M'enfin, quoi, c'est déjà fini ? Ca finit en blagounettes ?
Et moi qui viens matter depuis ce matin en espérant voir au moins une épaule déboitée à défaut d'une machoire explosée.
Décidément, Oniris, c'est plus ça.
Hellian, qu'est ce qu'on va faire sans votre talent pour mettre le boxon ? On va mourir d'ennui.
C'était bien la peine de découvrir l'uranium si c'est pour ranger le matos avant Manhattan (en ce moment, je m'exerce aux bons mots de mauvais goût).

Widjet, t'as bu de la potion, ce soir, ou quoi ?
La prochaine fois, bois-en donc une bonne lampée avant d'écrire un texte ! Après, ça sert plus à rien.

Quoi, c'est pas assez pour relancer le bazar ?
OK, j'essaie encore un truc...
Widjet, je reconnais que le sujet de ton dernier texte était difficile à traiter. La prochaine fois, essaie quelque chose de plus simple ! Et n'oublie pas la potion ! Trois louches ! Et puis non, balance la louche et avale le chaudron !

Que les choses soient claires : Oniris n'a pas besoin de moi et réciproquement. J'étais ici par amitié, par sympathie et convivialité. J'avais, aussi immodeste et suffisant que cela paraisse, le sentiment de contribuer à quelque chose. Il m'importe peu que mon texte ait été refusé; à vrai dire, car c'est vous qui y avez perdu, pas moi. Ce qui me hérisse, c'est la médiocrité du commentaire qui m'a banané. Comme tu le dis fort justement Ludi, et je te remercie de cette bouffée d'oxygène; ailleurs existe. Et je t'approuve mille fois: "L’incompétence est une chiure. L’incompétence mal écrite est une chiure qui pue. Et je trouve normal de la balayer."

Présentement, c'est moi qui suit balayé. Mais j'ai affaire ailleurs, oui et beaucoup même.

[Passage modéré. Vous souhaitez partir, dont acte. Maintenant, je vous prierais de le faire dignement, sans déverser votre bile sur le site et ceux qui le font tourner. Merci. P31]

Personne n'a lu ce commentaire dans ce sujet, et tu traines son auteur dans la boue sans qu'il ne puisse rien faire pour s'expliquer, puis tu traines Oniris dans la boue...



Montre-le si tu n'es pas un troll, le CE en a la copie, et son auteur sera libre de prendre la parole ou de se taire, comme chacun.

Viens, on va parler incompétence et médiocrité sur la base de quelque chose.

Les seuls faits pour l'instant, ce sont tes mots.

Bonjour à tous.

Ce sujet m'intéresse, car passionnée de poésie, mais sans aucune compétence basique (études littéraires, lecture depuis longue date et abondante, connaissance approfondie de la langue française..etc), je me demande souvent si j'ose ou non commenter.
Quant à publier, puisque j'ose aussi écrire, j'ai proposé depuis mon inscription deux textes, le premier refusé sans commentaire et le second publié sans commentaire en Espace Lecture.

Je me questionne donc souvent sur les compétences nécessaires et/ou indispensables des commentateurs. La lecture de la charte donne un éclairage utile à l'exercice.
J'ai cru que la passion suffisait (avec un minimum de courtoisie et d'explications).
Il me semble à travers les différentes interventions lire que certains auteurs veulent "l'excellence". sauf que l'excellence n'a pas la même valeur pour tous.
Et j'ajoute que l'angle de vue de chacun, selon son niveau de lecture, ses connaissances et sa sensibilité, est toujours intéressant. Au fil de tous ses angles, l'auteur peut avoir une vision élargie de la perception de son oeuvre.

Pour aborder la question initiale du sujet. Je ne pense pas que noter ou évaluer les commentaires soit une bonne idée.
Il faudrait alors en faire une analyse précise et pointue, ce qui demanderait un temps fou et aurait une autre visée que la seule création littéraire.

Il est évident que les premiers commentaires de nombreux arrivants sont souvent courts, je vois là de la timidité. Et on remarque bien qu'après une certaine présence et une habitude à commenter, ils deviennent plus étoffés.
Les miens le resteront (courts), car je ne commente jamais un texte sur le fond la forme comme on pourrait le faire au cours d'études littéraires.

Je ne pensais pourtant pas être "crétine et/ou incompétente", (j'avoue avoir été particulièrement choquée par ces termes lus plus haut) juste tenter de m'améliorer aussi bien en composant mes propres poèmes qu'en commentant ceux des autres.

Cordialement
Éclaircie

Citation :

Pour ma part, ni l amitie, ni la sympathie, ni la convivialite m ont conduit a venir sur Oniris. Car ces trucs la, je les ai decouvert (ok pas l amitie) qu en pratiquant.

Perso, je suis venu (et reste) pour qu on publie mes textes et je tente de me donner les moyens pour y parvenir. Bien sur, j aime lire et m enrichir et commenter d autres textes, je le fais avec plaisir reel (car je decouvre des auteurs et meme quelquefois des belles personnes) meme si empreint d egocentrisme. En revanche, Le jour ou mes nouvelles seront toutes rejetees, je ne pourrais pas me contenter d etre simple commentateur ou dire des conneries en forum. Si je ne parviens plus a me faire publier, alors je partirai.

W

Éclaircie je pense tout comme toi que nous devons être tolérants envers les nouveaux commentateurs. Moi aussi à mes débuts sur Oniris je ne faisais que des commentaires courts et ne commentais que des poèmes que j'aimais car pour moi c'était plus facile. Faire un commentaire constructif ça s'apprend et ça prend du temps. Je suis sûr que la plupart des anciens, à leur début sur Oniris n'étaient pas des tops sur les commentaires mais ça certains semblent l'avoir oublié. Donc voilà je le répète pas du tout favorable sur la notation des comm'.

Hellian,

J'ai été lire dans les archives le commentaire incriminé, je l'ai regardé sous toutes les coutures cherchant celle qui pouvait faire mal ! Même pas de quoi être gratté ! Il est très bien ce commentaire, objectif et factuel, disant en quelques mots les causes du refus.

Alors parlons clair, vous ne supportez pas que votre texte ait été refusé et vous prenez le commentaire comme bouc émissaire de votre orgueil bafoué.

Bah oui, ça fait mal, mais ça, voyez vous, c'est la dure loi d'Oniris, et plus largement la loi de tous ceux qui s'essayent à écrire, ça ne marche pas à tous les coups ... Si vous devez faire une telle crise à chaque refus, effectivement, il vaut mieux partir. Imaginez que l'on accepte cela de tous les auteurs qui subissent un refus (pour rappel sur 100 textes proposés, 25 sont acceptés), Oniris ne pourrait plus fonctionner.

Moi, je pense à la personne qui a écrit ce commentaire, qui a fait l'effort de donner son temps pour vous donner des pistes de réflexion et qui se fait maltraiter au fil de ces posts. Je pense à tous les évaluateurs qui n'osent pas trop commenter, si ils lisent ce forum, je comprends qu'ils ne veuillent plus commenter du tout. Vous pouvez être fier de vous.

Imaginez Oniris sans commentaires ? Le site est mort. Ou imaginez Oniris qu'avec des commentaires complaisants, résultats identiques.
Le minimum serait de respecter les évaluateurs pour le temps qu'ils donnent aux auteurs et des les encourager et non pas de s'en servir comme exutoire !

Euh Bellaeva, autant je suis d accord pour qu on ne descende pas en fleche les commentateurs, autant faut pas non plus considerer que chacun d entre eux consacre des heures et se saigne aux quatre veines pour faire leur com. Faut pas deconner non plus, hein.

Des coms de merde ou lapidaires (sous des evals hallucinantes), j en ai vu. Mais bon, c est comme ca. Libre a HELLIAN de considerer que le com qu il a recu ne vaut pas tripette.

W

Divaluna : je vois pas pourquoi on serait tolerant avec les nouveaux commentateurs. On est tolerant avec les nouveaux auteurs qui publient leur premier texte? Je ne crois pas.

C'est à peine croyable ! Vous avez censuré mon propos , laissant entendre que j'avais traîné Oniris "dans la boue" - N'en croyez rien, lecteurs, ceci est pure diffamation - Je n'ai rien écrit qui puisse prêter à de tel griefs. Et vous croyez pouvoir donner des leçons de dignité, parler de bile déversée ! Mais jusqu'alors, c'est moi qui reçoit vos averses d'hostilité. j'ai pour ma part, toujours été respectueux des personnes. Seule ma pensée vous gêne, parce qu'elle s'exprime fermement et librement et que pour vous et vos amis la liberté des autres s'arrête la où elle commence à vous déranger.

Celui qui censure la pensée de l'autre révèle le vide de la sienne !
Donc, je ne doute pas que ce message soit à nouveau promis à élagage, voire à suppression, car à un certain niveau de discussion, vous semblez n'avoir d'autres réplique que la sanction du lèse-majesté. Aussi quand un sujet vous importune, vous lui coupez un bras, une jambe et bientôt la tête, pour le bien de la collectivité, s'entend.

Quant à vous, David, cessez de trépignez ! je n'ai pas envie de me battre. Et puis, franchement, je ne comprends rien à ce que vous me dites. De quoi, parlez-vous ?

Citation :

Mais ce n'est pas comparable. En général nous sommes moins lapidaires avec les premiers textes car nous sommes dans une démarche d'aide pour l'amélioration du texte, alors que commenter c'est une autre paire de manche, on est tout seul, on apprend par nous même.