Slt tt le monde.

Déjà, et c'est l'objet principal de ce message, merci à tous pour ces commentaires argumentés. C'est ma première publication sur Oniris que je découvre récemment, et c'est un putain d'enchantement de découvrir tant de richesse gratuite sur la toile! C'est assez rare de nos jours pour être souligné.

Sinon, revenons en au texte. Je ne vais pas me justifier d'avoir fait tel choix ou tel choix, je vais juste vous présenter ma démarche sur ce texte.

Déjà, il faut savoir que cet écrit est une sorte d'OVNI dans ce que j'écris. Vous aurez l'occasion de le découvrir dans mes futurs récits, je suis d'habitude plus structuré. Toujours phrase courte mais plus structuré.

Ce texte est sorti de nulle part. J'étais assis un soir, chez moi, tranquillement. Peut-être méditais-je, je n'en sais rien, je dois bien l'avouer aujourd'hui. D'un seul coup, BAM, tout ça m'est tombé sur le coin de la gueule. J'ai couché sur le papier cet étrange aventure. Et je me suis couché. Je n'étais pas saoul, ni drogué. Juste assis.

Le lendemain, j'ai relu le texte, je l'ai trouvé étrange, décousu. Mais je lui ai trouvé quelque chose. J'ai retouché qqs trucs avant de me dire que sa force venait de ce sentiment que je n'avais pas cherché à contrôler. Alors, je l'ai mis en forme et basta.

Pour vous dire, je l'ai proposé en poésie au début. Je ne savais pa trop ce que c'était.

Du coup, comme vous l'avez souligné, les idées ne sont pas poussées au bout, pas abouties. Les mots crus ne sont pas crus. Les délires pas assumés entièrement. Devrais-je le retravailler, je n'en sais trop rien.

En tout cas, si vous aimez ce genre d'envolée, je vous conseille la lecture des Clochards célestes de Kerouac. Notamment le personnage de Morley. Le livre est inégal (début très mauvais) mais contient quelques perles.

En attendant de vous lire, bonne continuation à vous.

^^

Un texte en automatique quoi. C'est vrai qu'il n'est pas toujours évident de retrouver l'état de conscience qui permettrait de retravailler un texte comme celui-ci sans le dénaturer.

Au plaisir de prochains textes alors.

Vous pouvez continuer de méditer le soir... le résultat est là