Avec un retard dont quelques soucis techniques sont la cause, je tiens à remercier, en premier lieu, le CE qui a permis la publication de ce texte, bien qu'il n'ait reçu aucun commentaire en espace lecture.

Je veux ensuite exprimer ma gratitude aux lecteurs qui s'y sont arrêtés et à ceux qui ont bien voulu me livrer leur ressenti.

Je n'avais pas une grande confiance en ce poème si bien que l'accueil qu'il a reçu constitue pour moi une surprise, combien agréable, et suscite finalement bien des questionnements quant à mon écriture.

Ce poème, qui met en scène une situation que nous sommes nombreux à avoir connue, est né curieusement de l'émotion suscitée par le film «  La vie d'Adèle » dont certaines scènes (non, pas celles que vous croyez!) sont d'une grande puissance émotionnelle. Je pense particulièrement à celle de l'innamoramento (merci jfmoods) dans le parc, celle de la brasserie, et à la scène finale de l'exposition. J'ai voulu d'une certaine manière me soulager de cette émotion très prégnante et rendre par là même un hommage au jeu des actrice qui dans ces moments ont atteint le grand art.

Si ce modeste poème a su toucher quelques sensibilités, je suis heureux d'avoir su traduire ce que que j'ai ressenti et qu'elles ont su provoquer.

Un très grand merci donc à Alexandre, Pizzicato, Alcirion, Papipoète, Vincendix, Hananké, MissNeko, Robot, Pied- en VERS,Vincente, Léni, Plumette, jfmoods, JulieM et Miguel pour avoir eu la gentillesse de s'arrêter sur ce poème. J'apprécie tout particulièrement celle des « Petits nouveaux » récemment venus sur Oniris, à qui je souhaite plein de satisfactions.
Merci encore à tous.
Mes amitiés.
C.