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3 Utilisateur(s) anonymes
Re : Entrainement: l'émotion |
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Je passe la main à Coquillette.
Contribution du : 23/09/2009 21:15
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Re : Entrainement: l'émotion |
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"Son regard... ... Oooohhh... Elle... ohhhhh.... Si seulement... Elle voudrait... mais ne peut pas. Elle se fige. Ses lèvres s'étirent en un sourire imperceptible. Elle rougit. S'enflamme. Frissonne. N'y tenant plus, elle baisse la tête, se détourne et s'enfuit, le ventre noué, les jambes tremblantes."
Contribution du : 24/09/2009 07:49
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Re : Entrainement: l'émotion |
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Expert Onirien
 
Inscrit:
12/11/2008 22:46 Groupe :
Primé concours Groupe de Lecture Évaluateurs Auteurs Membres Oniris Post(s):
7669
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L'amûûûûûûr !
Contribution du : 24/09/2009 11:41
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"Si la pierre tombe sur l'œuf, malheur à l'œuf. Si l'œuf tombe sur la pierre, malheur à l'œuf." Proverbe gallinacé 
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Re : Entrainement: l'émotion |
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c'est pas l'amûûûûûrrrrr... (mais keskecédonk ?)
Contribution du : 24/09/2009 12:10
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Re : Entrainement: l'émotion |
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La timidité ?
Contribution du : 24/09/2009 13:06
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Re : Entrainement: l'émotion |
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non plus... (un indice peut-être : une émotion contrariée)
Contribution du : 24/09/2009 13:32
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Re : Entrainement: l'émotion |
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La honte ?
Contribution du : 24/09/2009 13:55
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Re : Entrainement: l'émotion |
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Le désir
Contribution du : 24/09/2009 14:37
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Re : Entrainement: l'émotion |
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Yes Tinu ! A toi...
Contribution du : 24/09/2009 16:41
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Re : Entrainement: l'émotion |
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Il parlait, me racontait sa journée, sa réunion du matin, ses contrariétés... il parlait et je n'entendais pas vraiment. Il m'avait déposé ce petit baiser sur la bouche, celui qui ne me faisait plus rien, et j'avais remarqué qu'il n'avait pas l'haleine très fraîche. Je m'étais détournée sans rien dire, bien qu'un peu trop rapidement, avec un petit pincement au cœur devant sa mine dépitée.
Je voyais bien sa détresse, et les efforts qu'ils faisaient pour m'être agréable, pour essayer de maintenir le contact, être gentil et prévenant. Mais je n'y pouvais rien, tout cela me laissait sèche et froide. M'agaçait presque. J'avais beau fouiller en moi, il ne me restait rien à lui donner, et ce constat était d'une tristesse infinie. Je regardai trôner sur la table le bouquet qu'il m'avait apporté en rentrant, et je ressentis encore une fois ce poids sur les épaules...
Contribution du : 24/09/2009 19:22
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