Merci au CE d'avoir publié mon poème, qui parle de l'impact parfois nocif de la mondialisation, comme le tourisme de masse, la réappropriation culturelle, la surconsommation, la commercialisation des relations humaines,...
Tout en évoquant les interactions culturelles mondiales, typiques de la modernité, j'ai tenté de dresser un bilan sans jugement, comme seule la poésie le permet. D'ailleurs, le dernier vers suggère que tout cela me dépasse.
Merci aux lecteurs, et surtout aux commentateurs dont l'avis fut si positif, Donaldo75 ("J'ai bien aimé ce poème et dans sa construction et dans les images qu'il véhicule"), Cyrill ("L'air de rien, vous réussissez un poème engagé sans hurlements d'indignation"), Ornicar ("Dans une construction originale, voici un texte percutant"), tous trois en EL, puis après publication Robot ("Un poème avec une originalité de construction, d'idée, de vision"), Aldo ("Vidé l'homme, il n'est plus que son lieu, sa parure et son masque"), papipoete ("Avoir l'esprit nomade, sans sortir de chez soi, et tirer des plans") , Provencao ("Belle réflexion de l'être en soi, en nous et non de l'ego").
Merci à tous.

Salut Jemabi,

bilan sans jugement en effet, et ô combien triste cependant. Ce qui est curieux au demeurant, c'est que ta poésie ne l'est pas, triste. Elle est presque légère.
Merci pour le retour