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1 Utilisateur(s) anonymes
Ensorcellements, merci bien ! |
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Expert Onirien
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J'ai cherché une entrée en matière différente de toutes celles que j'ai déjà employées dans mes remerciements. Je n'en ai pas trouvé, et j'ai une journée de dix heures dans les yeux. Je vous prierai donc de vous contenter de ces deux lignes, et de ces quelques fleurs. Merci.
Toujours un bonheur et un honneur que de recevoir autant de commentaires et d'impressions en pagaille, et toujours une honte de ne trouver le temps de remercier qu'en retard. Un texte grandement retranché, que je vous ai livré là, écrit très rapidement mais révisé très lentement. Je le sentais différent des autres lors de son écriture, pas en bien ou en mal, simplement différent, et j'ai donc décidé d'en faire une publication onirienne pour recueillir l'avis d'experts :P Le thème, c'est non seulement la solitude, mais également, je crois, le pouvoir des étiquettes. Enfermer les gens dans des types, des histoires, des rôles, prédéterminer leur capacité à nous émouvoir ou à nous rebuter, à nous faire rire ou à être risible, est l'une des banalités quotidiennes qui m'horripilent le plus, d'autant plus qu'il en devient de plus en plus aisé de se prédéfinir (et donc de se limiter) soi-même, par habitude, par extension du regard expéditif qu'on sait si bien porter sur son entourage. Les personnages sont pour les histoires, et si je m'inspire du réel pour créer mes fictions, je me donne pour mission personnelle de ne jamais les traiter comme des gens déjà "écrits", pour ainsi dire. On ne fait jamais que conjecturer, que ce soit de belles ou d'horribles choses on est dans le droit de les penser, mais l'équilibre s'impose. Penser avoir tout lu de quelqu'un est un crime qui ne devrait jamais passer une introspection critique qui se respecte. Peut-être est-ce pour cela que je n'ai pas l'habitude de donner des informations en rafale en écrivant. Un personnage, ça devrait se deviner, se sentir, comme une personne rencontrée dans l'autobus. J'ai également une confession à faire. Z'ai trissé... En centrale, la publication de ma nouvelle était prévue pour le 30. Marimay, brillante publicatrice en chef qu'elle est, m'a suggéré que nous repoussions d'un petit jour et restions dans le thème. Moi étant moi, j'ai accepté avec l'enthousiasme d'une petite fille de six ans venant de se faire annoncer que tous ses Noëls allaient fusionner en un. Et voilà. Sorcellerie ! Allez zou. (Scoop : ce sera longuet) carbona : Plus j'ai relu votre commentaire, plus je l'ai apprécié également ;) J'aime ces compte-rendus de lecture précis et honnêtes. Je ne relance pas toutes les phrases que vous avez soulevées, je n'ai pas à redire sur bien des commentaires, mais pour les autres, un peu en vrac, voici: "À l’épicerie, elle regarde les gens la regarder. Ça ne l’a jamais gênée." < ça m'étonne puisqu'elle donne jusqu'alors l'impression de ne jamais sortir et donc de ne jamais être vue" : votre lecture a du sens. Je crois que j'imaginais Anaïs comme ayant toujours été plutôt du genre insouciante. On n'apprend pas à laisser les gens parler à partir de rien, c'est également ce qui fait qu'elle s'est isolée de prime abord. "Anaïs se fait livrer pratiquement tout, et ça la gênerait de faire trop dépenser d’essence aux commerçants. " < je ne comprends pas : elle se fait livrer donc les commerçants se déplacent non ?" : Ça va avec la phrase d'avant, comme quoi elle n'est pas très loin du village en dépit de son isolement. Elle n'aurait pas voulu faire dépenser encore plus d'essence aux commerçants en vivant plus loin. "où ils sont aussi rares que les Martiens" < bof les Martiens" : en y repensant, bien d'accord ! Merci pour cette lecture intelligente, et à une prochaine fois ! AlexC : Eh bien, un coup dans l'eau pour moi sur ce lecteur. Je comprends que le tout vous ait semblé manquer de force. Le conte pousse parfois à cultiver un ton trop feutré. Je n'ai pas voulu verser d'un côté ni de l'autre, ni dans le mélodrame ni dans l'histoire fantastique, alors je suppose qu'en même temps je ne regrette pas les raisons qui vous poussent à moins apprécier mon texte. Sans dire que c'était un effet entièrement voulu, je ne voulais pas d'une histoire pour faire rêver, ni pour faire pitié. Nul doute que l'équilibre aurait pu être mieux cultivé. Merci beaucoup pour votre passage ! Pascal31 : "Deux solitudes qui s'annulent". Ça dit tout, voilà. Merci pour ce beau commentaire qui sublime mon texte. Je suis très heureuse que vous ayez suivi sans mal mon personnage, d'autres commentaires m'avaient fait douter de la lisibilité du style et de son effet sur le passage de l'émotion. Je suis très heureuse que vous soyez passé par là. Merci ! Pepito : Coucou Pep (ça vous va bien, je trouve) ! Comme toujours, de l'utile et du borborygme pour détendre l'atmosphère :P Commenter à la Pepito est un art qui ne s'apprend nulle part, j'en ai la ferme conviction ! "***" haha, on ne sait pas comment mettre les *** au milieu, hein ? ... ben moi non plus ! ... D'habitude, je sais. "Encore qu’elle ne se souvient pas de tout le monde," c'est pas plutôt "qu'elle ne se souvienne pas" ? ... en même temps, moi et le subjonctif, hein..." : même problème de mon côté, on m'a fait le commentaire deux fois, mais je crois que "encore que" n'oblige pas autant qu'un simple "que" à l'usage du subjonctif. Si oui, je change la phrase, parce que ça serait moche. Merci, encore une fois, beaucoup pour le décorticage et énormément pour l'éclat de rire Jano : J'ai peu cherché, à vrai dire, mais au fil de l'écriture une tendance vers le conte a effectivement prédominé et je l'ai suivie. Je comprends parfaitement en quoi ça compromet la corde empathique, même si pour ma part j'ai adoré ma p'tite vieille et lui ai souhaité bien du bonheur. Il doit effectivement être dur de faire un compte-rendu lorsqu'on est resté entre deux chaises appréciatives tout au long de la lecture, et je vous remercie de vous être prêté au jeu tout de même. Je m'en vais lire votre "parasite" tout bientôt, histoire de continuer à faire s'entrechoquer nos sphères littéraires ;) À la prochaine ! hersen : C'est noté pour le premier paragraphe, beaucoup semblent d'ailleurs être du même avis que vous au sujet des répétitions. "L'affichette " Bonbons dans trente minutes " est assez drôle car trente minutes, sans référence à une heure de départ, est plus que vague" : J'ai écrit cette phrase, puis ai bien ri, en me disant la même chose que vous. J'étais sur le point de la changer et de mettre une heure quand je me suis dit que c'était tout à fait dans le ton du personnage d'oublier ce genre de détail on ne peut plus essentiel. J'ai un peu trop du loup solitaire et décalé socialement en moi-même, je pense ! Une très bonne analyse de mon texte, à mon sens, que vous avez su faire là. La tentative du retour à la "normale", normale que l'on a désapprise, la parole des autres contre ce qu'on croyait savoir de nous. Merci beaucoup, pour votre appréciation et pour vos commentaires Vincendix : Merci pour ce passage inhabituel dont je suis honorée. Tout le monde a effectivement déjà connu une ou un Anaïs, à mon sens, beaucoup auront d'ailleurs contribué à la naissance de l'un ou de l'autre au cours de leur vie. Dur pour nous autres littéraires de voir que les mots sont au fond les amis de très peu de gens. Merci beaucoup et bonne continuation ! Cat : Oui, ce n'était pas tout à fait le même élan dans ce texte. De chair et de sang, je ne sais pas. Peut-être plus de concepts que j'ai vus bien matérialisés, que j'ai même incarnés, et non pas des pensées eues, fondues puis écrites, comme c'est le cas d'ordinaire. Je ne saurais le dire. Dans tous les cas, toi comme personne, chère Cat, tu comprendras qu'on est toujours à la merci de ses mots, mercenaires ou non, parce qu'il y aura toujours un moment où ils seront des pattounes de chats posées sur la tête. Ils m'ont maintenue à terre ce coup-ci, libre à eux. Merci, merci, merci, pour ces bouts d'âme dont tu m'honores si généreusement. À tout bientôt Mare : Bonjour à vous, et merci pour ce très gentil commentaire. Les premiers paragraphes semblent soulever bien des problèmes de lecture, trop ou pas assez. Une histoire délicate, avec la solitude en toile de fond, ça ressemble bien à l'idée que je me fais moi-même de mon texte. Merci pour votre belle sensibilité. ameliamo : Un commentaire très touchant que vous livrez là. Il est très juste de considérer l'esprit dans lequel la vieillesse, tout comme le handicap et la maladie, sont parfois abordés par ceux qui ne les connaissent pas encore. Parfois, on fait pire que rire des autres, on les enferme dans une histoire selon le plaisir qu'on a à la divulguer, et on oublie l'humain qui l'a créée. Merci pour votre passage fort agréable, et à la prochaine. Automnale : Que de compliments ! Je les sais sincères, c'est ce qui me convainc de les accepter et de les absorber sans honte : après tout, ça se prend bien. Avec quelle belle sensibilité, avec quelle belle fraîcheur vous entrez dans les textes ! Je suis ouverte pour tous les sujets de dissertation que vous aurez l'amabilité de me fournir. "Dès lors que nous n’avons plus rien à perdre, sommes-nous des sorcières ?" Oui, ou du moins on en a le droit. On peut aussi dire qu'on a le droit d'être sorcière quand on a tout à gagner, ça veut dire la même chose mais ça sonne moins tristounet. :P "Ils ont l’air drôlement crochuS (manque le « s », ah ah)" : eh bien non (roulement de tambour), on a en fait le choix, dans ces circonstances, d'accorder soit avec "l'air" soit avec le sujet. Dans ce cas-ci, j'ai pris l'air. :P "Ca (avec cédille) goûte l’Halloween sans enfants (du québécois ?)" : Bon Dieu... mais... oui ??? Moi qui étais convaincue que c'était une expression (que dis-je, une expression : une évidence verbale ! ) répandue, je me rends compte que ce n'est qu'au Québec et (apparemment) en Belgique, ainsi que dans quelques rares régions de France qu'on utilise les termes "ça goûte" pour dire "ça a le goût de". Pour les pas de vie que ça intéresse, voici un lien que j'ai déniché à ce sujet depuis l'illumination : http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=2742 On en apprend tous les jours sur sa pointe de tarte francophone ! L'exploit de la publication, donc... oui, bon... je ne suis pas trop sorcière moi-même, j'ai eu besoin d'une complice derrière le rideau :P Que dire, sinon, à part merci ? Merci de croire en moi, et de me le dire, et de me le dire si bien. Le recueil de nouvelles est envoyé, le roman attendra, je suis très rarement parvenue à en terminer un, à vrai dire. Je suis beaucoup plus attirée par les genres brefs, même si je me doute que je divise mes déjà maigres chances d'être lue par dix mille. À une prochaine fois Blacksad : Vous faites bien de laisser de côté ce tour de passe-passe de publication :P Heureuse que mon texte vous ait plu, ainsi que son style d'écriture dont je doutais de plus en plus au fil des commentaires (mais bon, on ne se réinvente pas pour des lecteurs non plus). Mes deux parias seront bien heureux ensemble, j'en ai la ferme conviction. Merci beaucoup pour votre passage corbivan : Un immense merci pour ce nouveau passage (tandis que je fais mon ingrate et ne commente même pas tes textes que je savoure). Voir le réalisme dans ce récit en forme de conte est très fin, je pense que cela donne une lumière très juste au message que je voulais faire passer presque inconsciemment. Je fais également de la réhabilitation des chats, noirs ou roux, l'une de mes missions premières, merci de le souligner. À une prochaine fois ! Louis : Louis, Louis, faisons un marché. Je vous écrirai les idées au fur et à mesure que je les aurai, et vous les coucherez sur papier vous-même entre deux de vos propres éclairs de génie. Je vous fais plus que confiance pour arriver à un résultat d'une force extrême à chaque fois, même avec mes idées les plus nullissimes. Quel cadeau inestimable vous me faites à chaque commentaire, la possibilité presque effrayante de regarder mes propres rouages dans le blanc des yeux. Le rapport au langage, aux mots, est un élément clé, le pendant de la solitude et de ses privations, la parole représentant à la base l'aspect de socialisation devient au contraire l'arme même de l'isolement et le prétexte du silence... Il ne restera plus de mots au personnage, parce qu'il y en a eu trop, sur elle et sans elle. Je suis plus qu'heureuse que vous ayez pris le temps de le souligner mieux que je n'aurais su le faire. Bravo à vous, donc, et merci infiniment. J'ai déjà dégouliné trop longtemps, quoi que vous ne puissiez plus vraiment prétendre en être surpris. Vous cliquez, vous assumez, les enfants Je m'arrêterai donc ici, avec ces tonnes de merci toujours en banque pour la prochaine fois, en vous laissant, peut-être, si ce n'est pas trop m'improviser prophète ni même être humain expérimenté, sur cette simple requête de personne qui sait qu'on ne sait jamais grand-chose : Ce personnage que vous connaissez, ne l'empêchez jamais de tourner une page. De toute façon, pour les souvenirs comme pour l'inspiration, les signets, ça existe. A.
Contribution du : 05/11/2015 04:46
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Écrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas, il n'est qu'écriture. -Jean Cocteau |
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Re : Ensorcellements, merci bien ! |
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Expert Onirien
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Alice, Je viens de lire vos remerciements... Ce n'est pas rien...
En lisant l'histoire de votre "Sorcière", l'autre jour, j'ai pensé à une de ses consoeurs née de l'imagination, ou de la vie réelle je ne sais pas, d'une de mes amies de poésie. Si, un beau jour ou une nuit, vous ne savez pas quoi lire, je me permets de vous indiquer, ci-dessous, le lien : http://escapadeautomnale.centerblog.net/163-anick-baulard-des-gens-comme-vous-et-moi Il y a pas mal de sorcières de par le monde ! Mais je constate une chose : leur prénom commence souvent par un "A"... Celle que vous avez fait naître s'appelle Anaïs... Celle de mon amie se prénomme Aglaé... De là à penser que vous êtes une petite sorcière, Alice, il n'y a pas loin... D'accord, vous me rétorquerez que lorsque l'on choisit "Automnale" comme pseudo, les risques sont importants... Vous me faites dire n'importe quoi ! Automnale
Contribution du : 05/11/2015 14:28
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Re : Ensorcellements, merci bien ! |
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Visiteur
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Tes explications de texte m’enchantent autant que tes nouvelles, Alice. C’est à chaque fois le même bonheur de lire qui est au rendez-vous. Un plaisir magnifique que je ne bouderais pour rien au monde !
Je me demande si les Oniriens ont conscience de la chance qui est la nôtre de t’avoir parmi nous. Etant un peu sorcière dans l’âme à mes heures choisies (oups, mon prénom commence pas par un A... ), je devine dans ma boule de cristal (*) ton avenir nimbé d’encre et de gloire. Tiens-nous (moi) informés de la suite donnée à ton recueil. Je lui réserve depuis longtemps une place de choix sur mon chevet. Le commentaire fait par Automnale sous ta nouvelle est celui que j’aurais aimé savoir écrire. Point par point, virgule après virgule. Tout y est dit. C’est ainsi que je t’ai lue, n’oubliant pas d’apprécier la fraîcheur que tu distilles, tel un baume d’optimisme, dans les thèmes les plus sérieux. Pour finir, j’ai ma petite idée sur la solitude. Si elle est trop souvent le triste lot du grand âge qui ne la choisit pas, elle est aussi le prix fort à payer pour la Liberté. La liberté d’écrire, de penser, de lire, de dire ou pas et d’être comme on en a envie, tout simplement, sans se croire obligé d’adhérer à la pensée en vogue. Sur ce, je m’en vais cogiter, seule et l’aise dans mon antre… A te relire bien vite, ma Chère Alice, si chère à mon cœur… What else ? (*) dans le pays qui est le mien, les sorcières, en plus du balai pour le voyage,compte une boule de cristal dans leurs bagages, cristal de Bohème pour les plus aisées
Contribution du : 06/11/2015 14:26
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Re : Ensorcellements, merci bien ! |
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Expert Onirien
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Cat, Je m'offre la fantaisie de vous répondre avant Alice... Tout comme vous, j'ai conscience de la chance qui m'est donnée de l'avoir croisée (Alice) sur mon chemin... Et tout comme vous, je me procurerai le recueil des Nouvelles de notre petite amie lointaine... Avec elle, un vent de gaieté, de spontanéité, arrive dans notre maison.
Puisque vous avez la gentillesse de prendre connaissance de mes commentaires, je lis aussi, non sans intérêt, vos interventions. Celle, ci-dessus, me fait penser à Françoise Sagan qui disait : "L'écriture est une entreprise tellement solitaire". Je n'ai pas pris le temps de la consigner sur ma page Oniris, mais cela pourrait être ma devise... Quant aux sorcières, je ne serais pas du tout étonnée que certaines se prénomment "Cat"... Et si, outre leur balai, elles possèdent une boule en cristal de Bohème, je suis bluffée ! Je crois même que je vais changer de pays... Automnale
Contribution du : 06/11/2015 15:04
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Re : Ensorcellements, merci bien ! |
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Expert Onirien
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Coucou les sorcières (moi, je triche de toute façon, mon vrai prénom ne commence pas par A) :P
Cat, c'est bien moi qui ai de la chance d'être aussi chouchoutée sur Oniris. J'ai trouvé le site par hasard en cherchant des maisons d'édition pour nouvelles hors du monde virtuel, ça aura valu la peine ;) Une boule de cristal pour une sorcière, non, je ne saurais m'habituer. L'élément qu'on rajoute souvent par chez nous, c'est l'extraordinaire don de séduction. Je ne nierai pas La solitude pour la liberté, oui. Tant qu'on la choisit en tout instants. Il est extrêmement facile de s'enchaîner soi-même au nom d'une liberté précise datant de plusieurs années. Mais nul doute qu'écrire est un acte purement solitaire, qui demeure satisfaisant parce qu'il consiste lui-même à s'ouvrir au monde de la façon la plus profonde qui soit, même à partir d'un sous-sol pendant un mois entier. Automnale, j'ai mis ce précieux texte en banque. Le temps m'a manqué ces temps-ci, mais je le lirai avec grand plaisir. Je tiens aussi à spécifier que j'ai également lu une autre nouvelle de vous, et l'ai adorée encore plus que celle de l'ara. Je la commenterai en temps et lieux, préparez-vous à ce qu'on m'accuse de copinage, triste, triste quand deux styles se plaisent Ne nous affolons pas pour le recueil, de un encore faut-il qu'il soit accepté par une maison d'édition suffisamment bizarre, ensuite qu'il y ait un moyen de se le procurer outre, disons, dans la ville où je me trouverai, dans le cas miraculeux où ça marche. Pas trop sûre de la voix de cette boule de cristal, pas sûre du tout... À vous deux, mille baisers, et à vous relire, Alice
Contribution du : 07/11/2015 20:47
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