Version SQL, pour les rois des bases de données :

SELECT male.kevin, femelle.cynthia
FROM male, femelle, trousse_a_outils, plafond_pourri, trousse_personnelle
WHERE male.kevin INNER JOIN femelle.cynthia ON trousse_a_outils.pinceau_a_poils INNER JOIN trousse_a_outils.pinceau_a_poils ON plafond_pourri.grosse_tache
GROUP BY trousse_personnelle.pinceau_poilu_aussi
HAVING trousse_a_outils.echelle.barreau = HIGH ;

DELETE FROM trousse_a_outils.echelle
WHERE barreau = HIGH ;

UPDATE male
SET (kevin="recoller les morceaux") ;



Voilà-voilà !

Est-ce que c'est cochon ?

Oui.

*Léo, mode perturbé par ces derniers jours...*

Version mélodramatique

Jean-Pierre, fraîchement sorti de l’asile psychiatrique dans lequel il était soigné pour sa quatorzième tentative de suicide, décida de repeindre le plafond en anthracite, couleur qui se mariait parfaitement avec son humeur du jour. Il grimpa péniblement sur l’escabeau, se demandant l’espace d’un instant s’il devait prendre une corde en plus du pinceau.
Henri, son colocataire, atteint d’une schizophrénie mâtinée d’agoraphobie, entra subitement dans la pièce, le regard fou. « Il y a une manif’ d’étudiants dans la rue ! La foule hurle, ça me rend dingue ! »
Jean-Pierre lui adressa un regard de chien battu, soupirant, se disant tristement qu’il ne serait plus jamais étudiant de sa vie.
« J’ai besoin de l’escabeau pour aller me planquer au grenier ! » beugla Henri, la voix chevrotante. « Accroche-toi au pinceau ! »
Jean-Pierre regretta de ne pas avoir pris la corde, finalement.

hum... je suis certaine qu'il y a une version boursière à faire, mais j'ai pas encore trouvé.

En attendant, façon journal de France inter

Et pour finir, un fait divers qui rappellera des choses à certains. Mardi dernier, Joseph L., artisan boulanger, profitais de son jour de congé pour repeindre son plafond. Arrive Alphonse B., un de ses amis, a qui il avait promis de prêter son échelle. Celui-ci, voyant l'échelle contre le mur, pense qu'elle est préparé a son intention. Le maheureux boulanger, n'ayant pu se racchrocher à son pinceau, en est quite pour uune entorse et quelques contusion. Nous lui souhaitons un bon rétablissement [/b]

COMMERCIAL.

N.Y. d.c., 8:00 a.m.
Siège de la Hairbrush S.A.
A.G. des actionnaires.

Mr Junior Tood Dummond : "Voici à présent le graphique de nos bénéfices annuels. Comme vous pouvez apprécier, nous avons augmenté notre chiffre d'affaire 25%. Malheureusement, selon nos experts en marketting, il est probable que nous atteignions un plafond dès l'année prochaine.

Mr Binz : Ah ? Et pourquoi donc ?

Mr Junior Tood Dummond : Et bien, selon cette enquête, nous avons écrasé toute la concurrence, et nous détenons désormais le monopole dans le secteur du pinceau. C'est un secteur difficile à dynamiser, les consommateurs n'achetant notre produit qu'en cas de besoin. Dans notre branche, malheureusement, il n'existe pas de consommateur compulsif. En plus, les pinceaux ne tombent jamais en panne.

Mr Binz : Et comment pourrions-nous augmenter nos bénéfices alors ?

Mr Junior Tood Dummond : Et bien il n'y a guère que deux possibilités:
1. Rendre le produit moins résistant pour augmenter les ventes
2. Diversifier notre production. Nous pourrions nous lancer dans le rouleau, la brosse, la truelle...

Mr George Washington Brush (père) : Comment ? Moins résistant ? Ah non, c'est intolérable ! Sachez, jeune homme, que mon arrière-arrière-grand père, qui a fondé cette compagnie, capturait lui-même les mustangs dans les canyons de l'Arizona pour leur couper le crin, au risque de sa vie. Et vous savez pourquoi ? Pour obtenir le pinceau le plus résistant et durable à l'ouest du Pécos. De là vient le succès de notre compagnie. La qualité et la tradition. Les pinceaux Hairbrush ont servi à peindre la maison blanche, ils étaient à Midway et à Hiroshima pour décorer les bombes, et maintenant, voilà qu'un petit trou du cul fraîchement sorti d'Harvard veut en finir avec une tradition familiale et patriotique aussi vieille que ce pays ? Bullshit !

Junior Tood Dummond : Désolé mister Brush, mais il n'y a pas d'autre alternative. A l'échelle nationale le marché est saturé, nous sommes condamnés à plafonner.

Mr George Washnigton Brush Junior : Je crois que papa a raison. Accrochons-nous au pinceau, mais retirons l'échelle. Essayons de conquérir le marché international, à présent.

Hélas, j'ai l'obligation d'être franc : Pinceau ne s'en tirera pas, nous en sommes malheureusement convaincus. Certes, il existe quelques cas de guérison de pinceau mais cette dans cette espèce de pinceau large à poils polis de synthèse, le taux de mortalité n'est jamais tombé au dessous de 100%. Jamais.
Puisque nous en sommes à cette extrémité, nous tenterons (si vous voulez bien nous signer la décharge que voilà) une opération expérimentale dont voici en quelques mots simples, le principe : nous inoculons des poils pubiens sains dans le manche du pinceau ; espérant que les courbes dysléxiques des-dits poils incintent leurs congénères lisses à se rebeller par mimétisme - c'est en vérité plus scientifique, il s'agit juste que vous compreniez- Ainsi, dans une hypothètique conjonction favorable, le pinceau accrocheur pourrait tenir au plafond. Nous retirerons alors l'échelle dans l'espoir que le pinceau tienne. Mais sans garantie. Ca se tente, au point où nous ne sommes.
Dr de Couche de Vernis

SYNONYMES (mal compris)

C'est un passionné qui décrit un maximum. Un autre enthousiaste arrive et lui dit : " querelle-toi à ta jambe, je retire la graduation"

En lisant le post de Charivari, j'ai pensé faire l'exercice avec des contraires, plutôt que des synonymes...

Une personne tout à fait saine de corps et d'esprit, décapait une fenêtre. Personne d'autre n'arriva. Il entendit néanmoins: "Décroche toi du couteau, je vais remettre le barreau"

Mouais...bof! lol

Oh ! les cochons ! dit-elle, outrée...

A propos de cochon il faut que je me les lave, les pinceaux, parce que j'aimerais, comme les mouches, pouvoir marcher au plafond, mais avec mes pattes palmées peut-être que j'aurais des ennuis ? L'échelle de Jacob étant déjà prise, je vais essayer celle qui grimpe à mon bas nylon et hop !
Alors quoi ? la fée Clochette, vous ne connaissez pas ?
L'ennui c'est que c'était un rêve (pas cochon celui-là) et quand je me suis réveillée, patatras, l'échelle s'était effondrée et la fée Clochette aussi, en l'occurrence moi, sur ma descente de lit...

Ben oui, je sais, l'est pas drôle mon histoire. Je voudrais vous y voir, aussi avec une échelle en fils de nuages et des pinceaux sales.

Perte de mémoire... Alzheimer...

C'est un dindon..non non c'est un poulet? Ou une biche? Ah non c'est un pou! Un ....fou? Pourquoi pas...Si vous le dîtes .

Qui nage dans un Océan. Entre Vladivostaok et Moscou.

Pardon?

Qui repeint une ampoule avec 5 Polonais qui le tiennent. Oui c'est ça. Cinq polonais. Et un Lapin.
Et l'Océan Indian ...

Un...Pinceau? C'est quoi?

Un truc en poil...

Non non le truc est en plumme et il est de Zizi Panpan...Grand Mère? Hein? Pas grand Mère! Jeanmaire!

Ahhhh

J'ai envie d'aller aux toilettes moi...Trop tard...