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Re : Exercice d'écriture N°2
Onirien Confirmé
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09/05/2009 18:07
De vous à moi, sans importance aucune...
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Curriculum vitae
Nom : Evans
Prénom : Alec
Date de naissance : 23 mai 1974
Lieu de résidence : Moutain View
Numéro de téléphone : /
Formation: The Southern University of California (Los Angeles)
Expérience professionnelle : 1997-2006 pigiste indépendant
2006- Daily de Palo Alto
Langues : Anglais (lu, écrit, parlé), Français (lu, écrit, parlé), Espagnol (parlé)
Activités annexes et loisirs : c’est quoi un loisir ?

« Hé, Alec, je peux te demander un truc ?
- Quoi ? (quoi encore ? Tu peux pas te débrouiller seul cinq minutes, non, c’est trop difficile pour toi, ça ?)
- Hé bien, dis moi, pour la mise en page de l’article, page trois…
- Je suis pas maquettiste. (Je vais quand même pas faire TON boulot à TA place.)
- Non, non, je te demande pas un avis professionnel, mais juste si tu pouvais me dire si…
- Je suis pas maquettiste, ok ? (lâche moi maintenant…)
-C’est bon, Alec, t’énerves pas…

Je ne le laisse pas finir sa phrase et m’éloigne à grandes enjambées. Qu’est-ce qu’ils ont tous aujourd’hui ? Alec, tu peux m’aider… Alec, un conseil… Je suis pas leur nounou, ni leur grand-mère. Et tous ces stagiaires qui sont là en ce moment… On dirait une nuée de moucherons : petits et agaçants. Je m’assois derrière mon bureau minuscule. Mon antique bécane souffle comme si elle allait décoller. Calme toi la vieille ! J’ouvre le dossier de la semaine. Une affaire de drogue, comme souvent par ici. J’ai obtenu quelques détails croustillants en soudoyant le shérif, et mon flair a fait le reste.

Je sais pertinemment que je les ennuie tous, tous jusqu’au dernier, jusqu’à la nouvelle femme de ménage qui pourtant ne me connaît pas. Ha ! Mais qui pourrais me virer, hein ? Je fais le boulot de trois, je trouve les scandales qui font vendre. Je suis le meilleur. Ils le savent, et moi aussi. A quoi bon leur lécher les bottes, je suis intouchable. J’ai gagné l’immunité dès ma première affaire. Si mon caractère les incommode… je n’ai pas l’intention de partir. Je suis bien ici. Bon boulot, bon salaire.

Je croise les bras derrière ma nuque et me laisse aller. Je me sens comme le roi de la jungle. Quelqu’un frappe discrètement à la porte, me détournant de ma torpeur.

« Evans, vous avez cinq minutes ?
- … (J’ai le choix ?)
- Vous mettriez quoi en page quatre ? Culture ou sport, parce que vous comprenez, le sport, les gens aiment ça, mais la culture, ça fait plus sérieux et le public veut du sérieux. Mais en même temps comme on est en pleine saison de baseball, je me demandais… »

Je le laisse finir ses explications, les yeux clos. S’il savait comme son organisation m’indiffère… Il devrait économiser sa salive.

« Alors, vous en dites quoi ? Sport, ou culture ?
-Bah… tu voudrais mettre quoi ? (…)
-Moi ? Je préfèrerais mettre le sport quand même parce que… »

J’ouvre un œil. Suant sous la chaleur de l’après midi californien, rouge de malaise, tendu sur sa chaise. Je le plaindrais volontiers… Si j’avais le temps. Ou la motivation.

« Tu sais quoi ? Je m’en fiche. Moi je gère la une. Toi tu gères le reste. (Et maintenant, si tu me laissais faire ma sieste, je pourrais peut-être envisager d’avoir une once de pitié pour toi…)
- Mais juste comme ça…
- T’es journaliste d’investigation ? Non, je crois pas. Moi si, regarde la plaque sur le bureau c’est écrit dessus. Allez, j’ai du boulot. (Et toi aussi apparemment)
- Mais...
- J’ai du boulot. »

Il s’éloigne, confus. Je me tasse sur ma chaise, et ferme les yeux.

Contribution du : 20/05/2009 19:55
_________________
Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres
D’être parmi l’écume inconnue et les cieux !

L'éternité, c'est long, surtout vers la fin [Woody Allen]
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Re : Exercice d'écriture N°2
Apprenti Onirien
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13/05/2009 13:41
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Tiens, c'est drôle je pensais te parler de cet exercice Bucolic, mais je vois que tu l'as fait. J'aime bien ton texte.


Je vous propose ce que j'ai fait.


CV

Harriet Finch
Née à Londres, le 5 juin 1983
Mariée.

Parcours professionnel :

- 2001-2004 : assistante d’éducation afin de financer ses études de journaliste, projet qui lui tient à cœur depuis sa plus tendre enfance.
- 2004-2006 : journaliste pour The Daily Telegraph, rubrique courrier des lecteurs, puis depuis 2005 dans la rubrique faits divers.
- 2006-20.. : journaliste au Daily de Palo-Alto.

Hobbies :

Lecture : son principal hobby. Son genre de prédilection est la fantasy, elle envisage même une carrière d’écrivain, ayant déjà un projet de roman fantasy. Son livre favori : Eragon
Grande fan des adaptations cinématographiques de ses livres préférés. Film préféré : Twilight, véritable phénomène de ce genre nouveau qu’est la bit-lit.
Musique : aime la musique. Non seulement écoute de la musique, mais joue de la guitare, du piano et du saxophone. Une vraie musicienne ! Artiste favori : Muse. Genre favori : Pop-rock

Anecdote :

Bien que née à Londres, elle ne parle pas un mot d’anglais. Un jour, un professeur, voyant son lieu de naissance sur sa fiche, s’est mis à lui parler dans la langue de Shakespeare, elle lui a dit qu’elle ne parlait pas cette étrange langue (dixit).


***


Présentation

Harriet Finch, petite femme trapue mariée depuis 2004, vivait dans une petite maison cossue que son mari avait entièrement bâtie lui même. Elle était parfaitement heureuse de sa situation professionnelle. En effet, à seulement vingt-six ans, elle travaillait déjà depuis trois ans au Daily de Palo-Alto, journal réputé pour accepter uniquement les meilleurs journalistes dans ses rangs. Il était très rare d’accéder à un tel poste aussi jeune et Harriet s’en faisait une fierté. En revanche, sa situation familiale n’était pas celle dont elle avait rêvé. Lorsqu’elle exprimait son désir d’enfants, son compagnon se braquait aussitôt, refusait d’en parler catégoriquement.

***

Cette déception, plusieurs fois encaissée, pesait lourd sur les épaules de la jeune femme. Il fallait qu’elle compense, elle décida de fumer. Elle entrait alors dans un bureau de tabac pour la première fois. Elle avait commencé par un paquet de cigarettes, puis constatant que cela ne suffisait pas à la consoler, elle augmentait à chaque fois le nombre de paquets achetés. Deux, puis quatre, puis dix. Son mari avait vu qu’elle fumait, elle ne s’en cachait pas. Mais il préférait sentir la fumée que d’entendre parler d’un projet d’enfants.

***

Puis tout bascula. Son mari en eu assez de remarquer qu’Harriet passait plus de temps avec ses cigarettes qu’avec lui. Il la menaça de divorcer. La direction du Daily de Palo-Alto constata que la qualité du travail d’Harriet diminuait, et la menaça d’un renvoi.

***

C’était un poste excellent, et elle ne voulait pour rien au monde être renvoyée. Il fallait qu’elle se reprenne. Elle diminua sa consommation de cigarettes. Dix paquets, puis quatre, puis deux, enfin un seul. Elle fit des heures supplémentaires au Daily de Palo-Alto, afin de toujours fournir des articles de qualité à son supérieur, lequel remarqua d’ailleurs ses efforts considérables pour conserver son job.

***

Depuis, sa vie s’est grandement améliorée. Harriet a eu un enfant, que son mari aime inconditionnellement, ce qui ravit la jeune femme. Cette dernière obtint une promotion au Daily de Palo-Alto. Désormais, elle écrivait des articles plus longs, et avait l’immense plaisir de corriger les articles des petits nouveaux, avec bien sûr, la satisfaction d’un salaire plus conséquent.

Contribution du : 23/06/2009 14:00
_________________
reading books is a drug...
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Re : Exercice d'écriture N°2
Visiteur 
Coucou?

La petite nouvelle que je suis, aimerait participer à votre épopée. Un peu de patience, je travaille déjà sur mon personnage. J'espère qu'il collera au cadre. Vos personnages sont excellents. J'ai hâte de les voir tous interagir.

Siebby.

Contribution du : 24/06/2009 13:17
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Re : Exercice d'écriture N°2
Maître Pat de Velours
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16/04/2007 17:44
De Quelque part entre ma tête et mes pieds
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Le problème, c'est que tout ça date un peu... (regardez les dates des posts) et que ça n'a jamais été exploité, pour diverses raisons (il nous manque des participants, aussi). C'est peut-être un peu ambitieux. Il manque la deuxième phase : le lancement d'une stituation de départ où chaque personnage va intervenir (chaque auteur va faire jouer son personnage dans la situation). C'est du moins ce que j'avais cru comprendre de l'objectif. Il faudrait peut-être demander aux deux initiateurs d'expliquer ce qui se passe maintenant : Tchollos et Cyb (mais j'ai peu d'espoir en ce qui concerne Tchollos).

A moins que quelqu'un veuille reprendre le flambeau ? (Ninj ? Larivière ?) Il faudrait malgré tout que ça ne ressemble pas aux autres histoires à poursuivre. Il doit y avoir un maître de jeu (enfin j'imagine que ça doit être proche d'un jeu de rôle...).

Contribution du : 25/06/2009 01:16
_________________
"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
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Re : Exercice d'écriture N°2
Visiteur 
Bonjour,

Que devient le thème imposé de Palo Alto ? Encore une idée qui avorte avant d'avoir vu le jour, ça m'agace. Je refourgue mon personnage aux oubliettes ou quoi. Merci de m'éclairer sur l'issue de cet exercice. Je plains tous ceux qui se sont impliqués dans l'histoire, c'est bien dommage. Quel gâchis littéraire !

Contribution du : 27/06/2009 19:33
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Re : Exercice d'écriture N°2
Onirien Confirmé
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20/07/2009 14:04
De J'habite dans ch'nord min tiot biloute !!
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Je rentrai du travail, il était tard et j’étais pressée d’arriver chez moi. Ils arrivèrent par derrière, en traître et je les vis trop tard. Avant que je moindre cris ne passe entre mes lèvres, l’un d’eux, m’avaient mit un pistolet sur le front. Et ils m’entraînèrent dans une ruelle mal éclairée.

_ Alors ma jolie, t’allais où comme ça …
_ Ouais ma belle, viens t’amuser avec nous …

En même temps qu’ils me parlaient, ils défaisaient leurs ceintures. Ils étaient trois …

_ Pitié, prenez tout ce que vous voulez, mais ne me faite pas de mal.
_ La ferme, salope, j’ai faim et ton joli petit cul, va me satisfaire !!

L’un d’eux, se mit derrière moi et attrapa mes bras. J’essayais de me débattre, mais il était beaucoup plus fort que moi. Le deuxième s’approcha et se mit à genou devant moi. J’ai tenté de lui donner des coups de pieds, mais l’autre derrière resserra son étreinte. Le troisième ne bougeais pas, je levai vers lui un regard désespéré. Il me fixa sans dire un mot et sans bouger, pendant que son acolyte, me déshabillait. Il baladait ses mains moites et grasses sur ma poitrine, puis descendis et arracha, ma culotte. Les deux me forcèrent à m’allonger sur le sol humide et me retenaient, pendant que le troisième s’approchait en baissant son pantalon. Je fermai les yeux et me dis que j’allais mourir, comme une chienne, dans une ruelle, à deux pas de chez moi. Soudain, les mains qui retenaient mes bras et mes jambes, s’écartèrent vivement de moi. J’ouvris les yeux et vis un homme habillé de noir, dont le visage était dissimulé par un chapeau, qui tenait par le col, à trente centimètres du sol, les deux individus qui me retenaient. Le troisième ne demanda pas son reste et pris ses jambes à son cou. Il claqua violement mes agresseurs l’un contre l’autre et les laissa tombés par terre. Il me tendit sa main.

_ N’ayez pas peur de moi … je m’appelle Logan et je suis votre serviteur … Ca va aller ? Vous n’avez rien de cassé ?
_ Non ça va … A part une très grosse frayeur et quelques bleus, grâce à vous, je suis en vie. MERCI, merci beaucoup. J’ai vraiment cru qu’ils allaient me tuer.
_ De rien, j’étais au bon endroit, au bon moment …

Il avait une voix grave et chaude. Je tendis une main tremblante et hésitante et il m’aida à me relever. Je me dépêchai de me rhabiller convenablement, enfin aussi convenablement que je le pouvais encore, car ils m’avaient arraché la moitié de ma tunique. Le temps de faire ça et de relever la tête, il avait disparu. Mon téléphone sonna; c’était mon copain, qui commençait à s’inquiéter. Je lui racontai mon agression et le temps que je rentre, la police était déjà là. Je leurs raconta toute l’histoire, sans rien omettre. Je parlai également de mon sauveur, sous le regard foudroyant de mon ami. Les inspecteurs m’expliquèrent, à demi mot, que depuis un certain temps, un « Héro » sévissait dans le coin. Ils ne savaient pas grand-chose de lui et je ne pu pas les aider davantage. Ils partirent et me donnèrent rendez-vous le lendemain au poste, afin de finaliser et d’enregistrer ma plainte.
Le lendemain, donc, le réveil fut difficile. J’avais des bleus autour des bras, des jambes et de gros hématomes sur les reins et l’intérieur de mes cuisses. J’avais honte et je n’osai pas me regarder dans le miroir. Je pris une douche, qui apaisa mes douleurs et me fit me sentir beaucoup mieux. En sortant, de là, j’évitai soigneusement le miroir et alla m’habiller dans le dressing. Je pensais à mon sauveur … D’ailleurs, ses derniers temps, il était devenu presque une obsession. D’où avait il surgi ? Comment avait il fait pour partir, sans bruit, comme un chat ? Autant de questions, qui restaient sans réponses. Une fois habillée, j’embrassai tendrement mon copain et sortis, direction, poste de police. Une fois ma déposition effectuée, je ressortis le cœur un peu plus léger, à l’idée que mes agresseurs allaient payer. Je retournai chez moi, quand je me sentie suivie. Mon cœur s’emballa et cognait à s’en rompre. Je m’arrêtai et me retourna brusquement, c’était lui.

_ Bonjour. Excusez-moi, pour la peur que je vienne de vous causer, mais je voulais prendre de vos nouvelles.
_ Oui, mon cœur à failli lâcher !! Mais merci, je vais bien. Je peux me permettre de satisfaire ma curiosité ?
_ Ca dépend … Allez y toujours !
_ Je voudrais savoir, d’où vous viens cette force ? C’est vrai, je vous ai vu soulever ses salopards (pardon), comme si ils ne pesaient rien. Et comment faites-vous pour disparaître et apparaître comme ça sans bruit ?
_ Malheureusement, je ne peux pas répondre à ses questions, mademoiselle.
_ Pardon, avec tout ça j’en ai oublié mes bonnes manières. Je m’appelle Hélène.

Il avait cette assurance et cette modestie, qui forçaient le respect. Mais en même temps, il dégageait cette discrétion et cette pudeur, propres aux vrai héros. Il m’expliqua, d’ailleurs, qu’un vrai héro ne se dévoilait et ne s’attachait jamais, pour ne pas mettre la vie, des gens qui l’entoure, en danger. Il me promis de prendre de mes nouvelles, de temps en temps, fit demi-tour, et partit. Il disparu au coin de la rue.
Et de temps en temps, dans mon journal du Daily, je lis les prouesses d’un héro inconnu, qui aurai sauvé des personnes, lors d’un braquage de banque ou encore aurais sauvés deux enfants, d’une maison enflammée. Quand les pompiers sont arrivés sur place, il ne restait que des cendres et les enfants étaient assis sur le bord du trottoir, emmitouflés dans une grosse couverture.
On ne savais pas d’où il venait , ni qui il était vraiment, mais, depuis son arrivée dans le coin, la criminalité, en tout genre, avait baissée. La ville était devenue plus sûre et il faisait bon de pouvoir se balader à nouveau, sans craindre de se faire agresser …

Contribution du : 21/07/2009 18:44
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Et par dessus tout, j'aime le moment où l'on s'échappe de la réalité pour basculer dans un monde où tout est possible, où toute logique est remise en question... (Stephen King)
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Re : Exercice d'écriture N°2
Maître Pat de Velours
Inscrit:
16/04/2007 17:44
De Quelque part entre ma tête et mes pieds
Groupe :
Primé concours
Responsables Oniropédia
Conseil consultatif
Évaluateurs
Auteurs
Membres Oniris
Post(s): 63288
Hors Ligne
Prisca, votre texte ne rentre pas du tout dans les critères de l'exercice d'écriture qui avait été lancé. En plus, il s'agit quasiment du plagiat d'un film, ce que nous préférons éviter... (en outre, il pourrait être profitable pour vous de travailler un peu votre orthographe.. il y a plein d'aides à ce niveau sur le site).

Je verrouille ce forum, avant que cet exercice dégénère.

Si quelqu'un a un projet solide qui peut utiliser les passages déjà écrits, qu'il le présente sur un autre forum.

Mais, bien que je déplore l'abandon de l'exercice, celui-ci me semble un peu trop ambitieux.

Contribution du : 21/07/2009 19:41
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"Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire." Proverbe chinois
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