Citation :

Effectivement.

Sauf que pour le coup Leverbal a commenté des textes, répond à ses commentateurs, participent au forum etc...

On ne peut pas demander à tout le monde d'être un membre "super actif" non plus, y a des limites à mon sens.

Mauvaise "cible", donc.

Chère Plumette,

Les arguments que vous suggérez de développer sont d'un autre ordre que celui des commentaires "de ressenti" que nous déposons ici pour faire "vivre" un peu les textes.
Ce que vous suggérez relève du travail de Conseiller littéraire qui est un métier en soi. On peut tout à fait s'y risquer en amateur mais alors avec quelle justification de compétences ?
Je peux dire à mon boulanger que j'ai trouvé son pain "très moyen" à mon goût mais de là à lui détailler la recette qu'il doit appliquer pour en changer la saveur...ce n'est pas mon métier.
Il en est donc de même pour mes lectures ; elles m'enchantent ou me déplaisent mais je ne sais pas nécessairement donner à l'auteur des pistes pour améliorer son texte. Par ailleurs il m'est en effet plus aisé de dire en quoi un texte m'a plu que l'inverse. En effet, le plaisir ressenti que j'expose ne s'appuie pas nécessairement sur la "recette" d'écriture de l'auteur mais sur les ressorts intimes qu'il a su (sans le savoir ) faire jouer en moi. C'est alors que je peux laisser libre cours à mes sentiments et notez que dans un tel cas, l'auteur ne s'offusquera pas en disant : Tout cela est bien gentil, vous étalez vos états d'âme mais vous ne m'expliquez pas en quoi mon texte est bien écrit ! Ce serait un comble n'est-ce pas ?

Je termine avec la remarque de Pepito sur mes commentaires un peu "acides". Je me suis pris à douter de moi et j'ai repris une à une toutes les critiques que j'ai apportées aux textes. J'ai été soulagé de constater qu'elles sont généralement positives plutôt que négatives ! Si si j'insiste

Et puis consolez-vous, si un jour un de mes textes est validé par le Comité de Lecture d'Oniris vous pourrez me critiquer à loisir sachant quelle est mon approche du commentaire...
Ce serait un comble pour moi de ne pas m'appliquer ce que j'applique à autrui !

Désolé pour la fôthe, "participe" bien sûr...

Désolé aussi Leverbal de répondre en votre nom.

Mais il me semble qu'il y a "bien pire" que vous (inscrit depuis moins de deux mois: 15 évaluations, remerciements et apport à certains forums) concernant la "non-participation" au site, d'où mon intervention.

Je viens de découvrir la dernière appréciation. Pour un nouveau sur le site PierrickBatello commence fort.


Je suis curieuse non pas de découvrir sa nouvelle "La Main" puisque je la connais déjà ( déjà vue sur un autre forum ) mais de lire, entre autres, ses futurs commentaires.

Bonjour Leverbal et merci de ces explications qui éclairent un peu ces entrevues que je ne comprenais pas (leur contenu en tout cas).

Pour cette phrase qui me paraissait bancale "la certitude absolue que j'en faisais de même", je n'ai en effet pas trouvé de faute grammaticale ou autre, c'est une erreur. Désolée

bonne journée
vendularge

Citation :

Descendez le curseur de la liste des textes commentés, vous en trouverez d'autres.

(Promis Leverbal, je ne "pollue" plus votre fil (de faire) et m'en retourne dans les abysses du silence.)

Je parlais des futurs commentaires que pourrait émettre ou recevoir un des commentateurs de "en double aveugle".

Concernant le reproche qui a été fait par quelques commentateurs à cette nouvelle "en double aveugle" sur le fait que l'on attende de la part du personnage et narrateur, auteur de nombreux bestsellers, une écriture particulièrement transcendante justifiant ses ventes, ce reproche est en partie infondé. Le narrateur est un plagiaire. Quand il écrit ses confessions il ne plagie plus et retrouve son style.

Chère Silvieta,

Vous confirmez en creux ce que quelques commentateurs ont relevé. A savoir que l'écriture du narrateur n'est pas transcendante.
Et donc vous êtes, vous, fondée à penser que l'auteur a volontairement gribouillé son texte ?
Je prends bonne note qu'il y a deux niveaux de commentateurs : ceux instruits par une prescience innée et ceux à qui elle échappe dont je fais partie !
il n'y a pas de commentaires plus autorisés que d'autres que je sache, mais si vous le souhaitez, comme pour un auteur qui avait ouvert un fil de discussion pour se plaindre de mon commentaire je peux aussi m'abstenir de commenter vos textes si vous estimez que je ne suis pas assez caressant pour vous complaire.

Bien à vous.

Grange

Je continue l'échange avec Grange et j'y ajoute une réponse à Pierrick Batello:
J'insiste parce que dans le cas présent il y a 2 niveaux, Marinache avec sa manière d'écrire, et moi avec ce que j'ai voulu faire passer comme message. Oui le style est volontairement "ampoulé", le personnage est mégalo et pas particulièrement sympathique. C'est un anti-héros, quoi...
Que des commentateurs confondent mon style avec celui du personnage, c'est de bonne guerrre, ils n'ont jamais rien lu d'autre.
Des remarques sur le fait que le second degré du texte ne passe pas, du coup, je n'en ai pas eu. Mais j'ai au moins pu le déduire de vos retours, c'est l'essentiel ;-)

Cher Leverbal

Je veux bien prêter foi à votre second degré mais comme vous le précisez ce texte est le seul (j'exclue le poème et pour cause) que nous puissions lire de vous ici ; vous avouerez que c'est peu pour asseoir notre jugement (ce n'est pas un pluriel de majesté hein ! ).
Lorsque Flaubert narre les aventures de ces benêts de Bouvard et Pécuchet il reste Flaubert en dépit du caractère de ses personnages et les dialogues restent savoureux même lorsqu'ils sont empreints de sottise. Il ne trahit pas pour autant son style et ne travestit en rien la puissance de son écriture. Et cependant on y croit n'est-ce pas ?
Je crois que se permettre du second degré lorsqu'on a pas encore assis se réputation est peut-être un peu hasardeux ne pensez-vous pas ?

Bien à vous

Grange