’on est tous cons (ou les cons de quelques-uns), vous auriez raison, mais que ce soit face à la nôtre ou celles des autres si la connerie fait du mal, il faudrait se rebiffer, je crois, c’est plus difficile pour soi-même, mais pas si facile non plus quand ce sont les autres qui nous paraissent y patauger.
À propos de connerie, j’ai commis il y a pas mal de temps une ‘ode aux cons’… comme je ne proposerai jamais ce texte à la publication (car il ne reflète en rien ma poétique (je plaisante, je n’ai pas de poétique, juste de petites pulsions des fois…)) je vous la livre ici, pour le fun hein !

Ode aux cons

Ils paraissent toujours nonchalamment, et l’esprit encombré de si peu de sagesse, qu’ils n’ont besoin que de toutes petites ailes pour s’envoler, si loin, si haut, qu’on ne voit d’eux, au télescope – même par temps clair – qu’un infime point.

Il faut, bien sûr, beaucoup de piété pour ne pas trop leur en vouloir d’être bienheureux, en plus que de pouvoir voler.

Mais s’ils sont ignares ce n’est pas de leur chef, c’est congénital paraît-il, lors, comment ne pas leur pardonner, si leurs parents étaient déjà imbéciles nés.

L’insupportable c’est quand ils prennent la parole, sans avoir réfléchit si peu que ce soit d’eux-mêmes, et ne font que répéter une science apprise, dont ils n’ont jamais pris la peine de creuser les secrets.

Et psalmodiant à tout-va, se congratulant, ils se bénissent, et se chérissent, se promettant de vivre toujours au royaume de la bêtise, où tout est simple, calme et limpidité…

Il est bien vrai qu’ils n’ont pas démérité, ceux qui leurs vies entières n’auront connu que la clarté !


@Fugace

merci de votre commentaire sympathique et de votre conseil : regarde et écoute…je vais tâcher de ne pas l’oublier…c’est un conseil d’une grande sagesse car cela prône la contemplation que je crois être une des clés du problème de notre civilisation, plus le temps de regarder, d’écouter, de contempler, et d’être subjugué.
De se retenir de s’agiter avant d’agir. À méditer tout ça.

@Ithaque

tu n’es pas le seul à avoir trouvé que la mise en musique n’est pas forcément la meilleure. Je ne sais trop quoi dire, je n’aurais pas eu de meilleure idée en tout cas, mais je ne suis pas musicien. Ce que je peux dire c’est que je n’avais pas assez pris le temps de répéter ma voix sur l’air et du coup il me semble que lors de la prise de son il m’a fallu attendre quelques strophes pour être un peu à l’aise, mon problème est d’entendre la musique et de m’y conformer en quelque sorte, au niveau du rythme surtout, et on a fait deux prises…et encore le musicien/arrangeur/etc. Dominique Lô a dû bidouiller (je suppose) pour recaler ma voix par-ci par-là.

Encore merci à vous trois.

Merci de vos temoignages et de vos remerciements.
Moi, tout simplement j'ai adoré comme je vous le notais dans mon commentaire.

Au plaisir de vous lire.
Cordialement